Statut de formateur occasionnel

statut de formateur occasionnelLes formations professionnelles proposées par Actions-Finance sont effectuées par des professionnels des marchés financiers qui interviennent parfois sous un statut de « formateur occasionnel ».
Être formateur occasionnel :
– ne nécessite pas de diplôme de formateur,
– permet de dispenser des cours à raison de 30 jours par an et par organisme,
– permet de ne pas se charger des formalités administratives : l’organisme de formation s’occupe de toutes les charges.

Le formateur occasionnel a donc un statut très proche de celui du salarié !

Le formateur occasionnel est rémunéré de manière forfaitaire.

Pour plus d’informations sur le statut de formateur occasionnel, veuillez lire notre bulletin d’information : [lien pdf]

Ou bien vous rendre sur ces sites :

http://www.urssaf.fr/employeurs/dossiers_reglementaires/dossiers_reglementaires/les_formateurs_occasionnels_01.html
http://www.apce.com/pid602/formateur-occasionnel.html?espace=1&tp=1

Formation bases de la communication financière

La formation bases de la communication financière est une nouvelle formation proposée par Actions-Finance dans notre catalogue de formations 2014 ( téléchargez le catalogue formations Actions-Finance 2014 : catalogue de formation 2014 ).

Formation bases de la communication financièreAu programme de la formation bases de la communication financière:

Les Objectifs de la communication financière

•La délivrance d’une information pertinente et conforme aux obligations de l’entreprise
•Le respect des obligations légales (aspects comptables et financiers)
•Le contenu de l’information financière (différents cadres comptables)
•Le document de référence AMF en France
•Lecture et analyse d’un document de référence d’un grand groupe coté en Bourse

Les relations avec les investisseurs et les agences de notation

•Différents types d’investisseurs et leurs attentes
•Différents types d’opérations (émission d’actions, d’obligations, de droits de souscriptions, augmentation de capital, fusion, autres…)
•Modalités de rencontre avec les investisseurs (réunions d’analystes, road show, autres)
•Les principales agences de notation financière (attentes et modes de fonctionnement interne)

Les relations avec la presse

•Différents types d’acteurs de presse
•Modalités de rencontre avec les journalistes
•Les chaines spécialisées du paysage audiovisuel international

Les bases indispensables d’analyse financière a l’usage de l’équipe

•Aspects techniques essentiels (lecture d’un bilan et d’un compte de résultat)
•Questions souvent posées par les analystes
•L’importance de l’EBITDA
•Principaux ratios d’analyse financière utilisés par les agences de notation
•Interprétations usuelles

Plus d’informations sur la formation bases de la communication financière: http://formation.actions-finance.com/les-bases-de-la-communication-financiere/

Actions-Finance obtient le Prix Etienne Marcel 2013

Thierry REPENTIN, Ministre Délégué chargé des Affaires Européennes, a remis le Prix Etienne Marcel 2013 à Actions-Finance.

Actions-Finance obtient le Prix Etienne Marcel 2013Actions-Finance a en effet obtenu le Prix Coup de Cœur 2013 dans le cadre du Prix Etienne Marcel 2013. L’ Association Etienne Marcel met en valeur des PME performantes mettant l’homme, le territoire, la préservation de la planète au cœur de leur activité. Le Prix Etienne Marcel, créé en 2011 permet de faire connaître des entrepreneurs faisant preuve d’initiatives novatrices.

Grâce à son principe de «Formation Équitable», Actions-Finance a reçu le Prix Coup de coeur 2013. Le principe de «Formation Équitable» mis en place par Actions-Finance consiste en un projet de partenariat avec les clients, fondé sur le dialogue, la transparence et le respect, dont l’objectif est de parvenir à une plus grande équité financière et intellectuelle et ainsi donner l’accès à la formation au plus grand nombre de salariés. Une équipe de formateurs a été constituée pour préparer et animer ces «Formations Équitables» dont les principes sont une rémunération adaptée au nombre de participants et un travail de préparation de formation adapté aux attentes des participants.

Actions-Finance est une jeune entreprise de 5 personnes dirigée par Anna Samoliotova-Mechentel. Spécialisé dans la formation professionnelle des domaines de la banque, finance, assurance et comptabilité, Actions-Finance propose des solutions d’animation innovantes et ludiques, visant les aspects opérationnels.

Le Prix Etienne Marcel Coup de Cœur 2013 a été remis à la société Actions-Finance par Thierry REPENTIN, Ministre Délégué chargé des Affaires Européennes, en présence de Bernard COHEN-HADAD, Président du Prix Etienne Marcel, Arnaud de BRESSON, Directeur Général de Paris Europlace, Laurence MEHAIGNERIE, Présidente de Citizen Capital et Rachid M’BARKI, journaliste BFM TV.

Formation du mois: de Bâle 2 vers Bâle 3, quelles implications ?

Voici la formation du mois proposée par Actions-Finance: de Bâle 2 vers Bâle 3, quelles implications ?

Formation Bâle 2 vers Bâle 3, quelles implications ?Notre constat :
Crise économique -> besoin plus important de formations sur les actualités réglementaires, comptables, etc. MAIS baisse des budgets de formation

Notre position :
La formation joue un rôle important dans la résolution des problèmes économiques. En conséquence, nous souhaitons donner un accès plus facile à certaines connaissances qui nous semblent indispensables en ce moment.

Proposition d’Actions-Finance :
« Formation du mois«  (est une session de formation Inter-Entreprise, sur un sujet d’actualité sélectionné par Actions-Finance.
  • Durée : 1 jour
  • Pédagogie : active, avec exercices, mises en situation, etc. ….
  • Prix : 300 Euros par personne, prestation de formation professionnelle continue exonérée de TVA
  • Lieu : Paris, Centre
Pour le mois de juin, nous vous proposons le sujet suivant :

  • Réforme Bâle II vers Bâle III et ses implications
  • Date : jeudi 27 juin 2013

Pour plus d’informations sur la formation Bâle 2 vers Bâle 3, quelles implications ? Cliquez ici: Réforme Bâle II vers Bâle III et ses implications

Nouveautés de l’ Accord National Interprofessionnel du 11 janvier 2013

Quelles sont les nouveautés prévus dans l’ Accord National Interprofessionnel du 11 janvier 2013 ?

L’ Accord National Interprofessionnel, signé par l’ensemble des organisations patronales et par 3 confédérations syndicales de salariés sur 5 ( CGT et FO n’ont pas signé), prévoit des avancées pour les droits des salariés et un durcissement des conditions de recours au travail précaire.

Voici les nouveautés prévues par l’ Accord National Interprofessionnel du 11 janvier 2013:

Nouveaux droits pour les salariés

– accès à la couverture complémentaire des frais de santé ( financement partagé par moitié entre salariés et employeurs). Les accords négociés devront entrer en vigueur au sein des entreprises concernées au plus tard le 1er janvier 2016.

– amélioration de l’effectivité de la portabilité de la couverture santé et prévoyance pour les demandeurs d’emploi ( la durée maximale de la portabilité de la couverture de frais de santé et de prévoyance passe de 9 à 12 mois).

– assouplissement des conditions d’accès des salariés de moins de 30 ans au CIF-CDD.

– droit à une période de mobilité volontaire sécurisée pour les salariés qui souhaitent changer d’emploi.

– amélioration de l’accès au logement en mobilisant Action Logement.

– développement du conseil en évolution professionnelle.

– amélioration du dialogue social dans l’entreprise ;

– adaptation du congé de reclassement.

Nouveaux droits pour les demandeurs d’emploi

– droit rechargeable à l’assurance-chômage : en cas de reprise d’emploi consécutive à une période de chômage, le salarié peut conserver le reliquat de tout ou partie de ses droits aux allocations du régime d’assurance chômage non utilisés, pour les ajouter, en cas de nouvelle perte d’emploi, aux nouveaux droits acquis au titre de la période d’activité ouverte par cette reprise d’emploi.

– compte personnel de formation intégralement transférable.

– accompagnement financier des demandeurs d’emploi bénéficiant d’un accès au contrat de sécurisation professionnel expérimental.

Nouvelles contraintes pour les employeurs

– recours aux CDD sera moins avantageux dès le 1er juillet 2013 : l’employeur devra s’acquitter d’une cotisation supplémentaire au régime d’assurance chômage pour les CDD (sauf ceux conclus pour l’exécution d’une tâche précise et temporaire et ceux conclus pour l’exécution d’une tâche précise et temporaire); cette cotisation supplémentaire est égale à 7% pour les contrats d’une durée inférieure à un mois, 5,5 % pour les contrats d’une durée comprise entre 1 et 3 mois, 4,5 % pour les contrats d’une durée inférieure à 3 mois, conclus dans certains secteurs d’activité (définis par décret ou par convention ou accord collectif de travail étendu), dans lesquels il est d’usage constant de ne pas recourir au contrat de travail à durée indéterminée en raison de la nature de l’activité exercée et du caractère par nature temporaire de ces emplois. Cette taxe ne s’appliquera pas en cas d’embauche en CDI après le CDD et des exonérations temporaires sont prévues pour certains contrats.

– recours au temps partiel plus contraignant.

– renforcement de l’information délivrée aux salariés et des représentants du personnel sur les choix stratégiques de l’entreprise.

– entrée de représentation des salariés dans l’organe de gouvernance de tête qui définit la stratégie de l’entreprise.

– nouvelle articulation de la négociation sur la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences et le plan de formation.

– nouvelles règles applicables en cas de licenciement de 10 salariés et plus sur une même période de 30 jours dans les entreprises d’au moins 50 salariés.

Flexibilité de l’emploi plus importante pour les employeurs

– possibilité pour l’employeur de changer le poste ou le lieu de travail des salariés au sein de la même entreprise. L’organisation de cette mobilité interne fait l’objet, dans les entreprises dotées de délégués syndicaux, d’une négociation triennale. Les mobilités envisagées ne peuvent en aucun cas entraîner une diminution du niveau de rémunération ou de la classification personnelle du salarié, et doivent garantir le maintien ou l’amélioration de sa qualification professionnelle.

– développement des accords de maintien de l’emploi : en cas de graves difficultés conjoncturelles, l’entreprise pourra, à côté de dispositifs existants tels que le chômage partiel, conclure un accord d’entreprise permettant de trouver un nouvel équilibre, pour une durée limitée dans le temps, dans l’arbitrage global temps de travail / salaire / emploi, au bénéfice de l’emploi.

– recours à l’activité partielle en cas de besoin et d’urgence.

– expérimentation du contrat de travail intermittent : des emplois permanents pourront comporter, par nature, une alternance de périodes travaillées et non travaillées ;

– mise en œuvre du dialogue social dans l’entreprise : l’entreprise bénéficiera d’un délai d’un an pour mettre en œuvre les obligations complètes liées au franchissement des seuils de 11 et 50 salariés, à la condition que l’organisation des élections des délégués du personnel et/ou du comité d’entreprise intervienne dans le délai de 3 mois suivant ce franchissement.

source: www.juritravail.com

Audit pré formation des intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement

Selon l’arrêté du 4 avril 2012, « les personnes exerçants les fonctions d’ intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement depuis plus de six mois au moment de la publication du présent arrêté, et qui « ne justifient pas de la formation professionnelle requise pour respecter leurs exigences de capacité professionnelle, peuvent être dispensées de suivre l’intégralité de la formation de tronc commun à concurrence des heures de formation antérieures effectivement suivies sous réserve cependant :

Audit pré formation des IOBSP– qu’elles justifient avoir suivi ces heures de formation depuis le 1er janvier 2010 et que cette ou ces formations aient été reconnues comme équivalentes au programme du tronc commun par l’organisme de formation délivrant l’attestation ; et

– qu’elles réussissent l’examen de contrôle des compétences prévu à l’issue de la formation, y compris sur la formation du tronc commun. »*

Plusieurs sujets du tronc commun ont été surement dispensés au sein de votre entreprise depuis le 1er janvier 2010. Il est donc important de recenser ces formations et les personnes qui les ont suivi, afin de :

• Faire valider les heures déjà effectuées de formation obligatoire par ces personnes.
• Adapter le programme de formation pour couvrir uniquement le contenu non étudié.
• Intégrer les modules déjà existants dans le contenu du tronc commun.

Cette approche vous permettrait :

• D’optimiser le parcours pédagogique, en l’adaptant à chaque stagiaire, et ainsi d’augmenter
leur motivation d’apprendre ;

• D’optimiser le budget global de formation IOB, en évitant de faire suivre pour la 2 ème fois des formations déjà assimilées et en intégrant dans le parcours les contenus déjà existants.

Actions-Finance vous propose d’effectuer un Audit Pré Formation des intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement, par un consultant spécialisé sur le sujet.

Nous serons heureux de vous présenter notre approche lors d’un rendez-vous.

Pour de plus amples informations, vous pouvez nous contacter au 01 47 20 37 30 ou nous envoyer un message sur formation-iob@actions-finance.com

*Texte de l’arrêté du 4 avril 2012.

Programme minimal de formation IOB

Programme minimal de formation pour les intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement prévu à l’article R. 519-12 du code monétaire et financier.

Programme formation IOB de tronc commun
(durée minimale : 60 heures)

Programme formation IOB1. Les savoirs généraux :
1.1. Connaissance du contexte général de l’activité d’intermédiaire en opérations de banque et en services de paiement.
1.1.1. Présentation du secteur du crédit et de l’assurance.
1.1.2. La notion d’opérations de banque et de services de paiement.
1.1.3. Les différents partenaires des IOBSP : banques, sociétés financières, assurances.
1.1.4. Le mandatement bancaire et ses limites.
1.1.5. Les risques associés aux opérations et services dont ceux transmis à la clientèle.
1.2. Les différentes catégories réglementaires d’ IOBSP (art. R. 519-4 COMOFI) et les modalités d’exercice de l’activité : contenus et limites.
1.2.1. Les courtiers, les mandataires, les mandataires d’ IOBSP.
1.2.2. Les indépendants.
1.2.3. Les réseaux.
1.3. Les fondamentaux du droit commun.
1.3.1. Le statut juridique des emprunteurs : célibataires, pacsés, mariés (les différents régimes matrimoniaux), divorcés ; et son incidence sur les conditions de prêt et la formation du contrat.
1.3.2. Capacité.
1.3.3. Validité du consentement du client (art. 1109 c. civ.).
1.3.4. Exécution des contrats de bonne foi (art. 1134 c. civ.).
1.3.5. Généralités sur les pratiques commerciales déloyales et illicites et leurs sanctions.
1.3.6. Libertés individuelles, protection des données personnelles du client (CNIL) et respect du secret bancaire.
1.4. Les conditions d’accès et d’exercice.
1.4.1. Immatriculation.
1.4.2. Capacité professionnelle.
1.4.3. Honorabilité.
1.4.4. Assurance professionnelle.
1.4.5. Garantie financière.
1.5. La lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme.
1.6. Les modalités de distribution.
1.6.1. Le démarchage bancaire et financier.
1.6.1.1. Définition.
1.6.1.2. Les interdictions faites au démarcheur.
1.6.1.3. Les règles de bonne conduite.
1.6.1.4. Le délai de rétractation.
1.6.1.5. Les sanctions.
1.6.2. La vente à distance de produits bancaires et financiers.
1.6.2.1. Définition.
1.6.2.2. Le droit de rétractation.
1.6.2.3. Les obligations d’information.
1.6.2.4. Règles spécifiques à la conclusion de contrats par voie électronique.
1.6.2.5. Les sanctions.
2. Connaissances générales sur le crédit.
2.1. Nature, caractéristiques, finalités des différentes formes de crédit aux particuliers.
2.1.1. Crédit à la consommation.
2.1.2. Crédit immobilier.
2.1.3. Prêt viager hypothécaire.
2.1.4. Regroupement de crédits.
2.2. Caractéristiques et finalités des crédits aux professionnels.
2.3. Analyse des caractéristiques financières d’un crédit.
2.3.1. Les différents types de taux et leurs caractéristiques.
2.3.2. Coût et durée totale du crédit.
3. Notions générales sur les garanties.
3.1. Les différents types de garanties.
3.2. Leurs limites.
3.3. Notions générales sur les sûretés.
3.4. Le cautionnement.
4. Notions générales sur les assurances des emprunteurs.
4.1. Généralités.
4.1.1. Le principe de libre choix du client.
4.1.2. Tarification collective ou individuelle, incidence sur les taux.
4.2. Les risques couverts.
4.2.1. Le décès.
4.2.2. L’invalidité.
4.2.3. L’incapacité.
4.3. Tarification du risque emprunteur.
4.3.1. Sélection médicale, risques professionnels ou sportifs.
4.3.2. Tarification du risque aggravé (majoration, exclusion, franchise).
4.3.3. Le risque aggravé de santé : la convention AERAS.
5. Les règles de bonne conduite.
5.1. La protection du client.
5.1.1. Connaissance du client.
5.1.2. La loi sur les discriminations.
5.1.3. Principe de loyauté : l’intérêt du client.
5.1.4. Connaissance des droits et obligations de l’emprunteur et du conjoint non coemprunteur.
5.1.5. Obligation d’information précontractuelle lors de l’entrée en relation.
5.1.6. Présentation des caractéristiques de la prestation.
5.1.7. Devoir de conseil ou de mise en garde et recueil des informations nécessaires.
5.1.8. Cas des contrats à distance.
5.1.9. Formaliser et documenter l’accompagnement du client.
5.1.10. Convention préalable sur les frais et les liens capitalistiques.
5.2. La prévention du surendettement et l’endettement responsable.
5.2.1. Présentation et caractéristiques de situations de surendettement.
5.2.2. Connaissances et démarches nécessaires à la prévention du surendettement.
5.2.3. Explications et avertissements à donner en cas de risque de surendettement.
5.2.4. Présentation des principes et des procédures de traitement du surendettement.
5.2.5. Risque auquel s’expose le prêteur en cas de surendettement de l’emprunteur, en particulier la possibilité pour les commissions de surendettement d’annuler en tout ou partie les dettes contractées par ce dernier.
5.2.6. Le traitement du surendettement : commission de surendettement, organisation, fonctionnement, saisine, rôle de la Banque de France.
5.3. La prévention des conflits d’intérêts.
5.3.1. Dévoilement des mandats.
5.3.2. Liens financiers et capitalistiques avec les mandants ou les établissements de crédit ou de paiement.
5.3.3. Transparence sur les frais et sur la rémunération de l’intermédiaire (contenu, limites).
6. Contrôles et sanctions.
6.1. Connaissance des infractions et manquements relatifs au non-respect des règles figurant au titre Ier du livre III du code de la consommation et de leurs sanctions.
6.2. Les contrôles internes et le CRBF n° 97-02 relatif au contrôle des établissements de crédit.
6.3. La notion de prestation essentielle ou importante externalisée par la banque.
6.4. Ses conséquences pour l’ IOBSP.
6.5. ACP : compétences, contrôle, sanctions.
6.6. DGCCRF : compétences, contrôle, sanctions.
6.7. ORIAS : compétences, contrôle.
6.8. Rôle de l’autorité de publicité.

B.-Les modules spécialisés
1. Module n° 1 : crédit consommation et crédit de trésorerie
(durée minimale : 14 heures)

1.1. L’environnement du crédit de trésorerie et à la consommation.
1.1.1. Les principaux textes législatifs (loi MURCEF, loi Châtel, loi Lagarde).
1.1.2. Les fichiers, finalités et modalités de consultation (FICP, FCC, FIBEN).
1.1.3. La réglementation en matière de publicité.
1.1.4. Les types de crédit aux particuliers et leur adaptation aux besoins du client.
1.2. Le crédit à la consommation.
1.2.1. Caractéristiques financières d’un crédit à la consommation : le taux débiteur ; le taux annuel effectif global ; le coût total du crédit ; la durée du crédit ; le montant total dû par l’emprunteur ; le montant total du crédit ; le montant, le nombre et le contenu des échéances ; pour les locations avec option d’achat, le montant des loyers et le prix d’achat en cas d’exercice de l’option.
1.2.2. Modalités de garantie des crédits et conditions de fonctionnement de la garantie.
1.2.3. Les coûts associés.
1.2.4. Connaissance, pour les différentes formes de crédit, des droits et obligations de l’emprunteur et du conjoint non coemprunteur, à la formation du contrat et en cours de son exécution.
1.3. Connaissances et diligences à accomplir pour assurer une bonne information de l’emprunteur.
1.3.1. Les explications à fournir à l’emprunteur pour lui permettre de comprendre le contenu de la fiche mentionnée à l’article L. 311-6.
1.3.2. Etablissement de la fiche mentionnée à l’article L. 311-10.
1.3.3. Les caractéristiques essentielles du crédit proposé.
1.3.4. Les conséquences que le crédit peut avoir sur sa situation financière, y compris en cas de défaut de paiement.
1.3.5. La remise de l’offre de contrat de crédit ainsi que les explications à fournir.
1.4. La préparation d’un dossier de crédit à la consommation.
1.4.1. L’analyse du dossier.
1.4.2. Liste des informations à recueillir.
1.4.3. Liste des documents nécessaires au dossier.
1.5. Etude détaillée de plusieurs dossiers.
Savoir rédiger une note de synthèse.

2. Module n° 2 : le regroupement de crédits
(durée minimale : 14 heures)

2.1. L’environnement du regroupement de crédits.
2.1.1. Rappel législatif (loi Scrivener, loi MURCEF, loi Lagarde).
2.1.2. Les différents intervenants : les établissements de crédit ; les notaires, les huissiers, services sociaux.
2.2. Le regroupement de crédits.
2.2.1. Les finalités d’un regroupement de crédits.
2.2.2. Les différents types de regroupement de crédits, dont le rachat de crédit hypothécaire.
2.2.3. Les typologies de regroupement.
2.2.4. Les types de prêts regroupés.
2.2.5. L’environnement bancaire.
Les établissements de crédits généralistes ou spécialisés.
Les spécificités.
Les exigences et le contrôle.
Le taux de transformation.
Les comparateurs.
2.3. Connaissances et diligences à accomplir pour assurer une bonne information du candidat au regroupement.
2.3.1. Les explications à fournir.
2.3.2. Les conditions de mise en place et leur conformité à l’intérêt du client.
2.4. Le dossier de regroupement.
2.4.1. L’analyse du dossier.
2.4.2. Liste des documents nécessaires à l’étude du regroupement.
L’identité.
La situation contractuelle : mariage, PACS, indivision, divorce.
Le recueil des pièces nécessaires (bulletin de salaire, avis d’imposition, quittances…).
Le contrôle.
Les relevés de compte : inventaire exhaustif, contrôle.
La balance bancaire : fonctionnement, notion de charge et de ressource exceptionnelle.
L’appréciation rapide de la faisabilité d’un dossier avec ou sans garantie.
2.5. Etude détaillée de plusieurs dossiers.
Savoir rédiger une note de synthèse.

3. Module n° 3 : les services de paiement
(durée minimale : 14 heures)

3.1. L’environnement des services de paiement.
3.1.1. La transposition de la directive services de paiement.
3.1.2. Incidence de la directive SEPA.
3.1.3. Le rôle des établissements de paiement et des établissements de monnaie électronique.
3.2. Les différents services de paiement.
3.2.1. Le paiement par carte.
3.2.2. Les cartes de retrait.
3.2.3. Les cartes de paiement.
3.2.4. Les cartes de crédits.
3.2.5. Les services de transfert d’argent.
3.2.6. Les autres services de paiement.
3.2.7. La gestion des moyens de paiement.
3.3. Les droits de la clientèle en matière de services de paiement (délais d’exécution des ordres, informations, incidents de paiement…).
3.3.1. Connaissances et diligences à accomplir pour assurer une bonne information des clients.
3.3.2. Les informations à fournir aux fins d’exécution correcte de l’ordre, sur les délais d’exécution, les frais, le cas échéant le taux de change, les dispositifs de sécurité, les diligences à accomplir en cas de perte, vol ou détournement de l’instrument de paiement.
3.3.3. La convention de services de paiement : contenu.
3.4. La préparation d’un dossier de service de paiement.
3.4.1. L’analyse du dossier.
3.4.2. Liste des informations à recueillir et à donner.
3.4.3. Liste des documents nécessaires au dossier.
3.5. Etude détaillée de plusieurs dossiers.
Savoir rédiger une note de synthèse.

4. Module n° 4 : le crédit immobilier
(durée minimale : 14 heures [niveau 2] et 24 heures [niveau 1])

4.1. L’environnement du crédit immobilier.
4.1.1. Rappels législatifs (loi Scrivener, loi Châtel, loi MURCEF, loi SRU).
4.1.2. Les établissements de crédit.
4.2. Les intervenants et le marché.
4.2.1 Les notaires.
4.2.2. Les agents immobiliers.
4.2.3. Les promoteurs.
4.2.4. Les lotisseurs.
4.2.5. Les constructeurs.
4.2.6. Les conseillers en investissements financiers.
4.2.7. Les conseillers en gestion de patrimoine.
4.2.8. Les IOBSP.
4.3. Le crédit immobilier.
4.3.1. Caractéristiques financières d’un crédit immobilier : le taux effectif global ; le coût total du crédit ; la durée du crédit ; le taux fixe le taux variable, les taux capés ; le montant, le nombre et le contenu des échéances.
4.3.2. Modalités de garantie des crédits et conditions de fonctionnement de la garantie.
4.3.3. Le mécanisme AERAS en cas de risque de santé aggravé.
4.3.4. Connaissance des droits et obligations de l’emprunteur et du conjoint non coemprunteur, dès la formation du contrat et en cours de son exécution.
4.3.5. Les principaux prêts immobiliers.
Les prêts classiques et les particularités bancaires.
Les prêts pour financer la vente en état futur d’achèvement.
La maîtrise du financement du CCMI.
Le relais.
In fine.
La renégociation de crédit.
Le prêt viager hypothécaire.
Les prêts aidés : le principe de proposition prioritaire d’un prêt aidé en cas d’éligibilité du candidat à l’emprunt.
Les prêts conventionnés PAS et PC.
Le prêt à taux zéro.
L’éco prêt à taux zéro.
Le PEL-CEL.
Le 1 % logement.
4.3.6. Les dispositifs d’investissements locatifs.
Loi Scellier.
Loi Borloo.
LMP et LMNP.
Loi Malraux.
Les SCPI.
4.4. Connaissances et diligences à accomplir ainsi que les explications à fournir pour assurer une bonne information de l’emprunteur.
4.4.1. Capacité d’emprunt des candidats.
4.4.2. Explications à fournir à l’emprunteur.
4.4.3. Remise de l’offre de prêt ainsi que les explications à fournir.
4.5. La constitution du dossier de crédit immobilier.
4.5.1. Le mandat.
4.5.2. Définition de l’objet du prêt et du projet immobilier.
4.5.3. Liste des informations à recueillir et documents nécessaires au dossier.
4.5.4. L’adaptation du crédit proposé aux besoins du client : motivation.
4.5.5. Conditions de l’acquisition.
Le mode d’acquisition.
Le montant de l’acquisition.
Le montant de l’apport.
4.5.6. Caractéristiques de l’emprunteur.
L’environnement matrimonial.
L’environnement patrimonial.
La capacité d’emprunt.
Les documents à fournir.
4.5.7. La présentation de l’offre de prêt.
Ordonnancement du dossier.
Note de synthèse.
4.5.8. La gestion de l’offre de prêt.
4.6. Etude détaillée de plusieurs dossiers.
Savoir rédiger une note de synthèse.

Voir aussi:

Validation des formations IOB et contrôle des objectifs

Formation IOB et équivalence

Modalités de la formation des intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement

Formation des intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement

Nous consulter pour les formations au format Intra-Entreprise:

formation-iob@actions-finance.com

Tel: 01 47 20 37 30

Validation des formations IOB et contrôle des objectifs

Validation des formations IOBLes épreuves du contrôle des compétences acquises à l’issue de la formation IOB, mentionné au II de l’article R. 519-12, lorsqu’elles consistent en des questionnaires à choix multiple ou en des questions à réponses courtes, sont réputées réussies lorsque le nombre de bonnes réponses excède un seuil de 70 %.

En application de l’article R. 519-12 du code monétaire et financier, les organisations représentatives de la profession incitent leurs adhérents par tous moyens, notamment au travers de codes de bonne conduite, à prendre les mesures nécessaires pour s’assurer que le programme de formation IOB est conforme et que le livret de formation comporte le détail du programme effectivement suivi, les résultats obtenus lors de l’examen de contrôle des compétences prévu au II de l’article R. 519.12 ainsi que les règles de notation.

Voir aussi:

Formation IOB et équivalence

Modalités de la formation des intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement

Formation des intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement

Nous consulter pour les formations au format Intra-Entreprise:

formation-iob@actions-finance.com

Tel: 01 47 20 37 30

Formation IOB et équivalence

Formation IOB et équivalenceA titre de mesures transitoires, les personnes exerçant les fonctions d’ intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement depuis plus de six mois au moment de la publication de l’arrêté ( justifiées soit par la production d’une attestation de l’établissement de crédit, de l’établissement de paiement ou de l’entreprise d’assurance, soit par une attestation de l’employeur), et qui ne justifient pas de la formation professionnelle requise pour respecter leurs exigences de capacité professionnelle, peuvent être dispensées de suivre l’intégralité de la formation de tronc commun à concurrence des heures de formation antérieures effectivement suivies sous réserve cependant :

– qu’elles justifient avoir suivi ces heures de formation depuis le 1er janvier 2010 et que cette ou ces formations aient été reconnues comme équivalentes au programme du tronc commun par l’organisme de formation délivrant l’attestation ; et

– qu’elles réussissent l’examen de contrôle des compétences prévu à l’issue de la formation, y compris sur la formation du tronc commun.

Voir aussi:

Modalités de la formation des intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement

Formation des intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement

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Modalités de la formation des intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement

Le programme de formation des intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement se décompose en :

Modalités de la formation IOB– un tronc commun d’une durée de 60 heures ;

– 4 modules optionnels en fonction des domaines de spécialité dans lesquels les personnes exercent leur activité, d’une durée de 14 heures.

Pour valider le niveau 1 de 150 heures, les personnes concernées suivent la formation du tronc commun, les quatre modules optionnels dont le module crédit immobilier porté à 24 heures et une formation d’approfondissement d’une durée de 24 heures en relation avec l’activité exercée, à choisir parmi les thèmes du programme.

Pour valider le niveau 2 de 80 heures, les personnes concernées suivent la formation du tronc commun, un module optionnel spécialisé au choix et une formation d’approfondissement d’une durée de 6 heures en relation avec l’activité exercée, à choisir parmi les thèmes du programme.

Les personnes ayant validé le niveau 2 suivent une formation complémentaire de 70 heures pour passer au niveau 1. Dans le cursus de formation, elles devront avoir obligatoirement suivi le module relatif au crédit immobilier.

La formation des intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement de niveau 3, d’une durée suffisante, est conforme aux dispositions de l’article D. 311-4-3 du code de la consommation si l’activité concerne le crédit à la consommation. Si l’activité exercée ne concerne pas uniquement le crédit à la consommation, la formation doit également inclure des thèmes spécialisés en fonction de(s) (l’) autre(s) activité(s) exercée(s).

Voir aussi: Formation des intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement

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