Leetchi racheté par Crédit Mutuel Arkéa

Crédit Mutuel Arkéa vient de racheter 86% des parts de Leetchi, un éditeur de solutions de paiement sur internet.

Leetchi racheté par Crédit Mutuel Arkéa Leetchi, qui propose des solutions de paiement en ligne, vient de vendre 86% de ses parts au groupe de bancassurance Crédit Mutuel Arkéa, qui souhaite ainsi continuer à se développer dans la banque en ligne. Crédit Mutuel Arkéa ne compte pas s’arrêter là puisque le groupe prévoit également d’investir 10 millions d’euros dans Leetchi, après avoir déjà déboursé plus de 50 millions d’euros pour investir dans l’éditeur de solutions de paiement en ligne.

Déjà présent en France, en Allemagne et en Espagne, Leetchi, qui compte aujourd’hui plus de 3 millions d’utilisateurs et emploie une trentaine de personne, continue son développement international et s’attaquera au marché anglais à partir de début 2016. Leetchi a réussi à collecter 100 millions d’euros en 2014, et prévoit de doubler ce montant en 2015.

Le groupe avait déjà racheté Fortuneo, désormais l’une des plus grandes banques en ligne en France, avec plus de 320 000 clients à son actif. La banque en ligne est l’un des principaux axes de développement du Crédit Mutel Arkéa, qui souhaite également développer son offre sur mobile. Le groupe estime en effet que certains actes commerciaux ne peuvent pas encore être faits sur mobile, « mais ce ne sera plus le cas dans quatre ou cinq ans, estime Ronan Le Moal, directeur général du Crédit Mutuel Arkéa. Un bancassureur doit se dire que, demain, tout pourra être fait via le mobile ».

Conseils pour transmettre son patrimoine

Comment faire pour bien transmettre son patrimoine à ses enfants ? Quels sont les bons conseils à suivre en matière de transmission de patrimoine à ses enfants ?

Conseils pour transmettre son patrimoine

Voici tous les conseils pour transmettre son patrimoine de manière équitable à ses enfants.

Si l’on veut faire un don à l’un de ses enfants pour aider son entreprise, comment faire pour ne pas léser ses autres enfants ?

Donation: l’émetteur transmet sans attendre de contrepartie. Il ne peut pas revenir sur sa décision. Si l’on veut différer le don dans le temps, il est possible de donner un compte titre, ou encore de souscrire à un contrat d’assurance-vie qui sera transféré à un enfant par le biais d’une donation.

Les solutions pour effectuer un don à ses enfants:

– Chèque
– Contrat assurance vie
– Portefeuille d’actions d’une valeur

En cas de lègue via un contrat d’assurance-vie, l’enfant ne peut pas toucher la somme tant qu’il est mineur. Il est possible de prévoir des clauses dans le contrat pour éviter qu’il dilapide la totalité de la donation une fois adulte, quand il pourra en bénéficier.

En cas de donation, il est préférable sur le plan juridique de le faire en présence de notaire. Evitez le don manuel. Une donation-partage avec clause d’aliénabilité est une solution à privilégier puisqu’elle permet de figer les montants et limite les risques fiscaux.

Voir la vidéo avec en détail tous les conseils pour transmettre son patrimoine

Calcul du TEG ou Taux Effectif Global d’ un emprunt : législation et équation

Calcul du TEG ou Taux Effectif Global d' un empruntLa méthode de calcul du TEG ou Taux Effectif Global d’un emprunt est définie par les textes et annexes du Code de la Consommation.

Le TEG pour les crédits à la consommation

Le TEG est un taux annuel, à terme échu, calculé selon la méthode d’équivalence. On parlera aussi (mais pas obligatoirement) de TAEG ou de Taux Actuariel Effectif Global pour le TEG des prêts à la consommation.

Le TEG pour les crédits immobiliers et les crédits professionnels

Pour ces deux catégories de crédits, le TEG doit être calculé en deux étapes. La première étape consiste à calculer un taux périodique correspondant à la périodicité des remboursements (sans que cette période soit inférieure à un mois) par la méthode d’équivalence. Le TEG annuel s’obtient ensuite de manière proportionnelle en multipliant le taux périodique par le nombre de périodes dans l’année. On parlera de TEG proportionnel pour cette méthode.

La réglementation du mode de calcul du TEG

Le mode de calcul du TEG est défini par l’article de loi suivant : « Sauf pour les opérations de crédit mentionnées au 3° de l’article L. 311-3 et à l’article L. 312-2 du présent code pour lesquelles le taux effectif global est un taux annuel, proportionnel au taux de période, à terme échu et exprimé pour cent unités monétaires, le taux effectif global d’un prêt est un taux annuel, à terme échu, exprimé pour cent unités monétaires et calculé selon la méthode d’équivalence définie par la formule figurant en annexe au présent code. Le taux de période et la durée de la période doivent être expressément communiqués à l’emprunteur. Le taux de période est calculé actuariellement, à partir d’une période unitaire correspondant à la périodicité des versements effectués par l’emprunteur. Il assure, selon la méthode des intérêts composés, l’égalité entre, d’une part, les sommes prêtées et, d’autre part, tous les versements dus par l’emprunteur au titre de ce prêt, en capital, intérêts et frais divers, ces éléments étant, le cas échéant, estimés. Lorsque la périodicité des versements est irrégulière, la période unitaire est celle qui correspond au plus petit intervalle séparant deux versements. Le plus petit intervalle de calcul ne peut cependant être inférieur à un mois. Pour les opérations mentionnées au 3° de l’article L. 311-3 et à l’article L. 312-2, lorsque les versements sont effectués avec une fréquence autre que annuelle, le taux effectif global est obtenu en multipliant le taux de période par le rapport entre la durée de l’année civile et celle de la période unitaire. Le rapport est calculé, le cas échéant, avec une précision d’au moins une décimale.»

Le texte tel qu’il est rédigé est applicable depuis le 1er juillet 2002. Les parties du texte qui sont en caractère gras ont été ajoutées lors de la dernière modification, par le décret 2002-927 du 10 juin 2002 relatif au calcul du taux effectif global. Ce décret est la transposition en droit français de la directive du Parlement européen et du Conseil du 16 février 1998. Il faut comprendre le texte de la façon suivante : Les opérations mentionnées au 3° de l’article L311-3 : ce sont les opérations « destinés à financer les besoins d’une activité professionnelle, ainsi que les prêts aux personnes morales de droit public. » Les opérations mentionnées à l’article L313-2 : ce sont les opérations « consentis de manière habituelle par toute personne physique ou morale en vue de financer » l’acquisition, la souscription, les dépenses de construction, de réparation, d’amélioration, d’entretien d’« immeubles à usage d’habitation ou à usage professionnel d’habitation » ou « l’achat de terrains destinés à la construction des immeubles ». Par simplification dans cette page, on parlera pour ces deux catégories, des crédits professionnels et des crédits immobiliers. Pour les autres crédits, on parlera des crédits à la consommation.

Equation de base traduisant l’équivalence des prêts

La formule évoquée dans l’article R313-1 est présente en annexe du Code de la Consommation. Cette annexe a été introduite par le même décret 2002-927 évoqué plus haut. Le décret 2002-928 du 10 juin 2002 complète la formule en y ajoutant des exemples numériques. Cette formule est aussi désignée comme l’équation des intérêts composés ou la formule des flux actualisés (ou formule d’actualisation des flux). Elle se présente de la façon suivante :

Formule des flux actualisés

formule des intérêts composés

  • i : le taux effectif global annuel
  • k : le numéro d’ordre d’un déblocage de fond,
  • m : le numéro d’ordre du dernier déblocage,
  • Ak : le montant du déblocage numéro k,
  • tk : l’intervalle de temps entre le premier déblocage et le déblocage numéro k,
  • p : le numéro d’ordre d’une échéance de remboursement,
  • n : le numéro d’ordre de la dernière échéance,
  • Ap : le montant de l’échéance numéro p,
  • tp : l’intervalle de temps entre le premier déblocage et l’échéance numéro p.

Dans sa forme générale, les intervalles de temps doivent être exprimés en années et fractions d’années. La plupart du temps, cette équation doit être résolue par approximations successives. Le taux i, résolvant l’équation, peut être arrondi à la première décimale (ce n’est pas une obligation). Les différents montants Ak ou Ap ne sont pas nécessairement égaux entre eux.

Comprendre cette équation

Cette équation représente l’égalité entre la, ou, les mises à disposition des fonds et tous les remboursements ou dépenses, actualisés à la date du premier déblocage. Par exemple, pour une somme de 1.000 euros mise à disposition le 1er janvier et remboursée 90 euros tous frais compris le 1er de chaque mois en 12 mensualités, l’équation peut s’écrire : exemple de calcul du TEG en nombre de jours Le coefficient de temps de la première mensualité, au 1er février, sera de 31 jours divisé par 365, puis de 59/365 pour celle du 1er mars. Et ainsi de suite, jusqu’à la dernière avec 365/365. Par la résolution de l’équation, on obtient un TEG i = 15,52 %.

Les types de durées à utiliser

L’annexe au Code de la Consommation indique que les durées doivent être exprimé en années et fraction d’années, en précisant, qu’une année compte 365 jours (ou 366 pour les bissextiles) ou 12 mois normalisés. Le mois normalisé comptant 30.41666 jours (soit 365 jours / 12). La durée moyenne de l’année à 365,25 jours, bien que citée dans la directive européenne, n’est pas reprise dans le texte français. Dans les exemples du Code de la Consommation, il apparait qu’à partir du moment où les dates d’échéance sont fixées au même jour de chaque mois, on puisse utiliser la notion de mois normalisé, ou plus simplement une fraction de durée en nombre de mois divisé par 12 mois. L’équation de notre exemple s’écrirait alors : exemple de calcul du TEG en nombre de mois Le TEG obtenu par la résolution de cette équation est de 15,45 %. A noter qu’ici, il y a une différence de résultat suivant que le calcul est réalisé en nombre de jours réels ou en nombre de jours (ou mois) normalisés. Cependant, cette différence aura un impact limité sur des durées de remboursement de plusieurs dizaines d’années. Par exemple, un crédit de 100.000 € remboursé en 240 mensualités de 600 € aura un TAEG de 3,956 % calculé en nombre de mois et de 3,955 % calculé en nombre de jours réels. Cette méthode présente, en outre, l’avantage de calculer le TEG sur la même base d’une période mensuelle que sont calculées les échéances.

Le décalage de l’équation dans le temps

L’équation de base est exprimée en valorisant les flux à la date de déblocage des fonds. En multipliant ou en divisant par un même coefficient d’actualisation, les sommes peuvent être exprimées à une autre date. Pour illustrer cela, notre équation, exprimée à la date de première mensualité, deviendrait : exemple de calcul du TEG avec décalage de date Cette propriété est utilisée dans plusieurs exemples du Code de la Consommation : un déblocage des fonds le 15 septembre et 36 mensualités chaque dernier jour du mois à compter du 31 octobre. Chaque remboursement est divisé par un coefficient d’actualisation (1+i) avec un exposant variant de 1/12 à 36/12. L’ensemble de la somme des remboursements actualisés étant lui-même divisé par un coefficient d’actualisation de 15 jours (soit 15/365 ou 15.58333/365 suivant la méthode employée). TEG avec décalage de 15 jours

Exemple du TEG d’un crédit immobilier

Comme nous l’avons vu plus haut, le TEG pour un crédit immobilier passe d’abord par le calcul de son taux périodique. Dans la situation classique d’un emprunt débloqué en une seule fois, comportant des remboursements mensuels de 180 échéances. L’équation à résoudre peut être écrite de la façon suivante : TEG crédit immobilier Le déblocage d’un montant capital est effectué en une seule fois. La première mensualité de montant Remb1 est payée un mois après (coefficient 1 mois). La deuxième d’un montant Remb2 est payée le mois suivant. Jusqu’à la 180° de montant Remb180 payée 180 mois après le début. Le montant de chaque mensualité peut être différent. En compliquant un petit peu : déblocage en deux fois à 6 mois d’intervalle et prise en compte de frais de dossier, l’équation deviendra : TEG crédit immobilier avec plusieurs déblocages A noter : Capital1 a comme diviseur un coefficient d’actualisation élevé à la puissance zéro. On aurait pu écrire Capital1 simplement comme dans la formule précédente. Une fois le taux périodique i déterminé, le TEG de ce crédit sera égal à 12 × i.

Axa rachète Genworth

Axa va racheter l’assureur-emprunteur britannique Genworth LPI afin de s’assurer une place de numéro 3 européen des assureurs emprunteurs.

Axa rachète Genworth Si rien n’a encore été officialisé, Axa négocie actuellement le rachat de Genworth LPI avec sa maison-mère américaine Genworth Financial. L’opération, dont le montant s’élèverait à 475 millions d’euros, permettrait à Axa de devenir le 3ème assureur-emprunteur européen, avec une part de marché de 9%. Genworth LPI est le 7ème assureur-emprunteur européen avec 4% de part de marché pour près de 800 employés. En 2014, Genworth LPI a généré un chiffre d’affaires de 951 millions de dollars (soit 714 millions d’euros).

Le rachat de Genworth LPI par Axa devrait être finalisé avant la fin 2015 et devrait avoir un léger impact sur le résultat opérationnel de l’assureur. Selon Denis Duverne, directeur général délégué d’Axa, l’opération permettra « d’atteindre immédiatement une taille critique en Europe et de se positionner afin de capturer le potentiel de croissance des marchés émergents ».

Le taux du livret A va-t-il baisser à 0,75% ?

Le taux du livret A devrait baisser cette année pour passer à 0,75% le 1er août. Quel sera l’impact de la baisse du livre A sur les placements ?

Baisse du taux du livret A à 0,75% en aoûtAprès être passé de 1,25% à 1% l’été dernier ( 1er juillet 2015), le taux du livret A devrait continuer sa baisse et passer à 0,75% au 1er août. Le gouverneur de la banque de France Christian Noyer prône cette baisse du livret A depuis déjà plusieurs mois. Quelles seront les conséquences de la baisse du taux du livret A sur l’économie ?

Le taux du livret A est un taux directeur pour les banques. La baisse du livret A aura pour conséquence la baisse des taux des crédits accordés par les banques aux particuliers. Elle aura également un impact sur l’ensemble des HLM qui ont leurs dettes indexées sur le taux du livret A. Une baisse de 0,25 points de base permettrait ainsi la construction de 5 000 logements. Cela représente plus de 200 millions de gains sur l’ensemble du stock de dette.

Evidemment, pour les particuliers cela signifie également moins de rendement. Cependant, quand le taux du livret A baisse, les encours de l’assurance-vie montent.

Comparatif encours du livret A et encours de l’assurance-vie :

Assurance-vie: 1515 milliards d’euros ( fin 2014).

Livret A: 263 milliards d’euros ( fin 2014).

Comment obtenir de meilleurs rendements avec l’assurance-vie et les fonds en euros ?

Le fonds euros de l’assureur est composé en moyenne à 80% d’obligations, 10% d’immobilier et 10% d’action. Avec la hausse de la collecte engendrée par la baisse du livret A, les assureurs vont devoir devoir acheter des obligations à des taux historiquement bas: il sera donc difficile de sortir des rendements  à 3% au fur et à mesure que l’on dilue ce portefeuille obligataire avec des obligations à 1%. Donc les taux baissent: soit on accepte d’avoir des taux bas, soit on fait rentrer des unités de compte, ce que prônent généralement les assureurs, avec les risques que cela peut comporter.

Comment augmenter le rendement de son assurance-vie ? Avec un horizon de placement à moyen terme ( 5 à 10 ans),  on peut estimer que si l’on fait de l’allocation d’actifs sur des fonds patrimoniaux ( relativement sécurisés), avec toutefois des volatilités qu’il est nécessaire de piloter, on peut avoir des espérances de gains qui peuvent booster les rendements de l’actif général du fonds euros.

Comment transférer son assurance-vie ?

Comment faire pour transférer son contrat d’assurance-vie ?

 Comment transférer son assurance-vie ?Le transfert de contrat d’assurance vie n’existe pas en France. La seule possibilité est donc de racheter le contrat d’assurance vie, en perdant l’avantage fiscal, pour en souscrire un autre.

Jean-François Filliatre, directeur éditorial des MarchésGagnants.com a répondu à d’autres questions de ce type sur BFMTV. Comment déclarer des bons de capitalisation à l’ISF ? Les plus-values sur les Lyxor India et Lyxor World water bénéficient-elles des mêmes abattements que sur les actions ? Voir vidéo.

Le risque des taux bas pour les assureurs européens

Le FMI et les banques centrales estiment que les taux bas font peser un risque sur les assureurs européens.

Le risque des taux bas pour les assureurs européensAvec la baisse des taux, les banques de détail ainsi que le compagnies d’assurance européennes ont augmenté leurs prises de risques. Une phénomène pointé du doigt par certaines banques centrales nationales ainsi que par le FMI, qui s’en alarme dans son dernier rapport sur la stabilité financière mondiale.

Comment les assureurs européens peuvent-ils continuer à offrir aux épargnants des rendements garantis tout en plaçant leur argent sur des dettes qui rapportent de moins en moins, voire leur en coûtent puisqu’un tiers des obligations souveraines offrent aujourd’hui des rendements négatifs ? Même pour emprunter aujourd’hui à 10 ans, des pays comme la Suisse perçoivent des intérêts des institutions financières prêteuses.

Ce ne sont pas les gros acteurs, peuvent encore puiser dans leurs stocks de dettes, qui inquiètent le FMI, mais bien les assureurs de tailles moyennes qui donnent des signes de faiblesse. Alors que les assureurs européens détiennent 4 400 milliards d’euros d’actifs, un réel risque de contagion pèse sur l’ensemble des acteurs selon le dernier rapport du FMI.

source: bfmtv.com

Comment améliorer le rendement d’ un contrat assurance-vie ?

Faut-il gérer soi-même son assurance-vie ou faut-il en confier la gestion à un professionnel ? Voici quelques pistes pour améliorer le rendement d’un contrat d’assurance vie.

améliorer le rendement d' un contrat assurance-vieSelon Frédéric Durand-Bazin, rédacteur en chef du magazine Le Particulier, le meilleur moyen de d’optimiser le rendement d’un contrat d’assurance-vie est de faire appel à un professionnel.

La gestion déléguée d’un contrat assurance vie, également appelée gestion sous mandat ou gestion pilotée, comment ça marche ?

Avec la gestion sous mandat, vous n’avez pas la main sur la gestion de votre contrat assurance vie. Vous déléguez à un professionnel à qui vous donnez un mandat de gestion. Ce professionnel va répartir votre épargne entre plusieurs sociétés de gestion et fera également évoluer votre portefeuille dans le temps en fonction des conjonctures économiques.

La gestion sous mandat de l’assurance vie, combien ça coute ? La gestion d’un contrat assurance vie par un professionnel s’est démocratisée ces dernières années est n’est plus réservée aux plus fortunés. A Partir de 1000 euros à épargner, il est désormais possible de faire de la gestion sous mandat.

Voir la vidéo Comment améliorer le rendement d’ un contrat assurance-vie ?


Gestion déléguée: Faut-il confier son assurance… par BFMBUSINESS

Résilier un contrat d’ assurance à tout moment

Il est désormais possible de résilier à tout moment un contrat d’assurance si celui-ci a été conclu en 2015.

Résilier un contrat d' assurance à tout momentLe ministère de l’Economie et des Finances vient de confirmer la publication d’un décret permettant la résiliation d’un contrat d’assurance à tout moment, et ce dès le 1er janvier 2015. Cet décret s’applique à tous les contrats d’assurance ( habitation, automobile, etc…) conclus à partir de 2015, sauf les contrats d’assurance-vie.

Après la 1ère année, les contrats d’assurance pourront désormais être résiliés à tout moment, seulement 1 mois après réception de la demande de résiliation du contrat par l’assureur. La résiliation ouvre droit au remboursement de la partie de la prime et de la cotisation non couverte.

Pour les assurances obligatoires, la demande de résiliation devra mentionner le nouvel assureur, qui effectuera cette résiliation pour le compte de l’assuré. Le nouvel assureur devra veiller à la continuité de la couverture.

En ce qui concerne les contrats d’assurance conclus avant le 1er janvier 2015, la résiliation à tout moment sera possible dès la prochaine reconduction tacite du contrat.

D’après Carole Delga, secrétaire d’Etat chargée de la Consommation, ce décret sur la résiliation à tout moment des contrats d’assurance permettra aux consommateurs de « gagner en pouvoir d’achat et/ou en service rendu ».

source: latribune.fr

Toutes les hausses de tarifs d’ assurances pour 2015

Les tarifs des assurances vont à nouveau augmenter en 2015. Assurances auto, assurances habitation, complémentaires santé: voici toutes les hausses de tarifs d’assurances prévues pour 2015.

Toutes les hausses de tarifs d' assurances pour 2015Hausse des tarifs assurances auto 2015

Alors que la fréquence des sinistres baissait de 2 à 3% par an, elle a augmenté de 5% cette année, avec comme conséquence une augmentation des tarifs assurance auto l’année prochaine. Si la MAAF, la Matmut et la Maaif comptent geler leurs tarifs en 2015 afin de fidéliser leurs clients, d’autres assureurs envisagent une hausse de plus de 2,5% de leurs tarifs. En cause, l’indemnisation des dommages et intérêts pour les préjudices corporels qui ne cesse d’augmenter. Axa va ainsi augmenter ses tarifs de 1,8% en 2015.

Hausse des tarifs assurance habitation 2015

Le coût des intempéries de 2014, supérieur de 50 % à la charge moyenne des 20 dernières années, va entraîner des hausses de tarifs assurance habitation de 2 à 5% en 2015.

Hausse des tarifs complémentaires santé 2015

Les tarifs des assurances complémentaires santé vont également augmenter en 2015. La hausse des dépenses de santé devrait engendrer des hausses de tarifs de 2 à 3% l’année prochaine. Les salariés quittant leur entreprise pourront désormais bénéficier de leur complémentaire santé d’entreprise durant à 9 à 12 mois après leur départ. Dès le 1er janvier 2016, toutes les entreprises devront souscrire des complémentaires santé pour leurs salariés.

LeParisien.fr