Les Journées Du Financement – JDFI – Invitation

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Actions-Finance et DA OSE ont le plaisir de vous inviter à participer aux Journées du Financement. Plus qu’un forum, ce rendez-vous professionnel a été conçu pour la réflexion et l’échange sur le thème :

« Le financement, nouveau défi de l’entreprise »

Cet événement aura lieu les jeudi 2 et vendredi 3 avril 2009 à Chantilly – Domaine les Fontaines (à 30 minutes de Paris).

Les Journées du Financement vous proposent :

· Un tour d’horizon complet sur la stratégie et les outils de financement – classiques, alternatifs et innovants – mis à la disposition des entreprises.

· Vous pourrez également profiter de ces deux journées de conférences et d’ateliers pratiques pour bénéficier des retours d’expériences d’autres sociétés et rencontrer des professionnels du financement.

Pour découvrir le programma détaillé des plénières et des ateliers et vous inscrire aux Journées du Financement, rendez-vous directement sur le site :

www.jdfi.fr

Votre invitation Privilège (1 600 €* au lieu de 2 400 €) comprend :

  • votre participation aux 2 journées du financement et à l’ensemble du contenu et conférences,
  • une invitation au dîner des JdFi,
  • l’hébergement du jeudi soir aux Fontaines si vous souhaitez y rester (dans la limite des 300 premiers inscrits).

FX : Tenue correcte exigée !

par notre spécialiste FX

fx_forex_changeJamais l’appartenance à la zone Euro n’a fait autant d’envieux. Cette affirmation est probablement l’un des principaux enseignements des dernières semaines de crise financière qui chahute un peu plus chaque jour les pays les plus fragiles du vieux continent.

Ce ne sont certainement pas les pays les plus en danger de l’Euroland tels la Grèce ou l’Irlande qui se plaindront de ne pas avoir à défendre leur devise nationale contre les attaques répétées misant sur la faillite du pays.

J.C. Trichet, actuel gouverneur de la BCE et ancien gouverneur de la Banque de France peut en témoigner, lui qui a dû batailler à de nombreuses reprises pour défendre notre bon vieux Franc et ce, au prix très couteux d’interventions directes sur le marché des changes ou de taux d’intérêts au jour le jour au-delà de 10%.

Bien difficile en effet de s’attaquer à un tel ensemble, un des rares gages de stabilité dans cet univers tourmenté. C’est probablement ce que doivent se dire les dirigeants Polonais, Hongrois, Tchèques et Baltes qui voient chaque jour leur devise nationale dévisser un peu plus face au Dollar et à l’Euro! Ce réflexe, les Islandais l’ont déjà eu et on peut même penser que cette idée doit tourmenter les nuits de certains britanniques qui voient depuis des semaines dégringoler la Livre, symbole si cher de leur fierté toute insulaire.

A cette demande pressante de certains pays de l’Est, les 27 ont donc répondu le week-end dernier par l’entame d’une réflexion. Celle-ci consiste en une réduction du délai d’intégration à l’Euro actuellement fixé à 2 ans durant lesquels la devise rentre dans un système de change limitant ses fluctuations à 15% face à l’Euro (système ERM2).

Néanmoins, cette réflexion pourrait se révéler vaine car il reste tout à fait inenvisageable pour les membres actuels de la zone Euro d’assouplir dans le même temps les critères de convergence issus des accord de Maastricht… pour utiliser une image plus triviale, la file d’attente devant votre night club préféré sera peut être moins longue, mais la tenue correcte restera exigée !

Formations relatives :

Marché des changes : fondamentaux, outils et pratiques

Credit Default Swap (CDS) : outil du transfert et de la gestion des risques de crédit

Gestion des risques financiers

Contactez-nous :

contact@actions-finance.com

Principales pertes dans le secteur bancaire

Les principales pertes et dépréciations d’actifs dans le secteur bancaire (en milliards de dollars au 21/02/2009)

pertes_secteur_bancaire

Source : Bloomberg

La banque française la plus exposée, le Crédit Agricole, figure au 20ème rang mondial avec 8,9MlrdUSD de pertes cumulées (avant la publication des comptes du T42008).

Malgré ces pertes gigantesques, le ration de solvabilité de ces banques reste au niveau plus que satisfaisant (à fin 2008) :

ratio_solvabilite_banques_americaines

Formations admissibles en DIF

choix_formation_difLes formations admissibles en DIF (droit individuel à la formation) sont fixées par la loi, l’accord de branche ou interprofessionnel, ou l’accord d’entreprise (plus rarement) qui définissent des actions prioritaires.

Dans le cadre de la loi, les formations admissibles en DIF sont :

  • des actions de promotion permettant d’acquérir une qualification plus élevée,
  • des actions d’acquisition, entretien ou perfectionnement des connaissances,
  • des actions d’acquisition d’un diplôme.

L’entreprise ne peut pas imposer un choix de formation en DIF, étant donné que le DIF est effectué à la demande du salarié.

Néanmoins, l’entreprise peut proposer une formation en DIF à un salarié, auquel cas celui-ci peut toujours refuser la proposition sans plus de justification.

L’entreprise  peut également constituer un catalogue interne proposant ainsi un choix de formations éligibles en DIF.

Formation DIF durant le temps de travail

dif_temps_de_travailSauf disposition contraire, le DIF (droit individuel à la formation) s’effectue hors du temps de travail.

Le salarié reçoit alors, de la part de son employeur, une allocation de formation égale à 50 % de sa rémunération nette de référence ( Le salaire horaire de référence est obtenu en divisant le total des rémunérations nettes versées au salarié, au cours des 12 derniers mois précédant le début de la formation, par le nombre total d’heures rémunérées au cours de cette même période).

Cependant, l’employeur peut prendre l’initiative de proposer la formation en DIF sur le temps de travail. Dans ce cas le salarié ne perçoit plus d’allocation formation. Sa rémunération est maintenue normalement pour les heures passées dans le cadre de sa formation en DIF.

Coût du DIF pour l’entreprise

cout_de_difLe coût du DIF (droit individuel à la formation) pour l’entreprise :

  • une allocation formation versée au salarié
  • les frais de formation, calculés sur la base forfaitaire applicable aux contrats de professionnalisation, soit 9,15 euros de l’heure

Pour les salariés en CDD, tous les frais sont pris en charge par l’OPCA.

Cas de refus d’une formation en DIF

refus_difL’entreprise peut refuser une formation en DIF (droit individuel à la formation) pendant 2 années consécutives, sans avoir à motiver son refus.

L’absence de réponse à une demande de formation en DIF sous un mois vaut acceptation.

En cas de refus de formation en DIF, le salarié ne peut alors que réitérer sa demande en DIF ultérieurement.

Au bout de 2 ans, le salarié peut effectuer sa demande sous forme de CIF – Congé individuel de formation – auprès de l’Organisme paritaire collecteur agréé (OPCA) dont relève l’entreprise.

L’OPCA adressera ensuite la facture à l’employeur.

L’OPCA se réserve le droit de refuser la demande du salarié si elle ne répond pas aux priorités et aux critères qu’il a fixés.

Obligation d’information sur le DIF

obligation_information_difL’employeur a l’obligation d’informer chaque salarié, par écrit et annuellement, du total des droits qu’il a acquis au titre du DIF (droit individuel à la formation).

L’accord de branche est à disposition des salariés pour toute précision concernant l’application du DIF dans leur entreprise.

En cas de licenciement, l’employeur doit faire figurer dans la lettre de licenciement les droits au DIF acquis par le salarié et la possibilité de demander pour le salarié, pendant le préavis, à bénéficier d’une action de bilan de compétences, de VAE ou de formation dans le cadre de ces droits au DIF.

Comment calculer les droits au DIF ?

calculer_droits_au_difLe salarié peut accumuler annuellement 20 heures de DIF (droit individuel à la formation), durant 6 ans.

En cas de temps partiel ou CDD, les droits au DIF sont calculés au prorata du temps de travail, et ne sont pas limités à la période de 6 ans.

Au-delà de 120 heures, les droits au DIF ne sont plus accumulables. Les périodes d’absence du salarié (congé maternité, d’adoption, de présence parentale, ou congé parental d’éducation) sont prises en compte pour ce calcul.