Faut-il investir dans le fonds HSBC Euro Actions ?

Le fonds HSBC Euro Actions est un fonds proposé par HSBC, qui a investit dans les sociétés de la zone euro dont la capitalisation est supérieure à 1 milliards d’euros.

Faut-il investir dans le fonds HSBC Euro Actions ?Faut-il investir dans le fonds HSBC Euro Actions ? Ce placement est-il intéressant ? Quel est sont potentiel sur le long terme ?

Ce qui pourrait freiner un investissement dans le fonds HSBC Euro Actions

– Plusieurs réorganisations dans l’équipe: arrivée de 4 gérants de la banque privée en 2012.

– Résultats moyens sur longues périodes sur plusieurs de leurs fonds.

– Sur le fonds Euro Actions, la qualité de la sélection de titres n’a pas toujours été au rendez-vous. Elle a d’ailleurs contribué négativement à la performance du fonds en 2014, notamment ds les secteurs de l’énergie et des matériaux de base. On note tout de même une amélioration depuis le début de l’année.

Pourquoi miser sur le fonds HSBC Euro Actions ?

– Gérant expérimenté: le fonds géré depuis 2008 par Denis Grandjean, qui fait partie de l’équipe actions européennes d’HSBC qui compte au total 9 gérants e t 7 analyses pour les grandes capitalisations européennes. Cette équipe est dirigée par le très expérimenté Frédéric Leguay.

– Processus d’investissement stable depuis 2004: analyse du couple profitabilité et valorisation de chaque société en combinant critères quantitatifs et analyses fondamentales. Cette analyse fondamentale doit identifier les leviers de la rentabilité et son potentiel d’évolution. Cette stratégie aboutit à un portefeuille de 50 à 60 titres, avec une préférence pour les valeurs moins rentables que la moyenne ( comme Peugeot et ArcelorMittal).

En conclusion: faut-il investir dans le fonds HSBC Euro Actions ?

De 2008 à fin juillet 2015: le fonds surperforme ses concurrents au prix d’une volatilité bien supérieure à la moyenne. Sur une base ajustée du risque, les résultats sont proches de ceux de la catégorie pour cette même période. Investir dans le fonds HSBC Euro Actions n’est donc pas mauvais choix pour s’exposer aux actions de la zone euro, mais son potentiel de surperformance sur le long terme n’est cependant pas avéré.

Les actifs des ETF dépassent ceux des hedge funds

Les actifs des ETF, à 2 971 milliards de dollars fin juin, ont dépassé les actifs des hedge funds, à 2 969 milliards de dollars fin juin.

Les actifs des ETF dépassent ceux des hedge fundsC’est une première: les encours gérés par les hedge funds dans le monde ont été dépassés par les ETF. Les ETF sont des fonds cotés ayant pour objectif de répliquer les variations d’un indice, d’une matière première, etc… ( voir Les ETF, qu’ est-ce que c’est ?). Les ETF et les hedge funds représentent deux conceptions de gestion que tout oppose.

Quelles sont les différences entre les ETF et les hedge funds ?

Les ETF sont des fonds gérés de manière passive, car ils obéissent à une stratégie fixée à l’avance, qui va faire que le fonds va suivre la performance d’un indice choisi par la société de gestion (moins les frais). Cela peut être la performance de l’indice CAC40 tout simplement ou bien celle d’un indice plus complexe basé sur plusieurs actifs (actions et obligations) par exemple.

Les gérants de hedge funds peuvent quant à eux aussi bien acheter que vendre à découvert des titres en fonction de leurs anticipations et sortir totalement des indices. Les hedge funds existent depuis bien plus longtemps que les ETF, mais ces derniers ne cessent de gagner des parts de marché depuis quelques années. Ils ont davantage profité de la remontée des Bourses. Les hedge funds conservent une place relativement importante au sein des portefeuilles des investisseurs institutionnels, car ils leur apportent la décorrélation et la diversification nécessaires.

Les tendances sur les marchés obligataires

Quelles sont les tendances sur les marchés obligataires ? Comment investir ? la remontée des taux directeurs de la Fed peuvent-ils avoir un impact sur le corporate ?

Les tendances sur les marchés obligatairesGrâce à l’action de Mario Draghi, on a retrouvé de la liquidité sur les marchés actions ( voir Les tendances des marchés financiers le 02/07) et les marchés obligataires. Une très bonne chose pour les marchés actions et obligataires pour le prochain semestre: les taux à 10 ans français sont aujourd’hui à 1% et les taux à 10 ans allemands sont à 0,7%.

Alors que le taux du livret A passe à 0,75% ( voir Le taux du livret A va-t-il baisser à 0,75% ?) et qu’il pourrait même baisser à 0,5% dans 6 mois, le marché obligataire offre des perspectives intéressantes de rendements pour les investisseurs prudents.

Les tendances sur les marchés obligataires et les bonnes idées de placements:

– Picard surgelés offre un rendement de 6% par an à échéance 2020. Une valeur sûre.
– Si vous craignez la remontée des taux, Rallye, holding de Casino dans la distribution, offre un rendement de 3% par an à échéance 2018, soit près de 10% de rendement d’ici à 2018. Pour une vision à court terme, vous pouvez également investir sur Casino mais le rendement est plus faible.
– En prenant un peu plus de risques, vous pouvez investir sur Bolloré. Le groupe vient d’émettre 3% sur 6 ans, soit un rendement de 18% d’ici à 2021.

Le marché obligataire est-il saisonnier ? S’il l’était il y a encore quelques temps, il existe aujourd’hui un marché obligataire au mois d’août, avec des émissions tous les jours et des bonnes affaires à faire.

Voir la vidéo sur les tendances sur les marchés obligataires

Les bons placements alternatifs face à la volatilité des marchés financiers

Dans un contexte de volatilité des marchés actions et des marchés financiers, sur quels placements alternatifs faut-il miser pour obtenir du rendement ?

Les bons placements alternatifs face à la volatilité des marchés financiersComment diversifier ses placements et son patrimoine ? Profitez du contexte économique et de la volatilité boursière pour diversifier votre patrimoine et investir dans du réel, du tangible. Il faut mutualiser ses risques et diversifier ses placements.

Les types d’actifs tangibles pour diversifier son patrimoine:

– Terres agricoles
– Forêts
– Vignes
– Grands crus
– Oeuvres d’art et objets de collection
– Parking
– Or
– Vaches laitières

Pourquoi investir dans des placements alternatifs ou exotiques ?

– Immobilier résidentiel en haut de cycle
– Volatilité des actions
– Perte de vitesse des fonds euros

Quand faut-il diversifier son patrimoine ?

Pour investir ds une foret, cela coûtera plusieurs dizaines voire plusieurs centaines de milliers d’euros
Investir dans une vache laitière coûte 1600 euros.

Pourquoi diversifier son patrimoine et ses placements ?

– Faire du financement ISR
– Se faire plaisir
– Obtenir du rendement
– Réduire son IR/ ISF

Attention, ces investissement alternatifs ne doivent pas représenter plus de 10% du patrimoine global. Il faut également garder à l’idée qu’avec des placements alternatifs, on investit dans du moyen ou du long terme. Pour un placement alternatif offrant un bon rendement à court et moyen terme, optez pour les parkings ( jusqu’à 7 voire 8 % de rendement).

Voir la vidéo sur les bons placements alternatifs face à la volatilité des marchés financiers

Les tendances des marchés financiers le 02/07

Alors qu’Aléxis Tsípras a renouvelé hier son appel à voter non aux propositions des créanciers ( voir Quelle est la probabilité d’ un défaut de paiement de la Grèce ?), les décisions de l’Eurogroupe sont désormais suspendues en attendant le résultat du référendum de dimanche.

 

Les tendances des marchés financiers le 02/07Référendum de dimanche en Grèce, ralentissement de la chine, resserrement de la politique monétaire aux Etats Unis… Voici les tendances des marchés financiers le 02/07.

CAC 40 à 4856,32 points ( -0,55%),  -3,68% sur une semaine.
DAX 30 à 11 139,20 points ( – 0,37%), – 2,92% sur une semaine.
EUROSTOXX 50 à 3 477,35 pts ( -0,54%),  -3,62% sur une semaine.
IBEX 35 10 856,8 pts ( -0,50%), -4,12% sur une semaine.
MIB 30 22 783,04 points ( -0,70%), -2,82% sur une semaine.

En cas de oui au référendum grec, la dynamique haussière devrait redémarrer même si elle ne sera pas très marquée. Cependant, même si le oui l’emporte dimanche, comme le laisse entendre les récentes sondages, le marché pourrait ne pas être plus emballé que ça. Les marchés financiers vont continuer à bénéficier de l’afflux de liquidités de la BCE, donc pas de scénario catastrophe avant la fin de l’année: privilégiez l’achat à la vente pour le moment. ( voir aussi Conséquences de la sortie de la Grèce de l’ euro sur les marchés financiers)

Giovanni Filippo, membre de la cellule info d’experts de Bourse direct, a analysé les dernières tendances des marchés financiers.

Tendances sur les marchés financiers

Négociations avec la Grèce, hausse des taux italiens et espagnols, baisse des taux allemands… Quelles sont les tendances sur les marchés financiers ?

Tendances sur les marchés financiersSur les marchés actions, les grandes baisses avaient touché le Dax et le CAC 40 ces dernières semaines, mais on assiste aujourd’hui à un retournement de situation. Sur les marchés obligataires, on assiste à une baisse des taux allemands à 10 ans  à et une remontée des taux italiens et espagnols, principalement à cause de la situation autour de la Grèce.

Alors que les marchés envisagent de plus en plus l’éventualité d’une sortie de la Grèce de la zone euro ( voir Combien va coûter la sortie de la Grèce de la zone euro ?) et d’un défaut de paiement grec, Jean-François Bay, directeur général de Morningstar France, a analysé les tendances sur les marchés financiers.

Vidéo tendances sur les marchés financiers.

Comment investir sur le marché des matières premières ?

Sur quelles valeurs faut-il miser actuellement sur le marché des matière premières ? Quelle stratégie adopter sur le marché des matières premières alors que les incertitudes planent toujours sur le marché pétrolier ?

Comment investir sur le marché des matières premières ?Alors que les dirigeants de l’Opep se réunissaient aujourd’hui, que faut-il attendre en terme d’évolution sur la politique de production ?

La réunion de l’Opep devrait aboutir à un maintien du plafond de la production. En novembre 2014, l’Opep avait déjà déçu le marché en décidant de maintenir leur niveau de production. En juin 2015, la production avait même été augmentée, avec plus de 31 millions de barils par jour alors que leur objectif est de 30 millions de barils.

Quant au contexte actuel sur le marché pétrolier, on constate une amélioration de la demande en Chine, aux Etats-Unis et en Europe. La production nord américaine n’a pas diminué malgré un effondrement du nombre de foreuses en activité aux Etats-Unis ( -60% en 1 an).

Quelles sont les perspectives sur le prix ? Quelle stratégie d’investissement adopter sur le marché des matières premières ?

Le marché pétrolier n’est pas le secteur le plus attrayant en ce moment. Le facteur prédominant pour la performance étant l’évolution du cours du pétrole, mieux vaut miser actuellement sur les services parapétroliers. Il est également recommandé se méfier des forages en eaux profondes et donc de rester prudent sur ce secteur. Mieux vaut se réorienter vers de sociétés de raffinage.

Raphaël Dubois, gérant actions matières premières chez Edmond de Rotschild Asset Management France, a analysé les tendances sur le marché des matières premières et sur le marché pétrolier.

Quel bilan pour le QE de la BCE ?

Alors que les taux longs sont au menu de la réunion de politique monétaire de la BCE de mercredi, quel bilan faire aujourd’hui du QE ?

Quel bilan pour le QE de la BCE ?Olivier Delamarche et Pierre Sabatier, membres des Éconoclastes, ont analysé les effets de l’assouplissement quantitatif de la BCE. Et selon eux, le QE n’est pour rien dans l’amélioration des 6 premiers mois en Europe. Olivier Delamarche estime même que la situation ne s’améliore pas en Europe. L’Europe ne pourra pas repartir avec la baisse des exportations chinoises vers les Etats-Unis ou l’Europe: pas de croissance en Chine, au Japon, aux Etats-Unis…

Olivier Delamarche estime que la croissance réelle des Etats-Unis n’est pas de -0,7% mais plutôt de -1,4% sur le premier trimestre, principalement à cause des 106 milliards de variations de stock sur le PIB américain.

Le Japon est quant à lui en récession malgré les chiffres récemment publiés: non consommation, hausse des prix avec la baisse du yen, qui ne peut pas remonter a cause des QE consécutifs, baisse des ventes au détail ds les petits supermarchés de -5 à -20%, etc…

Au final, il n’y a pas de croissance dans le monde: seuls les marchés actions croissent actuellement car on leur injecte de l’argent. Dans ce contexte, comment relancer l’économie européenne ?

L’Europe aura bien du mal a rebondir, car l’objectif principal du QE était la baisse de l’euro pour favoriser les exportations, alors même que l’économie mondiale ralentit… D’après Olivier Delamarche, la situation économique actuelle n’est pas meilleure que celle de 2008, avant la crise des subprimes, et la hausse des marchés est aujourd’hui injustifiable. Quelles conséquences pour les investisseurs ?

Voici le bilan du QE de la BCE par Olivier Delamarche et Pierre Sabatier

Quelles tendances sur les marchés actions en juin ?

Quelles sont les tendances sur les marchés financiers et notamment sur le marché actions en juin 2015 ? Quels secteurs faut-il privilégier pour investir ?

tendances sur les marchés actions en juinLe PIB des Etats-Unis au 1er trimestre a été évalué en 2ème estimation à -0,7%, après une première estimation à +0,2%. La consommation des ménages aux Etats-Unis a quant à elle augmenté de 1,8% au 1er trimestre. Les exportations américaines ont baissé de 7,6% au 1er trimestre, alors que l’estimation initiale était de -7,2%. Les importations américaines ont enregistré une hausse de 5,6%. Le stock des entreprises américaines a finalement été estimé à 95 milliards de dollars au 1er trimestre, après une première estimation qui atteignait 110,3 milliards. Mais le ralentissement de l’économie américaine était attendu ( voir Le ralentissement de l’ économie américaine va-t-il durer ?) et n’a finalement eu que peu d’influence sur les marchés financiers. Malgré tout, certains économistes attendent toujours un rebond de la croissance américaine à 2 voire 3% dans les trimestres à venir.

Concernant les marchés européens, le mois de mai a été en dents de scie, avec un point bas touché le 7 mai puis une remontée jusqu’à cette semaine. On a constaté des prises de bénéfices importantes sur les marchés européens, et notamment sur le marché français. Le mois de mai a également été marqué par la hausse des taux, par de la volatilité qui revient sur les marchés financiers, ainsi que par l’enlisement du dossier grec.

Pourquoi les banques centrales et les dirigeants européens n’arrivent-ils pas à prendre de décisions dans ce dossier ? Les banques ont-elles émis trop de CDS, qu’elles ne seraient pas capables d’assumer en cas de défaut de paiement de la Grèce ? La directrice du FMI Christine Lagarde a évoqué une possible sortie de la Grèce de la zone euro: « le résultat final, c’est que la sortie de la Grèce n’aura pas lieu. Cela n’exclut pas que puissent se produire plusieurs évènements qui ne seraient pas agréables ». Athènes doit rembourser en juin un total de 1,6 milliards d’euros au FMI, avec un versement le 5 juin ( voir Vers un défaut de paiement de la Grèce). Yanis Varoufakis, ministre grec des Finances, a déclaré jeudi 29 mai:  » Aux termes de l’accord du 20 février entre Athènes et ses créanciers, le plan d’aide au pays s’est prolongé jusqu’au 30 juin, donc c’est d’ici cette date qu’il faut arriver à un accord ». Pourtant, les espoirs d’un accord entre la Grèce et ses créanciers ont été modérés par plusieurs responsables européens…

Malgré ce contexte tendu, l’environnement sur les marchés financiers européens reste très favorable, avec les taux qui restent bas malgré leur légère remontée ( voir La hausse des taux et l’ avenir de la dette grecque) et avec la banque centrale qui reste très accommodante en zone euro.

Comment positionner les portefeuilles ? Comment investir sur le marché actions ? Quelles sont les tendances sur les marchés actions européens ?

D’après Aymeric Diday, directeur de la gestion sous mandat chez SPGP, il faut profiter des périodes un peu volatiles, avant l’été, pour continuer à investir et augmenter ses parts d’actions dans les portefeuilles, notamment en actions européennes. La BCE est à la manoeuvre et est là pour assurer plus que nécessaire de liquidités sur les marchés financiers européens. Il faut également diminuer sa part d ‘obligataire pour investir sur les actions européennes.

Quels secteurs privilégier sur les marchés actions européens ?

Selon Aymeric Diday, il faut avant tout investir dans les secteurs porteurs sur 3 à 6 mois, voire dans les secteurs porteurs dans les années à venir et encore sous-valorisés, comme le secteur bancaire par exemple. Il faut également privilégier dans son portefeuille d’actions les secteurs liés a la croissance, comme l’automobile. L’action Renault a enregistré une hausse de 37,99% sur 1 an, pour atteindre 95,74 euros au 29 mai, alors que l’action Peugeot a enregistré une hausse de 86,41% sur 1 an, à 19,21 euros le 29 mai. L’action Valeo a quant à elle augmenté de 51,62% sur 1 an, à 148,10 euros au 29 mai. Dans tous les cas, laissez tomber le marché obligataire et privilégiez les marchés actions européens.

Quelle tendance sur les marchés obligataires ?

Le marché obligataire a-t-il connu son point d’inflexion avec la fin de la baisse des taux ? Quelle évolution pour les marchés obligataires dans les mois à venir ?

tendances sur les marchés obligatairesOn assiste depuis mi-avril à une remontée des taux sur les marchés obligataires après 30 ans de baisse. Cette tendance va-t-elle durer ?

Les taux longs actuels sont beaucoup trop bas car ils reflètent les chiffres en matière de croissance et d’inflation au cours des prochaines années: croissance attendue en zone euro comprise ente 1,5 et 2 en 2016, inflation autour de 1,5 en 2016, ce qui devrait se traduire par une croissance nominale du PIB entre 3 et 3,5. En conséquence, les taux longs devraient largement dépasser les 0,5 pour s’établir autour de 2 au cours des prochains trimestres.

Si la BCE va agir sur les taux courts, il serait logique qu’elle continue a laisser glisser les taux longs, les taux allemands très bas n’étant pas un problème pour le financement de l’économie. La tendance sur le marché obligataire et sur les taux longs est à la hausse, mais le rythme dépendra des chiffres macro économiques de croissance, de l’inflation, avec néanmoins des risques de chiffres plus importants que l’inflation. La tendance d’inflation pourrait remonter à un niveau de 1,5 voire 2 en 2016.

Quels sont les scénarios les plus probables sur les marchés obligataires dans les mois à venir ? Philippe Chaumel, associé-gérant de Rotschild & Cie Gestion, a livré son analyse de la tendance des marchés obligataires.