Pourquoi le LBO ne rapporte plus

Le temps où le LBO pouvait rapporter gros aux dirigeants semble aujourd’hui révolu. Comment expliquer ce phénomène ?

Pourquoi le LBO ne rapporte plusLes entreprises acquises en LBO ne rapportent plus autant à leurs dirigeants. Pourquoi le LBO ne rapporte plus et est devenu moins attractif ? Les raisons principales sont la pression fiscale accrue et la conjoncture qui s’est nettement assombrie.

Les dirigeants français de LBO avaient jusqu’ici toujours bénéficié d’un rapport de force plus favorable et gagné plus que les dirigeants britanniques de LBO. En contrepartie, les dirigeants français devaient s’adapter à des objectifs de performance plus élevés. Mais la crise est passée par là et certaines de ces entreprises n’y ont pas survécu.

La pression fiscale exercée par le gouvernement socialiste est également l’un des principaux facteurs expliquant la perte d’attractivité du LBO.

La ­convergence du régime sur les plus-values de cession de 34 % vers celui de l’impôt sur le revenu, jusqu’à 62 % avec prélèvements sociaux, a marqué le début de la fin de l’ère dorée du LBO. Des dirigeants de la société Hubert, détenue par Apax et revendue à la société IAWS en 2004 ( avant les nouvelles mesures fiscales), ont ainsi vu leur plus-value à la revente requalifiée en salaire. Leur taux d’imposition a donc bondi de 16 % à 49 %. Le Conseil d’Etat a alors jugé que la somme investie au départ par le dirigeant pour accéder au capital (13 600 euros, soit moins de 1 % de la plus-value finale) était trop faible.

Selon Frédéric Hennes, associé au cabinet Degroux Brugere, « il y a désormais une volonté délibérée de l’administration fiscale de mettre à mal les schémas d’accès au capital des dirigeants dans les opérations de “private equity”, quand bien même il y a un risque d’investissement au départ ». Les dirigeants préfèrent désormais investir dans des instruments de capital moins risqués que le LBO

source: lesechos.fr

Filiales du Crédit Agricole en France

Le Crédit Agricole possède 369 filiales en France, pour un total de 39 276 employés.

Filiales du Crédit agricole en FranceLe produit net bancaire des filiales françaises du Crédit Agricole s’élevait à 7,986 milliards d’euros en 2013.

Voici la liste des filiales du Crédit agricole en France ainsi que leurs activités:

(source: http://www.credit-et-banque.com)

– Alsolia ( Services financiers spécialisés / Établissement bancaire et financier )
– Eurazeo ( Activités hors métiers / Sociétés d’investissement )
– Voix du Nord Investissement ( Banque de proximité en France / Divers )
– Nacarat ( Banque de proximité en France / Divers )
– Ucafleet ( Services financiers spécialisés / Sociétés de crédit-bail et location )
– UBAF ( Banque de financement et d’investissement / Divers )
– CCDS – Carte Cadeaux Distribution Services( Services financiers spécialisés /Divers )
– FC France S.A. ( Services financiers spécialisés / Établissement bancaire et financier )
– FL Auto S.N.C ( Services financiers spécialisés / Établissement bancaire et financier )
– FL Location SNC ( Services financiers spécialisés / Établissement bancaire et financier )
– Menafinance ( Services financiers spécialisés / Établissement bancaire et financier )
– FAL Fleet Services S.A.S. ( Services financiers spécialisés / Sociétés de crédit-bail et location )
– Newedge Group ( Banque de financement et d’investissement / Établissement bancaire et financier )
– CNP ACP 10 FCP ( Gestion de l’épargne / SCI )
– CNP ACP Oblig ( Gestion de l’épargne / SCI )
– Crealfi ( Services financiers spécialisés / Établissement bancaire et financier )
– OPCI Camp Invest ( Gestion de l’épargne / OPCI )
– Amundi Group ( Gestion de l’épargne / Établissement bancaire et financier )
– OPCI Iris Invest 2010 ( Gestion de l’épargne / OPCI )
– CACEIS S.A. ( Gestion de l’épargne / Sociétés d’investissement  )
– TCB ( Banque de financement et d’investissement / Divers )
– Inforsud Gestion ( Banque de proximité en France / Divers )
– OPCI Messidor ( Gestion de l’épargne / OPCI )
– GRD8 ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– Alsace Elite ( Banque de proximité en France / Divers )
– SCI Le Village Victor Hugo ( Gestion de l’épargne / SCI )
– Fininvest ( Banque de financement et d’investissement / Sociétés d’Investissement  )
– Nord Capital Investissement ( Banque de proximité en France / Sociétés d’investissement )
– GRD9 ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– Caapimmo 4 F ( Banque de proximité en France / Divers )
– Amundi GRD 22 FCP ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– SCI Fédérale Pereire Victoire ( Gestion de l’épargne / SCI )
– Miladim ( Banque de financement et d’investissement / Divers )
– Crédit Agricole CIB Financial Solutions ( Banque de financement et d’investissement / Divers )
– Ozenne Institutionnel ( Banque de proximité en France / Divers )
– Médicale de France ( Gestion de l’épargne / Assurance )
– Amundi Informatique Technique Services ( Gestion de l’épargne / Divers )
– SCI Federlog D ( Gestion de l’épargne / SCI )
– 2 483 Caisses locales ( Banque de proximité en France /Établissement bancaire et financier )
– 39 Caisses régionales ( Banque de proximité en France /Établissement bancaire et financier )
– Banque Chalus ( Banque de proximité en France /Établissement bancaire et financier )
– Banque Thémis ( Banque de proximité en France /Établissement bancaire et financier )
– Bforbank S.A. ( Banque de proximité en France /Établissement bancaire et financier )
– Cofam ( Banque de proximité en France /Établissement bancaire et financier )
– Interfimo ( Banque de proximité en France /Établissement bancaire et financier )
– LCL ( Banque de proximité en France /Établissement bancaire et financier )
– Sircam France ( Banque de proximité en France /Établissement bancaire et financier )
– Locam France ( Banque de proximité en France / société de crédit bail et location  )
– Bercy Participations ( Banque de proximité en France / Sociétés d’investissement )
– Ca Centre ( Banque de proximité en France / Sociétés d’investissement )
– Cacf Immobilier ( Banque de proximité en France / Sociétés d’investissement )
– Cads Développement ( Banque de proximité en France / Sociétés d’investissement )
– Calixte Investissement ( Banque de proximité en France / Sociétés d’investissement )
– Crédit Agricole Centre Est Immobilier ( Banque de proximité en France / Sociétés d’investissement )
– L’Immobilière D’À Côté ( Banque de proximité en France / Sociétés d’investissement )
– Nord Est Champagne Agro Partenaires ( Banque de proximité en France / Sociétés d’investissement )
– Nord Est Expansion ( Banque de proximité en France / Sociétés d’investissement )
– Prestimmo ( Banque de proximité en France / Sociétés d’investissement )
– Sepi ( Banque de proximité en France / Sociétés d’investissement )
– Sequana ( Banque de proximité en France / Sociétés d’investissement )
– Socadif ( Banque de proximité en France / Sociétés d’investissement )
– Credit Agricole ( Banque de proximité en France / Sociétés d’investissement )
– Cam Énergie ( Banque de proximité en France / Sociétés d’investissement )
– Groupe CAMCA ( Banque de proximité en France / Assurance )
– SCI 32 Liberté ( Banque de proximité en France / Assurance )
– Adret Gestion ( Banque de proximité en France / Divers )
– Anjou Maine Gestion ( Banque de proximité en France / Divers )
– Aquitaux Rendement F ( Banque de proximité en France / Divers )
– Ca Aquitaine Agences Immobilières ( Banque de proximité en France / Divers )
– Ca Aquitaine Immobilier ( Banque de proximité en France / Divers )
– Ca Participations ( Banque de proximité en France / Divers )
– Caapimmo 6 ( Banque de proximité en France / Divers )
– Cap Actions 2 ( Banque de proximité en France / Divers )
– Cap Obligataire ( Banque de proximité en France / Divers )
– Cap Régulier 1 ( Banque de proximité en France / Divers )
– Capi Centre-Est ( Banque de proximité en France / Divers )
– Caryatides Finance ( Banque de proximité en France / Divers )
– Centre France Location Immobilière ( Banque de proximité en France / Divers )
– Crédit Lyonnais Développement Économique (CLDE) ( Banque de proximité en France / Divers )
– Emeraude Croissance ( Banque de proximité en France / Divers )
– Europimmo France ( Banque de proximité en France / Divers )
– Financière PCA ( Banque de proximité en France / Divers )
– Finarmor Gestion ( Banque de proximité en France / Divers )
– Fonds Dédié Elstar ( Banque de proximité en France / Divers )
– Force Alsace ( Banque de proximité en France / Divers )
– Force Charente Maritime Deux Sèvres ( Banque de proximité en France / Divers )
– Force Iroise France ( Banque de proximité en France / Divers )
– Force Languedoc France ( Banque de proximité en France / Divers )
– Force Lorraine Duo France ( Banque de proximité en France / Divers )
– Force Profile 20 France ( Banque de proximité en France / Divers )
– Force Run France ( Banque de proximité en France / Divers )
– Force Toulouse Diversifié ( Banque de proximité en France / Divers )
– Force 4 ( Banque de proximité en France / Divers )
– Green Island ( Banque de proximité en France / Divers )
– Immobilière de Picardie ( Banque de proximité en France / Divers )
– Morbihan Gestion ( Banque de proximité en France / Divers )
– NMP Gestion ( Banque de proximité en France / Divers )
– Nord de France ( Banque de proximité en France / Divers )
– NS Immobilier Finance ( Banque de proximité en France / Divers )
– PCA Immo ( Banque de proximité en France / Divers )
– PG Immo ( Banque de proximité en France / Divers )
– Pyrénées Gascogne Altitude ( Banque de proximité en France / Divers )
– Pyrénées Gascogne Gestion ( Banque de proximité en France / Divers )
– S.A.S. Immnord ( Banque de proximité en France / Divers )
– SAS Brie Picardie Expansion ( Banque de proximité en France / Divers )
– SCI Euralliance Europe France ( Banque de proximité en France / Divers )
– SCI Les Fauvins France ( Banque de proximité en France / Divers )
– Scica HL France ( Banque de proximité en France / Divers )
– SNC Kalliste Assur ( Banque de proximité en France / Divers )
– Sud Rhône Alpes Placement ( Banque de proximité en France / Divers )
– Toulouse 31 Court Terme ( Banque de proximité en France / Divers )
– Val de France Rendement ( Banque de proximité en France / Divers )
– PG Invest E1 ( Banque de proximité en France / Divers )
– Sacam Immobilier ( Banque de proximité en France / Divers )
– Franche Comté Développement Foncier ( Banque de proximité en France / Développement touristique-immobilier )
– Franche Comté Développement Immobilier ( Banque de proximité en France / Développement touristique-immobilier )
– Nord Est Optimmo S.A.S. ( Banque de proximité en France / Développement touristique-immobilier )
– S.A. Foncière de l’Érable ( Banque de proximité en France / Développement touristique-immobilier ) S.A. Foncière de l’Érable
– S.A.S. Arcadim Fusion ( Banque de proximité en France / Développement touristique-immobilier )
– SCI Crystal Europe ( Banque de proximité en France / Développement touristique-immobilier )
– SCI Quartz Europe ( Banque de proximité en France / Développement touristique-immobilier )
– Aquitaine Immobilier Investissement ( Banque de proximité en France / Développement touristique-immobilier )
– Normandie Seine Foncière ( Banque de proximité en France / Développement touristique-immobilier )
– Belgium CA S.A.S. ( Banque de proximité à l’international /  Divers )
– IUB Holding ( Banque de proximité à l’international /  Divers )
– Crédit Agricole Consumer Finance ( Services financiers spécialisés / Établissement bancaire et financier )
– Sedef ( Services financiers spécialisés / Établissement bancaire et financier )
– Auxifip F ( Services financiers spécialisés / Sociétés de crédit-bail et location )
– Crédit Agricole Leasing & Factoring ( Services financiers spécialisés / Sociétés de crédit-bail et location )
– Finamur ( Services financiers spécialisés / Sociétés de crédit-bail et location )
– Green FCT Lease ( Services financiers spécialisés / Sociétés de crédit-bail et location )
– Lixxbail ( Services financiers spécialisés / Sociétés de crédit-bail et location )
– Lixxcourtage ( Services financiers spécialisés / Sociétés de crédit-bail et location )
– Lixxcredit ( Services financiers spécialisés / Sociétés de crédit-bail et location )
– Unifergie ( Services financiers spécialisés / Sociétés de crédit-bail et location )
– Argence Investissement S.A.S. ( Services financiers spécialisés / Sociétés d’investissement  )
– Crédit LIFT ( Services financiers spécialisés /Divers )
– Eda France ( Services financiers spécialisés /Divers )
– Sofinco Participations ( Services financiers spécialisés /Divers )
– Teotys ( Services financiers spécialisés /Divers )
– Amundi ( Gestion de l’épargne / Établissement bancaire et financier )
– Amundi AI S.A.S. ( Gestion de l’épargne / Établissement bancaire et financier )
– Amundi Finance ( Gestion de l’épargne / Établissement bancaire et financier )
– Amundi Immobilier ( Gestion de l’épargne / Établissement bancaire et financier )
– Amundi India Holding ( Gestion de l’épargne / Établissement bancaire et financier )
– Amundi Intermédiation ( Gestion de l’épargne / Établissement bancaire et financier )
– Amundi Private Equity Funds ( Gestion de l’épargne / Établissement bancaire et financier )
– Amundi Tenue de Comptes ( Gestion de l’épargne / Établissement bancaire et financier )
– BFT Gestion ( Gestion de l’épargne / Établissement bancaire et financier )
– CA Indosuez Gestion ( Gestion de l’épargne / Établissement bancaire et financier )
– CA Indosuez Private Banking ( Gestion de l’épargne / Établissement bancaire et financier )
– CACEIS Bank France ( Gestion de l’épargne / Établissement bancaire et financier )
– CACEIS Corporate Trust ( Gestion de l’épargne / Établissement bancaire et financier )
– CACEIS Fund Administration ( Gestion de l’épargne / Établissement bancaire et financier )
– Clam Philadelphia ( Gestion de l’épargne / Établissement bancaire et financier )
– CPR AM ( Gestion de l’épargne / Établissement bancaire et financier )
– Étoile Gestion ( Gestion de l’épargne / Établissement bancaire et financier )
– Société Générale Gestion (S2G) ( Gestion de l’épargne / Établissement bancaire et financier )
– Amundi Finance Émissions- ( Gestion de l’épargne / Établissement bancaire et financier )
– Acajou ( Gestion de l’épargne / Établissement bancaire et financier )
– Predica ( Gestion de l’épargne / Assurance )
– Pacifica ( Gestion de l’épargne / Assurance )
– Assurances Mutuelles Fédérales ( Gestion de l’épargne / Assurance )
– CACI Vie ( Gestion de l’épargne / Assurance )
– CACI Non Vie ( Gestion de l’épargne / Assurance )
– Crédit Agricole Assurances (CAA) ( Gestion de l’épargne / Assurance )
– Crédit Agricole Creditor Insurance (CACI) ( Gestion de l’épargne / Assurance )
– Spirica ( Gestion de l’épargne / Assurance )
– CALI Europe Succursale France ( Gestion de l’épargne / Assurance )
– Dolcea Vie ( Gestion de l’épargne / Assurance )
– Finaref Assurances ( Gestion de l’épargne / Assurance )
– Finaref Risques Divers ( Gestion de l’épargne / Assurance )
– Finaref Vie ( Gestion de l’épargne / Assurance )
– BFT opportunité ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– Edram opportunités ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– Predica Secondaires III – ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– Objectif Long Terme FCP – ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– FCPR CAA France croissance 2 A ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– FCPR CAA 2013 ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– FCPR Roosevelt Investissements ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– FCPR UI CAP AGRO ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– FCPR UI Cap Santé A ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– Federval ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– GRD1 F ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– GRD10 ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– GRD11 ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– GRD12 ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– GRD14 ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– GRD16 ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– GRD17 ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– GRD18 ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– GRD19 ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– GRD2 ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– GRD20 ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– GRD3 ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– GRD4 ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– GRD5 ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– GRD7 ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– Predica 2005 FCPR A ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– Predica 2006 FCPR A ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– Predica 2006-2007 FCPR ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– GRD 13 FCP ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– GRD 21 FCP ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– Prediquant Strategies ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– Predicant A1 FCP ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– Predicant A2 FCP ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– Predicant A3 FCP ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– Prediquant opportunité ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– FCPR Predica 2007 ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– FCPR Predica 2008 ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– Predica 2010 ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– FCPR Predica Secondaires I ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– FCPR CAA COMP D ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– FCPR Predica Secondaires II D ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– CAA Priv.Financ. D ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– CAA 2013-3 ( Gestion de l’épargne / OPCVM )
– Predica OPCI Bureau ( Gestion de l’épargne / OPCI )
– Predica OPCI Commerces ( Gestion de l’épargne / OPCI )
– Predica OPCI Habitation ( Gestion de l’épargne / OPCI )
– SCI Federlondres ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 139 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– CAA 2013-2 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Fédérale Villiers ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Federcom ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Federpierre ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Valhubert ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Porte des Lilas – Frères Flavien ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI MEDI Bureaux ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI BMEDIC Habitation ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 1 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 4 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 5 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 6 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 11 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 13 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 17 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 18 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 20 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 32 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 33 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 34 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 35 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 36 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 37 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 38 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 39 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 42 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 43 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 44 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 47 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 48 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 51 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 52 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 54 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 57 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 58 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 60 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 61 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 62 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 63 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 64 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 67 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 68 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 69 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SA Resico ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 72 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 73 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 74 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 76 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 77 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 78 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 79 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 80 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 82 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 84 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 85 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 89 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 91 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 92 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 96 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 100 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 101 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 102 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 103 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 104 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 105 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 107 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 108 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 109 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 110 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 112 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 113 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 115 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 116 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 117 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 118 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 120 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 121 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 122 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 123 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 126 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 128 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 129 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 131 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Imefa 132 ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Pacifica Hugo ( Gestion de l’épargne / SCI )
– SCI Grenier Vellef ( Gestion de l’épargne / SCI )
– CACI Gestion ( Gestion de l’épargne / Divers )
– Crédit Agricole Private Banking ( Gestion de l’épargne / Divers )
– SAS Caagis ( Gestion de l’épargne / Divers )
– SCI La Baume ( Gestion de l’épargne / Divers )
– Via Vita ( Gestion de l’épargne / Divers )
– Crédit Agricole CIB S.A. ( Banque de financement et d’investissement / Établissement bancaire et financier )
– Clifap ( Banque de financement et d’investissement / Sociétés d’Investissement  )
– Compagnie Française de l’Asie (CFA) ( Banque de financement et d’investissement / Sociétés d’Investissement  )
– Crédit Agricole CIB Air Finance S.A. ( Banque de financement et d’investissement / Sociétés d’Investissement  )
– Crédit Agricole CIB Global Banking ( Banque de financement et d’investissement / Sociétés d’Investissement  )
– Doumer Finance S.A.S. ( Banque de financement et d’investissement / Sociétés d’Investissement  )
– Ester Finance ( Banque de financement et d’investissement / Sociétés d’Investissement  )
– Fletirec ( Banque de financement et d’investissement / Sociétés d’Investissement  )
– I.P.F.O. ( Banque de financement et d’investissement / Sociétés d’Investissement  )
– CAIRS Assurance S.A. ( Banque de financement et d’investissement / Assurance )
– Calixis Finance ( Banque de financement et d’investissement / Divers )
– Merisma ( Banque de financement et d’investissement / Divers )
– Armo-Invest ( Banque de financement et d’investissement / Divers )
– Calciphos ( Banque de financement et d’investissement / Divers )
– Molinier Finances ( Banque de financement et d’investissement / Divers )
– SNGI ( Banque de financement et d’investissement / Divers )
– Placements et réalisations immobilières (SNC) ( Banque de financement et d’investissement / Divers )
– Crédit Agricole S.A. ( Activités hors métiers / Crédit Agricole )
– BFC Antilles Guyane ( Activités hors métiers / Etablissement bancaire et financier )
– Crédit Agricole Home Loan SFH ( Activités hors métiers / Etablissement bancaire et financier )
– Fia-Net ( Activités hors métiers / Etablissement bancaire et financier )
– Foncaris ( Activités hors métiers / Etablissement bancaire et financier )
– Radian ( Activités hors métiers / Etablissement bancaire et financier )
– Sacam Développement ( Activités hors métiers / Etablissement bancaire et financier )
– Sacam International ( Activités hors métiers / Etablissement bancaire et financier )
– SNC Courcelles ( Activités hors métiers / Etablissement bancaire et financier )
– Crédit Agricole Capital Investissement et Finance (CACIF) ( Activités hors métiers / Sociétés d’investissement )
– Delfinances ( Activités hors métiers / Sociétés d’investissement )
– Sodica ( Activités hors métiers / Sociétés d’investissement )
– S.A.S. Rue La Boetie ( Activités hors métiers / Sociétés d’investissement )
– Sacam Assurances Cautions ( Activités hors métiers / Sociétés d’investissement )
– Sacam Fia Net Europe ( Activités hors métiers / Sociétés d’investissement )
– Sacam Participations ( Activités hors métiers / Sociétés d’investissement )
– CA Grands Crus ( Activités hors métiers / Divers )
– CPR Holding (CPRH) ( Activités hors métiers / Divers )
– Crédit Agricole Cards & Payments ( Activités hors métiers / Divers )
– Crédit Agricole Immobilier ( Activités hors métiers / Divers )
– Crédit Agricole Immobilier Facilities ( Activités hors métiers / Divers )
– Crédit Agricole Public Sector SCF ( Activités hors métiers / Divers )
– Finasic ( Activités hors métiers / Divers )
– SILCA ( Activités hors métiers / Divers )
– S.A.S. Evergreen Montrouge ( Activités hors métiers / Divers )
– S.A.S. Sacam Avenir ( Activités hors métiers / Divers )
– SCI D2 CAM ( Activités hors métiers / Divers )
– SCI Quentyvel ( Activités hors métiers / Divers )
– SIS (Société Immobilière de la Seine) ( Activités hors métiers / Divers )
– UI Vavin 1 ( Activités hors métiers / Divers )
– Unibiens ( Activités hors métiers / Divers )
– Uni-Éditions ( Activités hors métiers / Divers )
– FCT Evergreen HL 1 ( Activités hors métiers / Divers )
– Crédit Agricole Immobilier Entreprise ( Activités hors métiers / Développement touristique-immobilier )
– Crédit Agricole Immobilier Résidentiel ( Activités hors métiers / Développement touristique-immobilier )
– Monné-Decroix Gestion S.A.S. ( Activités hors métiers / Développement touristique-immobilier )
– Monné-Decroix Résidences S.A.S. ( Activités hors métiers / Développement touristique-immobilier )
– Selexia S.A.S. ( Activités hors métiers / Développement touristique-immobilier )
– SNC Eole ( Activités hors métiers / Développement touristique-immobilier )
– SNC Alsace ( Activités hors métiers / Développement touristique-immobilier )

 

Record de dividendes en 2014

Avec un total de 1 190 milliards de dollars de dividendes versés, 2014 sera une année record pour les actionnaires.

Record de dividendes en 2014D’après une étude de la société de gestion Henderson Global Investors, pas moins de 1 190 milliards de dollars de dividendes, soit  960 milliards d’euros, auront été versés en 2014, un record. Ces 1 190 milliards de dollars de dividendes distribués en 2014 représentent une hausse de 12,6% par rapport à l’année dernière.

Selon les estimations de Henderson Global Investors, ce montant sera encore supérieur en 2015. Le cabinet de gestion prévoit 1 240 milliards de dollars de dividendes distribués l’année prochaine.

Au 3ème trimestre 2014, les 1200 entreprises cotées ont redistribué pour 288 milliards de dollars de dividendes, un record. Les entreprises américaines, et notamment celles issues de l’industrie financière, ont quant à elles versé un total de 87,4 milliards de dollars de dividendes au 3ème trimestre. En revanche, les entreprise françaises n’ont versé que 3,8 milliards de dollars de dividendes au 3ème trimestre, le montant le plus bas depuis 2009.

source: bfmtv.com

Les nouvelles règles de contrôle des agences de notation

Près de 15 nouvelles règles de contrôle des agences de notation ont été adoptées par le gendarme boursier américain. Ces nouvelles règles de contrôle étaient demandées et attendues depuis 2010.

Les nouvelles règles de contrôle des agences de notationLes nouvelles règles de contrôle des agences de notation devront permettre d’améliorer la qualité des évaluations de crédits, leur transparence, tout en augmentant la responsabilité des agences. Elles devraient également permettre de protéger les investisseurs et les marchés contre la répétition de pratiques ayant été au centre de la crise financière.

Une dizaine d’agences de notation sont concernées par ces nouvelles règles de fonctionnement et de contrôle, dont Moody’s, Standard and Poor’s et Fitch. Le gendarme boursier américain a ciblé les agences de notation devant évaluer le risque de non-remboursement de la dette d’un État, d’une entreprise ou d’une collectivité locale.

Avec ces nouvelles règles de contrôle, les agences de notation concernées devront améliorer leurs contrôles internes et mettre en place des règles plus strictes. Le gendarme boursier souhaite ainsi éviter les conflits d’intérêts au sein des agences de notation. Désormais, les nouvelles méthodes statistiques des agences de notation servant à évaluer les notes devront être vérifiées par des salariés qui ne sont pas chargés de déterminer ces notes.

Les agences de notation devront désormais effectuer des bilans annuels de leurs procédures de contrôle interne, tout comme la responsabilité de l’encadrement dans leur application.

Avec les nouvelles règles de contrôle, les agences de notation seront désormais obligées de de publier les données et l’historique de leurs notations. Les nouvelles règles de contrôle des agences de notation entreront en vigueur 60 jours après leur publication au Registre fédéral.

source: latribune.fr

Norme IAS 19

Voici dans le détail la présentation de la norme IAS 19 sur les avantages du personnel.

Norme IAS 19Champ d’application de la norme IAS 19

La norme IAS 19 s’applique à la comptabilisation de tous les avantages du personnel, sauf ceux auxquels s’applique IFRS 2 « Paiement fondé sur des actions » .

Les avantages du personnel comprennent :

les avantages du personnel à court terme comme les salaires et les cotisations de sécurité sociale, les congés payés et les congés maladie, l’intéressement et les primes (payables dans les 12 mois suivant la fin de la période) ainsi que les avantages non monétaires (comme l’assistance médicale, le logement, les voitures et les biens ou services gratuits ou subventionnés) dont bénéficient les membres du personnel en activité ;
les avantages postérieurs à l’emploi comme les pensions et autres prestations de retraite, l’assurance-vie postérieure à l’emploi et l’assistance médicale postérieure à l’emploi ;
les autres avantages à long terme, notamment les congés liés à l’ancienneté ou les congés sabbatiques, les jubilés et autres avantages liés à l’ancienneté, les indemnités pour invalidité de longue durée et, s’ils sont payables 12 mois ou plus après la fin de la période, l’intéressement, les primes et les rémunérations différées ;
et
les indemnités de fin de contrat de travail.

Norme IAS 19: Définitions

Les avantages du personnel désignent toutes formes de contrepartie donnée par une entité au titre des services rendus par son personnel.

Les avantages à court terme  désignent les avantages du personnel (autres que les indemnités de fin de contrat de travail) qui sont dus intégralement dans les douze mois suivant la fin de la période pendant laquelle les membres du personnel ont rendu les services correspondants.

Les avantages postérieurs à l’emploi  désignent les avantages du personnel (autres que les indemnités de fin de contrat de travail) qui sont payables postérieurement à la cessation de l’emploi.

Les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi  désignent les accords formalisés ou non formalisés en vertu desquels une entité verse des avantages postérieurs à l’emploi à un ou plusieurs membres de son personnel.

Les régimes à cotisations définies  désignent les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi en vertu desquels une entité verse des cotisations définies à une entité distincte (un fonds) et n’aura aucune obligation juridique ou implicite de payer des cotisations supplémentaires si le fonds n’a pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant la période en cours et les périodes antérieures.

Les régimes à prestations définies  désignent les régimes d’avantages postérieurs à l’emploi autres que les régimes à cotisations définies.

Les autres avantages à long terme  désignent les avantages (autres que les avantages postérieurs à l’emploi et les indemnités de fin de contrat de travail) qui ne sont pas dus intégralement dans les douze mois suivant la fin de la période pendant laquelle les membres du personnel ont rendu les services correspondants.

Les indemnités de fin de contrat de travail  sont des avantages du personnel payables à la suite de :

la décision de l’entité de résilier le contrat de travail du membre du personnel avant l’âge normal de départ en retraite ;
ou
la décision du membre du personnel de partir volontairement en échange de ces indemnités.

Les avantages acquis  sont les avantages qui ne sont pas conditionnés par l’existence de périodes de service futures.

La valeur actuelle de l’obligation au titre de prestations définies  désigne la valeur actuelle, avant déduction des actifs du régime, des paiements futurs attendus qui sont nécessaires pour éteindre l’obligation résultant des services rendus au cours de la période en cours et des périodes antérieures.

Le coût des services rendus au cours de la période  désigne l’accroissement de la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies résultant des services rendus au cours de la période.

Le coût financier  désigne l’accroissement, au cours d’une période, de la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies résultant du fait que l’on s’est rapproché de la date de règlement des prestations d’une période.

Les actifs du régime  comprennent :

des actifs détenus par un fonds d’avantages du personnel à long terme ;
et
des contrats d’assurance qualifiés.

Les écarts actuariels  incluent :

les ajustements liés à l’expérience (les effets des différences entre les hypothèses actuarielles antérieures et ce qui s’est effectivement produit) ;
et
les effets des changements d’hypothèses actuarielles.

Le coût des services passés  désigne l’accroissement de la valeur actualisée de l’obligation au titre des prestations définies pour les services rendus au cours de périodes antérieures, résultant de l’introduction d’un nouveau régime d’avantages postérieurs à l’emploi ou d’autres avantages à long terme ou de changements apportés au cours de la période à un tel régime. Le coût des services passés peut être positif (si de nouveaux avantages sont introduits ou des avantages existants améliorés) ou négatif (si des avantages existants sont réduits).

Norme IAS 19 : avantages du personnel à court terme

Lorsqu’un membre du personnel a rendu des services à une entité au titre d’une période, l’entité doit comptabiliser le montant non actualisé des avantages à court terme qu’elle s’attend à lui payer en contrepartie :

au passif (charge à payer), après déduction du montant déjà payé. Si le montant déjà payé excède la valeur non actualisée des prestations, l’entité doit comptabiliser l’excédent à l’actif (charge payée d’avance) dans la mesure où le paiement d’avance conduira, par exemple, à une réduction des paiements futurs ou à un remboursement en trésorerie ;
et
en charges, à moins qu’une autre norme n’impose ou n’autorise l’incorporation des avantages dans le coût d’un actif (voir, par exemple, IAS 2 « Stocks »  et IAS 16 « Immobilisations corporelles » ).

Une entité doit comptabiliser le coût attendu des paiements à effectuer au titre de l’intéressement et des primes si et seulement si :

l’entité a une obligation actuelle, juridique ou implicite, d’effectuer ces paiements au titre d’événements passés ;
et
une estimation fiable de l’obligation peut être effectuée.

Une obligation actuelle existe si et seulement si l’entreprise n’a pas d’autre solution réaliste que de payer.

Norme IAS 19: avantages postérieurs à l’emploi : régimes à prestations définies

Le montant comptabilisé au passif au titre de prestations définies doit être égal au total de :

la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture ;
majorée des profits actuariels (minorée des pertes actuarielles) non comptabilisées ;
diminuée du coût des services passés non encore comptabilisé ;
diminuée de la juste valeur à la date de clôture des actifs du régime (s’ils existent) utilisés directement pour éteindre les obligations.

Une entité doit comptabiliser en résultat, le total des montants ci-après, sauf si une autre norme impose ou permet de l’incorporer dans le coût d’un actif :

le coût des services rendus au cours de la période ;
le coût financier ;
le rendement attendu de tous les actifs du régime et de tous les droits à remboursement ;
les écarts actuariels (sous certaines conditions) ;
le coût des services passés (sous certaines conditions) ;
l’effet de toute réduction ou liquidation de régime.

L’entité doit utiliser la méthode des unités de crédit projetées pour déterminer la valeur actuelle de son obligation au titre des prestations définies, le coût correspondant des services rendus au cours de la période et, le cas échéant, le coût des services passés.

Le taux à appliquer pour actualiser les obligations au titre des avantages postérieurs à l’emploi (que ceux-ci soient financés ou non) doit être déterminé par référence à un taux de marché à la date de clôture fondé sur les obligations d’entités de première catégorie. Dans les pays où ce type de marché n’est pas actif, il faut prendre le taux (à la clôture) des obligations d’Etat.

Pour l’évaluation du passif au titre des prestations définies, l’entité doit comptabiliser une fraction de ses écarts actuariels en produits ou en charges si les écarts actuariels cumulés non comptabilisés à la fin de la période précédente excèdent la plus grande des deux valeurs ci-dessous :

10 % de la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture (avant déduction des actifs du régime) ;
et
10 % de la juste valeur des actifs du régime à la date de clôture.

La fraction des écarts actuariels à comptabiliser pour chaque régime à prestations définies est l’excédent, déterminé selon le paragraphe ci-dessus, divisé par la durée de vie active moyenne résiduelle attendue des membres du personnel bénéficiant de ce régime. Toutefois, une entité peut adopter toute méthode conduisant à comptabiliser de façon systématique tous les écarts actuariels plus rapidement, sous réserve d’appliquer la même base de comptabilisation pour les gains et pour les pertes actuariels et de l’appliquer de façon permanente d’une période à l’autre.

Norme IAS 19: autres avantages à long terme

Les autres avantages à long terme sont, par exemple :

les absences rémunérées de longue durée, telles que les congés liés à l’ancienneté ou les congés sabbatiques ;
les jubilés ou autres avantages liés à l’ancienneté ;
les indemnités d’incapacité de longue durée ;
l’intéressement et les primes à payer douze mois ou plus, après la fin de la période pendant laquelle les membres du personnel ont effectué les services correspondants ;
et
les rémunérations différées versées douze mois ou plus, après la fin de la période au cours de laquelle elles ont été acquises.

Habituellement, l’évaluation des autres avantages à long terme n’est pas soumise au même degré d’incertitude que celle des avantages postérieurs à l’emploi. De plus, l’introduction ou la modification des autres avantages à long terme génère rarement un coût important au titre des services passés. C’est pour ces différentes raisons que la présente norme impose une méthode simplifiée de comptabilisation des autres avantages à long terme. Cette méthode diffère sur les points suivants de celle imposée pour les avantages postérieurs à l’emploi :

les écarts actuariels sont comptabilisés immédiatement et aucun corridor n’est appliqué ;
et
l’ensemble du coût des services passés est comptabilisé immédiatement.

Le montant comptabilisé au passif pour les autres avantages à long terme doit être égal au total de :

la valeur actuelle de l’obligation au titre des prestations définies à la date de clôture ;
diminuée de la juste valeur à la date de clôture des actifs du régime (s’ils existent) utilisés directement pour éteindre les obligations.

Norme IAS 19 : Indemnités de fin de contrat de travail

Une entité doit comptabiliser les indemnités de fin de contrat de travail au passif et en charges si et seulement si elle est manifestement engagée :

à mettre fin à l’emploi d’un ou plusieurs membres du personnel avant l’âge normal de mise à la retraite ;
ou
à octroyer des indemnités de fin de contrat de travail à la suite d’une offre faite pour encourager les départs volontaires.

Une entité est manifestement engagée à mettre fin à un contrat de travail si et seulement si elle a un plan formalisé et détaillé de licenciement sans possibilité réelle de se rétracter.

Norme IAS 37

Voici dans le détail la présentation de la norme IAS 37 sur les provisions, passifs éventuels et actifs éventuels.

Norme IAS 37Champ d’application de la norme IAS 37

La norme IAS 37 s’applique à la comptabilisation des provisions, des passifs éventuels et des actifs éventuels de toutes les entités, excepté :

ceux résultant de contrats non (entièrement) exécutés, sauf dans le cas où il s’agit d’un contrat déficitaire ;
ceux couverts par une autre norme.

La norme IAS 37 ne s’applique pas aux instruments financiers (y compris les garanties) entrant dans le champ d’application de la norme IAS 39 « Instruments financiers : comptabilisation et évaluation » .

Norme IAS 37: Définitions

Qu’est-ce qu’une provision ?

Une provision est un passif dont l’échéance ou le montant est incertain.

Qu’est-ce qu’un passif ?

Un passif est une obligation actuelle de l’entité résultant d’événements passés et dont le règlement devrait se traduire pour l’entité par une sortie de ressources représentatives d’avantages économiques.

Un fait générateur d’obligation est un événement qui crée une obligation juridique ou implicite qui ne laisse pas à l’entité d’autre solution réaliste que d’éteindre cette obligation.

Qu’est-ce qu’un passif éventuel ?

Un passif éventuel est :

une obligation potentielle résultant d’événements passés et dont l’existence ne sera confirmée que par la survenance (ou non) d’un ou plusieurs événements futurs incertains qui ne sont pas totalement sous le contrôle de l’entité ;
ou
une obligation actuelle résultant d’événements passés mais qui n’est pas comptabilisée car :
il n’est pas probable qu’une sortie de ressources représentatives d’avantages économiques soit nécessaire pour éteindre l’obligation ;
ou
le montant de l’obligation ne peut être évalué avec une fiabilité suffisante.

Qu’est-ce qu’un actif éventuel ?

Un actif éventuel est un actif potentiel résultant d’événements passés et dont l’existence ne sera confirmée que par la survenance (ou non) d’un ou plusieurs événements futurs incertains qui ne sont pas totalement sous le contrôle de l’entreprise.

Norme IAS 37 :Comptabilisation

Norme IAS 37: Provisions

Une provision doit être comptabilisée lorsque :

une entité a une obligation actuelle (juridique ou implicite) résultant d’un événement passé ;
il est probable qu’une sortie de ressources représentatives d’avantages économiques sera nécessaire pour régler l’obligation ;
et
le montant de l’obligation peut être estimé de manière fiable.

Si ces conditions ne sont pas réunies, aucune provision ne doit être comptabilisée.

En de rares cas, l’existence d’une obligation actuelle n’apparaît pas clairement. Dans ces cas, un événement passé est considéré créer une obligation actuelle si, compte tenu de toutes les indications disponibles, il est plus probable qu’improbable qu’une obligation actuelle existe à la date de clôture.

Norme IAS 37: Passifs éventuels

Une entreprise ne doit pas comptabiliser un passif éventuel. Il donne toutefois lieu à une information en annexe.

Norme IAS 37: Actifs éventuels

Une entité ne doit pas comptabiliser un actif éventuel.

Evaluation

Norme IAS 37: Meilleure estimation

Le montant comptabilisé en provision doit être la meilleure estimation de la dépense nécessaire à l’extinction de l’obligation actuelle à la date de clôture.

Norme IAS 37: Risques et incertitudes

Les risques et incertitudes qui affectent inévitablement de nombreux événements et circonstances doivent être pris en compte pour parvenir à la meilleure estimation d’une provision.

Norme IAS 37: Valeur actuelle

Lorsque l’effet de la valeur temps de l’argent est significatif, le montant de la provision doit être la valeur actuelle des dépenses attendues que l’on pense nécessaires pour éteindre l’obligation.

Le(s) taux d’actualisation doi(ven)t être un (des) taux avant impôts reflétant les appréciations actuelles par le marché de la valeur temps de l’argent et des risques spécifiques à ce passif. Le(s) taux d’actualisation ne doi(ven)t pas refléter les risques pour lesquels les estimations de flux de trésorerie futurs ont été ajustées.

Norme IAS 37: Evénements futurs

Les événements futurs pouvant avoir un effet sur le montant nécessaire à l’extinction d’une obligation doivent être traduits dans le montant de la provision lorsqu’il existe des indications objectives suffisantes que ces événements se produiront.

Norme IAS 37: Sortie attendue d’actifs

Les profits résultant de la sortie attendue d’actifs ne doivent pas être pris en compte dans l’évaluation d’une provision.

A la place, l’entité comptabilise les profits sur les sorties attendues d’actifs à la date spécifiée par la norme traitant des actifs concernés.

Norme IAS 37: Remboursements

Lorsqu’il est attendu que la totalité ou partie de la dépense nécessaire à l’extinction d’une provision sera remboursée par une autre partie, le remboursement doit être comptabilisé si, et seulement si, l’entité a la quasi-certitude de recevoir ce remboursement si elle éteint son obligation. Le remboursement doit être traité comme un actif distinct. Le montant comptabilisé au titre du remboursement ne doit pas être supérieur au montant de la provision.

Dans le compte de résultat, la charge correspondant à une provision peut être présentée nette du montant comptabilisé au titre d’un remboursement.

Norme IAS 37: Changements affectant les provisions

Les provisions doivent être revues à chaque date de clôture et ajustées pour réfléter la meilleure estimation à cette date. Si une sortie de ressources représentatives d’avantages économiques nécessaires à l’extinction d’une obligation n’est plus probable, la provision doit être reprise.

Lorsque les provisions sont actualisées, la valeur comptable d’une provision augmente à chaque période pour refléter l’écoulement du temps. Cette augmentation est comptabilisée en coûts d’emprunt.

Norme IAS 37: Utilisation des provisions

Une provision ne doit être utilisée que pour les dépenses pour lesquelles elle a été comptabilisée à l’origine.

Application des règles de comptabilisation et d’évaluation

Norme IAS 37: Pertes opérationnelles futures

Des provisions ne doivent pas être comptabilisées au titre de pertes opérationnelles futures.

Norme IAS 37: Contrats déficitaires

Si une entité a un contrat qui est déficitaire, l’obligation actuelle résultant de ce contrat doit être comptabilisée et évaluée comme une provision.

Norme IAS 37: Restructurations

Une provision pour coûts de restructuration n’est comptabilisé que lorsqu’il a été satisfait aux critères généraux de comptabilisation des provisions énoncés ci-dessus.

Une obligation implicite de restructurer est générée uniquement lorsqu’une entité :

a un plan formalisé et détaillé de restructuration précisant au moins :
l’activité ou la partie d’activité concernée ;
les principaux sites affectés ;
la localisation, la fonction et le nombre approximatif de membres du personnel qui seront indemnisés au titre de la fin de leur contrat de travail ;
les dépenses qui seront engagées ;
et
la date à laquelle le plan sera mis en œuvre ;
et
a créé, chez les personnes concernées, une attente fondée qu’elle mettra en œuvre la restructuration soit en commençant à exécuter le plan, soit en leur annonçant ses principales caractéristiques.

Une provision pour restructuration ne doit inclure que les dépenses directement liées à la restructuration, c’est-à-dire les dépenses qui sont à la fois :

nécessairement entraînées par la restructuration ;
et
non liées aux activités poursuivies par l’entité.

Norme IAS 37: Informations à fournir

Pour chaque catégorie de provision, l’entité doit notamment fournir une information sur :

la valeur comptable à l’ouverture et à la clôture de la période ;
les provisions supplémentaires constituées au cours de la période, y compris l’augmentation des provisions existantes ;
les montants utilisés au cours de la période ;
les montants non utilisés repris au cours de la période ;
et
l’augmentation au cours de la période du montant actualisé résultant de l’écoulement du temps et de l’effet de toute modification du taux d’actualisation.

L’information comparative n’est pas imposée.

Pour chaque catégorie d’actifs, l’entité doit notamment fournir :

une brève description de la nature de l’obligation et de l’échéance attendue des sorties d’avantages économiques en résultant ;
une indication des incertitudes relatives au montant ou à l’échéance de ces sorties ;
et
le montant de tout remboursement attendu, en indiquant le montant de tout actif qui a été comptabilisé pour ce remboursement attendu.

A moins que la probabilité d’une sortie pour règlement soit très faible, l’entité doit fournir, pour chaque catégorie de passif éventuel à la date de clôture, une brève description de la nature de ce passif éventuel et, dans la mesure du possible :

une estimation de son effet financier ;
une indication des incertitudes relatives au montant ou à l’échéance de toute sortie ;
et
la possibilité de tout remboursement.

Lorsqu’une entrée d’avantages économiques est probable, l’entité doit fournir une brève description de la nature des actifs éventuels à la date de clôture et, dans la mesure du possible, une estimation de leur effet financier.

Dans des cas extrêmement rares, la fourniture des informations en tout ou partie peut causer un préjudice sérieux à l’entité dans un litige l’opposant à des tiers sur le sujet faisant l’objet de la provision, du passif éventuel ou de l’actif éventuel. En de tels cas, l’entité n’a pas à fournir ces informations, mais elle doit indiquer la nature générale du litige, le fait que ces informations n’ont pas été fournies, ainsi que la raison pour laquelle elles ne l’ont pas été.

Date d’entrée en vigueur de la norme IAS 37

La norme IAS 37 s’applique aux états financiers annuels des périodes ouvertes à compter du 1er juillet 1999. Une application anticipée est encouragée. Si une entité applique la présente norme au titre de périodes ouvertes avant le 1er juillet 1999, elle doit l’indiquer.

Formation bases de la communication financière

La formation bases de la communication financière est une nouvelle formation proposée par Actions-Finance dans notre catalogue de formations 2014 ( téléchargez le catalogue formations Actions-Finance 2014 : catalogue de formation 2014 ).

Formation bases de la communication financièreAu programme de la formation bases de la communication financière:

Les Objectifs de la communication financière

•La délivrance d’une information pertinente et conforme aux obligations de l’entreprise
•Le respect des obligations légales (aspects comptables et financiers)
•Le contenu de l’information financière (différents cadres comptables)
•Le document de référence AMF en France
•Lecture et analyse d’un document de référence d’un grand groupe coté en Bourse

Les relations avec les investisseurs et les agences de notation

•Différents types d’investisseurs et leurs attentes
•Différents types d’opérations (émission d’actions, d’obligations, de droits de souscriptions, augmentation de capital, fusion, autres…)
•Modalités de rencontre avec les investisseurs (réunions d’analystes, road show, autres)
•Les principales agences de notation financière (attentes et modes de fonctionnement interne)

Les relations avec la presse

•Différents types d’acteurs de presse
•Modalités de rencontre avec les journalistes
•Les chaines spécialisées du paysage audiovisuel international

Les bases indispensables d’analyse financière a l’usage de l’équipe

•Aspects techniques essentiels (lecture d’un bilan et d’un compte de résultat)
•Questions souvent posées par les analystes
•L’importance de l’EBITDA
•Principaux ratios d’analyse financière utilisés par les agences de notation
•Interprétations usuelles

Plus d’informations sur la formation bases de la communication financière: http://formation.actions-finance.com/les-bases-de-la-communication-financiere/

Formation Gestion des risques de change pour trésoriers d’entreprises

La formation Gestion des risques de change pour trésoriers d’entreprises est une nouvelle formation proposée par Actions-Finance dans notre catalogue de formations 2014 ( téléchargez le catalogue formations Actions-Finance 2014 : catalogue de formation 2014 ).

Formation Gestion des risques de change pour trésoriers d’entreprisesAu programme de la formation Gestion des risques de change pour trésoriers d’entreprises:

La détection des risques de change dans l’entreprise

Les techniques non optionnelles de couverture

•L’adossement naturel, le termaillage, l’avance en devises, les clauses d’indexation de prix
•Le change à terme simple et avec intéressement (import et export)
•Nombreux exemples de stratégies import et export

La couverture à l’aide d’options de 1ère génération

•Les déterminants du prix d’une option de change
•Le modèle de pricing de Garman et Kholagen
•La notion de hedging dynamique (import et export)
•Nombreux exemples de stratégies import et export

La couverture à l’aide d’options de 2ème génération

•Sélection d’options utiles en trésorerie d’entreprise
•Exemples de stratégies import et export

Pratique de la couverture à l’aide du logiciel PREMIUM 1

Plus d’informations sur la formation Gestion des risques de change pour trésoriers d’entreprises: http://formation.actions-finance.com/gestion-des-risques-de-change-pour-tresoriers-dentreprises/

Actions-Finance obtient le Prix Etienne Marcel 2013

Thierry REPENTIN, Ministre Délégué chargé des Affaires Européennes, a remis le Prix Etienne Marcel 2013 à Actions-Finance.

Actions-Finance obtient le Prix Etienne Marcel 2013Actions-Finance a en effet obtenu le Prix Coup de Cœur 2013 dans le cadre du Prix Etienne Marcel 2013. L’ Association Etienne Marcel met en valeur des PME performantes mettant l’homme, le territoire, la préservation de la planète au cœur de leur activité. Le Prix Etienne Marcel, créé en 2011 permet de faire connaître des entrepreneurs faisant preuve d’initiatives novatrices.

Grâce à son principe de «Formation Équitable», Actions-Finance a reçu le Prix Coup de coeur 2013. Le principe de «Formation Équitable» mis en place par Actions-Finance consiste en un projet de partenariat avec les clients, fondé sur le dialogue, la transparence et le respect, dont l’objectif est de parvenir à une plus grande équité financière et intellectuelle et ainsi donner l’accès à la formation au plus grand nombre de salariés. Une équipe de formateurs a été constituée pour préparer et animer ces «Formations Équitables» dont les principes sont une rémunération adaptée au nombre de participants et un travail de préparation de formation adapté aux attentes des participants.

Actions-Finance est une jeune entreprise de 5 personnes dirigée par Anna Samoliotova-Mechentel. Spécialisé dans la formation professionnelle des domaines de la banque, finance, assurance et comptabilité, Actions-Finance propose des solutions d’animation innovantes et ludiques, visant les aspects opérationnels.

Le Prix Etienne Marcel Coup de Cœur 2013 a été remis à la société Actions-Finance par Thierry REPENTIN, Ministre Délégué chargé des Affaires Européennes, en présence de Bernard COHEN-HADAD, Président du Prix Etienne Marcel, Arnaud de BRESSON, Directeur Général de Paris Europlace, Laurence MEHAIGNERIE, Présidente de Citizen Capital et Rachid M’BARKI, journaliste BFM TV.

Formation financement bancaire des PME

Le financement bancaire des PME est un parcours du combattant en temps de crise. La formation financement bancaire des PME développe en profondeur les problèmes de financement des PME.

Formation financement bancaire des PMEPour les besoins en financement des PME, et pour obtenir une aide de la banque, les entreprises doivent monter un business plan solide et montrer de nombreuses garanties auprès de la banque.

Les banques vérifient également si les ressources des PME pourront servir à éponger les dettes en cas de problème.

Il existe une alternative au financement bancaire des PME avec l’aide à la création d’entreprise destinées aux PME ne réussissant pas à trouver de financement.

Pour en savoir plus sur le financement bancaire des PME : Comment négocier avec les banques ?
Voir aussi notre formation financement bancaire des PME Nouvelles clés de négociation avec votre banquier