Trouver une formation professionnelle sur le Forex et le marché des changes

trouver une formation professionnelle sur le Forex et le marché des changes ?

Trouver une formation professionnelle sur le Forex et le marché des changesSi vous cherchez une formation professionnelle sur le Forex, éligible au DIF ( droit individuel à la formation), la société Actions-Finance vous propose une formation spécialement consacrée aux fondamentaux du marché des changes et du trading de devises.

La formation « Marché des changes : fondamentaux du trading des devises » aborde en profondeur le Forex ainsi que toutes les caractéristiques du marché des changes.

La formation Forex commence par une présentation générale du marché des changes, et aborde notamment les particularités du marché ainsi que le lexique du cambiste.

Cette formation professionnelle éligible au DIF permettra également de comprendre comment choisir un courtier en fonction de leurs business models, vous expliquera comment vous informer sur les ordres d’achat et de vente des intervenants du Forex.

Les techniques de trading des professionnels du marché des changes seront passées en revue: techniques de spéculation des Hedge Funds, stratégies de carry trade, techniques de réserves des change des Banques centrales, etc…

La formation professionnelle marché des changes vous permettra de comprendre la gestion du risque de change par les opérateurs du marché des changes.

Enfin, un chapitre entier de cette formation sur les fondamentaux du Forex sera consacré à l’influence des options sur le marché du spot: définition d’une option de change, comment exploiter les informations données par le marché des options sur le Forex, impact des options à barrière sur le spot, etc…

Cette formation professionnelle sur les fondamentaux du marché des changes se conclura par un exercice pratique de recherche d’ordres d’achat et de ventes des gros intervenants ainsi que des options en vie sur le marché, avec une analyse en temps de réel de l’impact sur les paires de devises.

Si vous souhaitez en savoir plus sur la formation professionnelle Forex et marché des changes, connaître le programme en détail, les modalités d’inscription, cliquez ici: formation « Marché des changes : fondamentaux du trading des devises »

Caractéristiques du Forex

Quelles sont les caractéristiques du Forex, ou marché des changes ?

Caractéristiques du ForexA la différence des marchés boursiers, qui ont une localisation géographique précise, le Forex ne connaît pas de frontières: il y a un seul marché des changes dans le monde. Les transactions sur devises se font aussi bien et en même temps à Paris, Tokyo, Londres ou New-York. De par son caractère planétaire, le Forex est donc une organisation économique sans véritable réglementation. Le Forex est auto-organisé par les instances publiques et privées qui y interviennent ( voir aussi Qu’ est-ce que le Forex ?).

Le Forex est géographiquement très concentré sur les places financières de quelques pays. En 1998, le Royaume-Uni représente 32% des opérations, les Etats-Unis 18%, le Japon 8%, l’Allemagne 5% et la France 4%. ( Voir aussi définition du risque de change)

Les opérations sur le Forex sont concentrées sur un petit nombre de monnaies, et très majoritairement sur le dollar.

Pour plus d’informations sur le marché des changes, voir notre formation Forex

Risque de change, définition

Qu’est-ce que le risque de change ? Définition et caractéristiques du risque de change.

Risque de change, définitionLe risque de change est le risque de perte en capital lié aux variations futures du taux de change. Depuis les années 70, le risque de change s’est fortement accru avec le flottement généralisé des monnaies et le développement des transactions commerciales et financières internationales.

L’existence de variation des changes entraîne 2 types d’attitudes différentes de la part des intervenants sur le marché des changes: certains groupes ne souhaitent pas parier sur ce que seront les taux de change dans le futur ( voir Forex: les types de taux de change). Ils sont exposés à un risque de change dans le cours de leurs activités ordinaires et recherchent une couverture à leur position créditrice ou débitrice. D’autres groupes estiment pouvoir prendre une position exposée à un risque de change pour réaliser un gain. Il y a alors spéculation sur l’évolution future des changes au moyen d’opérations d’arbitrages. Dans la réalité, les opérations cambiaires mêlent à des degrés divers couverture et spéculation et les mêmes individus peuvent adopter ces 2 attitudes.

Pour plus d’informations sur le risque de change, voir notre formation Forex

Norme IFRS 7

Voici dans le détail la présentation de la norme IFRS 7 sur les instruments financiers et les informations à fournir.

Norme IFRS 7Champ d’application de la norme IFRS 7 sur les instruments financiers et les informations à fournir

La norme IFRS 7 doit être appliquée par toutes les entités à tous les types d’instruments financiers, excepté :

les participations dans des filiales, des entreprises associées et des coentreprises comptabilisées selon IAS 27 « Etats financiers consolidés et individuels » , IAS 28 « Participations dans des entreprises associées »  ou IAS 31 « participations dans des coentreprises » . Toutefois, dans certains cas, IAS 27, IAS 28 ou IAS 31 permettent à une entité de comptabiliser une participation dans une filiale, une entreprise associée ou une coentreprise conformément à IAS 39 « Instruments financiers : comptabilisation et évaluation »  ; dans ces cas, les entités doivent appliquer les dispositions en matière d’information à fournir contenues dans IAS 27, IAS 28 ou IAS 31, qui s’ajoutent à celles de la présente norme. Les entités doivent également appliquer la présente norme à tout instrument dérivé relatif à une participation dans une filiale, une entreprise associée ou une coentreprise, sauf si l’instrument dérivé répond à la définition d’un instrument de capitaux propres de l’entité selon IAS 32 ;
les droits et les obligations des employeurs découlant de plans d’avantages au personnel auxquels s’applique IAS 19 « Avantages du personnel »  ;
les contrats au titre d’une contrepartie éventuelle dans un regroupement d’entreprises (cf. IFRS 3 « Regroupements d’entreprises », voir Norme IFRS 3 ). Cette exemption ne s’applique qu’à l’acquéreur ;
les contrats d’assurance tels que définis dans la norme IFRS 4 « Contrats d’assurance » ( voir Norme IFRS 4). Toutefois, la norme IFRS 7 s’applique aux instruments dérivés qui sont incorporés à des contrats d’assurance, lorsque IAS 39 exige d’une entité qu’elle comptabilise ces instruments séparément. De plus, un émetteur doit appliquer la présente norme aux contrats de garantie financière lorsqu’il comptabilise et évalue ces contrats conformément à IAS 39 ; en revanche, lorsqu’il choisit de comptabiliser et d’évaluer ces contrats conformément à la norme IFRS 4, en application du § 4 (d) de ladite norme, il doit appliquer cette dernière ;
les instruments financiers, les contrats et les obligations liés à des transactions de paiements fondées sur des actions auxquelles IFRS 2 « Paiement fondé sur des actions »  s’applique, compte tenu, cependant, que la norme IFRS 7 s’applique aux contrats entrant dans le champ d’application des paragraphes 5 à 7 d’IAS 39.

La norme IFRS 7 s’applique aux instruments financiers comptabilisés ou non.

Norme IFRS 7: Catégories d’instruments financiers et niveau d’information à fournir

Lorsque la norme IFRS 7 requiert qu’une information soit présentée par catégorie d’instruments financiers, l’entité doit regrouper les instruments financiers dans des catégories adaptées à la nature des informations fournies et tenant compte des caractéristiques de ces instruments. Une entité doit fournir des informations suffisantes pour permettre un rapprochement avec les postes présentés dans le bilan.
Importance des instruments financiers au regard de la situation et de la performance financières

Une entité doit fournir des informations permettant aux utilisateurs de ses états financiers d’évaluer l’importance des instruments financiers au regard de sa situation et de sa performance financières.
Bilan

catégories d’actifs financiers et de passifs financiers (valeur comptable des catégories définies par IAS 39 : actifs financiers à la juste valeur par le biais du compte de résultat ; placements détenus jusqu’à leur échéance ; prêts et créances ; actifs financiers disponibles à la vente ; passifs financiers à la juste valeur par le biais du compte de résultat ; passifs financiers évalués au coût amorti) ;
actifs financiers ou passifs financiers à la juste valeur par le biais du compte de résultat ;
reclassement (si l’entité a reclassé un actif financier comme étant évalué au coût amorti, et non plus à la juste valeur, ou à la juste valeur, et non plus au coût ou au coût amorti) ;
décomptabilisation (nature des actifs ; nature des risques et avantages attachés …) ;
instruments de garantie (valeur comptable des actifs financiers donnés en garantie de passifs ou de passifs éventuels …) ;
compte de correction de valeur pour pertes de crédit ;
instruments financiers composés comprenant de multiples dérivés incorporés ;
défaillances et inexécutions (l’entité doit fournir certains informations relatives aux emprunts comptabilisés à la date de clôture ).

Norme IFRS 7: Compte de résultat et capitaux propres

Des informations doivent être communiquées sur les éléments suivants :

éléments de produits, de charges, de profits ou de pertes ;
méthodes comptables ;
comptabilité de couverture (type de couverture …) ;
juste valeur (une entité doit indiquer la juste valeur de chaque catégorie d’actifs et de passifs financiers de manière à permettre la comparaison avec sa valeur comptable, sauf exception prévue au § 29 de la norme).

Norme IFRS 7: Nature et ampleur des risques découlant des instruments financiers

Une entité doit fournir des informations (qualitatives et quantitatives) permettant aux utilisateurs de ses états financiers d’évaluer la nature et l’ampleur des risques découlant des instruments financiers auxquels elle est exposée à la date de clôture.

Les informations exigées aux paragraphes 33 à 42 de la norme portent sur les risques qui découlent des instruments financiers et sur la façon dont ils sont gérés. Ces risques incluent généralement, mais pas uniquement :

le risque de crédit (risque qu’une partie à un instrument financier manque à une de ses obligations et amène de ce fait l’autre partie à subir une perte financière) ;
le risque de liquidité (risque qu’une entité éprouve des difficultés à honorer des engagements liés à des passifs financiers) ;
le risque de marché (risque que la juste valeur ou les flux de trésorerie futurs d’un instrument financier fluctuent en raison des variations des prix du marché ; le risque de marché inclut trois types de risque : le risque de taux d’intérêt, le risque de change et d’autres risques de prix).

Pour plus d’informations sur les risques et les définitions qui leurs sont associées, voir l’annexe A de la présente norme.

Date d’entrée en vigueur de la norme IFRS 7

Une entité doit appliquer la norme IFRS 7 pour les périodes annuelles ouvertes à compter du 1er janvier 2007. Une application anticipée est encouragée. Si une entité applique la présente norme à une période antérieure à cette date, elle doit l’indiquer.

Si une entité applique la norme IFRS 7 à des exercices commençant avant le 1er janvier 2006, il n’est pas nécessaire qu’elle présente des informations comparatives pour les informations à fournir en vertu des paragraphes 31 à 42 concernant la nature et l’ampleur des risques relatifs aux instruments financiers.

Une entité doit appliquer les amendements  « Reclassement des actifs financiers » apportés à IAS 39 et à la norme IFRS 7 et publiés en octobre 2008 par l’IASB, à compter du 1er juillet 2008.

Cadre juridique des covered bonds français

Le cadre juridique des covered bonds en France a récemment été évalué par l’agence de notation Moody’s.

Cadre juridique des covered bonds françaisPour évaluer ce cadre juridique, Moody’s a publié un rapport faisant état des nombreux avantages du nouveau dispositif actuel. Moody’s considère comme positif le fait que les émetteurs de covered bonds en France sont des institutions spécialistes du crédit avec des activités commerciales restreintes légalement, bénéficiant d’une autonomie suffisante pour continuer à fonctionner en cas de défaut de paiement de leurs sociétés mères.

Autre avantage du nouveau cadre juridique des covered bonds français, les prêts adossés à de l’immobilier commercial ( affichant un risque de crédit plus important) ne sont pas admissibles pour les émetteurs de Sociétés de Financement de l’ Habitat.

Moody’s relève également l’indépendance de la surveillance du Contrôleur Spécifique pour les fonds de covered bonds, que ce soit avant ou après le défaut de paiement.

Les émetteurs sont contraints à maintenir une couverture de liquidité de 180 jours et une provision afin de laisser aux émetteurs la possibilité de passer des accords de rachat avec la Banque de France ( équivalent à 10% de leurs covered bonds).

L’agence de notation estime cependant que le cadre juridique des convered bond présente certains désavantages et regrette qu’il n’existe légalement aucun mécanisme spécifique pour la gestion du risque de change.

Pour plus d’informations sur le cadre juridique des covered bonds français, voir notre formation: Covered Bonds: principe et utilisation

Avenir de la BCE

Avec la crise de la dette et la perte du triple A français, quel est désormais l’ avenir de la BCE ?

Avenir de la BCELa BCE subit une pression de plus en plus forte pour muscler ses interventions. Pour le moment, la BCE s’est contentée de s’attaquer aux problèmes de liquidité des banques et des gouvernements de la zone euro qui ne peuvent plus compter sur les marchés pour se refinancer, en octroyant près de 500 milliards d’euros de prêts aux institutions financières au mois de décembre, acceptant en contrepartie une gamme d’actifs toujours plus large et de moins bonne qualité.

Le programme de rachat de la BCE s’élève à Continuer la lecture de Avenir de la BCE

Formation Finance : Risques appliqués à la gestion de portefeuilles

Risques appliqués à la gestion de portefeuillesObjectifs

– Identifier les différents risques de la gestion de portefeuilles

– Comprendre les différentes sources et mesures du risque au sein de la gestion de portefeuille

– Comprendre les enjeux liés au suivi des risques

– Comprendre l’ optimisation du couple Risques / Rendement

Programme Continuer la lecture de Formation Finance : Risques appliqués à la gestion de portefeuilles

Formation IFRS et instruments financiers : principes et application pour les entreprises

 IFRS et instruments financiers

Formation IFRS et instruments financiers : principes et application pour les entreprises

Objectifs :

– Réviser les normes comptables IFRS
– Étudier leur application pratique à travers plusieurs cas en entreprise

Programme :

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Le Change à Terme (Forex Forward)

Le change à terme est un produit du marché des changes permettant à deux entreprises n’utilisant pas les mêmes devises monétaires (un fournisseur et un client) de fixer à l’avance le taux de change pour une transaction se produisant plus tard dans le temps. Cela permet d’éviter le risque de change.
L’opération de change à terme permet donc au fournisseur de s’assurer que les devises qu’il reçevra donneront bien le montant prévu dans sa devise nationale.
Le change à terme est donc à double tranchant : il est sécurisant car il assure un taux de change fixé à l’avance, en cas de chute de la valeur de la devise, mais peut-être pénalisant si entre-temps la valeur de la devise a grimpé.

En résumé, l’option Change à Terme (Forex Forward) comporte :

  • comme avantages :
    – la garantie d’un cours figé, fixé à l’avance pour l’achat ou la vente
    – la possibilité de changer la date de l’échéance
  • comme inconvénients :
    – impossibilité de profiter d’une éventuelle évolution favorable des cours

 Formation relative :

Marché des changes : fondamentaux, outils et pratiques

FX : Tenue correcte exigée !

par notre spécialiste FX

fx_forex_changeJamais l’appartenance à la zone Euro n’a fait autant d’envieux. Cette affirmation est probablement l’un des principaux enseignements des dernières semaines de crise financière qui chahute un peu plus chaque jour les pays les plus fragiles du vieux continent.

Ce ne sont certainement pas les pays les plus en danger de l’Euroland tels la Grèce ou l’Irlande qui se plaindront de ne pas avoir à défendre leur devise nationale contre les attaques répétées misant sur la faillite du pays.

J.C. Trichet, actuel gouverneur de la BCE et ancien gouverneur de la Banque de France peut en témoigner, lui qui a dû batailler à de nombreuses reprises pour défendre notre bon vieux Franc et ce, au prix très couteux d’interventions directes sur le marché des changes ou de taux d’intérêts au jour le jour au-delà de 10%.

Bien difficile en effet de s’attaquer à un tel ensemble, un des rares gages de stabilité dans cet univers tourmenté. C’est probablement ce que doivent se dire les dirigeants Polonais, Hongrois, Tchèques et Baltes qui voient chaque jour leur devise nationale dévisser un peu plus face au Dollar et à l’Euro! Ce réflexe, les Islandais l’ont déjà eu et on peut même penser que cette idée doit tourmenter les nuits de certains britanniques qui voient depuis des semaines dégringoler la Livre, symbole si cher de leur fierté toute insulaire.

A cette demande pressante de certains pays de l’Est, les 27 ont donc répondu le week-end dernier par l’entame d’une réflexion. Celle-ci consiste en une réduction du délai d’intégration à l’Euro actuellement fixé à 2 ans durant lesquels la devise rentre dans un système de change limitant ses fluctuations à 15% face à l’Euro (système ERM2).

Néanmoins, cette réflexion pourrait se révéler vaine car il reste tout à fait inenvisageable pour les membres actuels de la zone Euro d’assouplir dans le même temps les critères de convergence issus des accord de Maastricht… pour utiliser une image plus triviale, la file d’attente devant votre night club préféré sera peut être moins longue, mais la tenue correcte restera exigée !

Formations relatives :

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Credit Default Swap (CDS) : outil du transfert et de la gestion des risques de crédit

Gestion des risques financiers

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