Formation Finance : Excel – fondamentaux et applications financières

excel_financeObjectifs :
•Maîtriser toutes les facettes des produits optionnels;
• Acquérir une compréhension fine des outils de valorisation;
• Appréhender la technique de gestion en delta neutre;
•Mesurer, maîtriser et gérer les risques liés aux portefeuilles optionnels.

Programme :

Continuer la lecture de Formation Finance : Excel – fondamentaux et applications financières

Conclusions du Sommet du G20 Pittsburgh 2009

g20 pittsburgh 2009Le sommet du G20 de Pittsburgh a été l’occasion de trouver un terrain d’entente en vue d’une sortie de crise et d’une reprise économique. Il a été question de mettre en œuvre certains engagements avancés à Londres en avril 2009 (régulation du système financier).

En terme de régulation financière, bien que le plafonnement des bonus ait été réfuté par les Etats-Unis et la Grande Bretagne, les européens ont néanmoins obtenu gain de cause sur la limitation des bonus en fonction des résultats de la banque et sur le principe d’étalement ou de non versement des bonus en cas de mauvaise performance. De leur côté, les Anglo-Saxons ont mis en avant la nécessité de renforcement des fonds propres des banques (sur les activités à risques) qu’ils estiment efficaces pour endiguer une crise d’une telle ampleur. Continuer la lecture de Conclusions du Sommet du G20 Pittsburgh 2009

Formation IFRS et instruments financiers : de la contrainte à l’opportunité commerciale

IFRS

Formation IFRS et instruments financiers : de la contrainte à l’opportunité commerciale

Objectifs :

  • Comprendre les difficultés posées par le référentiel IFRS à la force de vente d’une banque de marché;
  • Voir en quoi le référentiel IFRS peut également être considéré comme une opportunité de valeur ajoutée commerciale;
  • Appliquer le propos à partir de cas pratiques autour de 3 thèmes : l’investissement, le financement et la couverture

<!–[endif]–><!–[if !ppt]–><!–[endif]–>

Réassurance et la régulation mondiale

reassurance_reassureurPour simplifier, le réassureur est un assureur des assurances. Il s’agit pour la société d’assurance (la cédante) de céder à une société spécialisée (le réassureur) un risque aléatoire (les conséquences d’un sinistre incendie, de la mort, d’un tremblement de terre, d’un naufrage) contre le règlement d’une prime de réassurance correspondant au risque transféré et au mode de transfert prévu dans le contrat de réassurance (le traité).

Le marché actuel de réassurance est détenu à 90% par les 11 sociétés suivants :

  • Gen Re
  • Hannover Re
  • Lloyd’s
  • Munich Re
  • Partner Re
  • RGA
  • Scor
  • Swiss Re
  • Toa Re
  • Transatlantic Re
  • XL Capital

Lors de leur habituel « Rendez-vous de septembre » les 11 sociétés ont créé le Global Reinsurance Forum (GRF). Le Global Reinsurance Forum est conçu comme un groupe de lobbying en matière de supervision, de comptabilité et de taxation au niveau mondial.

Le 1er dossier du Global Reinsurance Forum concerne la directive Solvency II. Les assureurs doivent rendre leur avis sur le projet de mesures de niveau 2 concernant entre autre des besoins supplémentaires de fonds propres.

Formation sur Solvency II : Contraintes de gestion en assurance : ALM & Solvency II

Le déficit français au dessus de 86 milliard d’euros

Le déficit budgétaire français continue de se creuser: il atteint fin juin2009 86,6 milliards d’euros contre 32,8 milliards à la mêle pèriode en 2008, en particulier à cause de la crise et du plan de relance.
En effet le déficit budgétaire de la France s’est creusé davantage sur un an à 86,6 milliards d’euros fin juin 2009, contre 32,8 milliards  en juin 2008, principalement en raison du plan de relance et de la crise qui réduit les recettes fiscales de l’état, a indiqué mardi 10 août le ministère du Budget.
L’écart de 49,8 milliards d’euros d’une année sur l’autre s’explique à hauteur de 21,5 milliards par le coût budgétaire des différentes mesures de relance de l’économie, précise le ministère dans un communiqué.
Le solde est surtout dû à la diminution des recettes fiscales due à la récession que traverse la France.
Ainsi, le produit des recettes fiscales nettes s’élève fin juin à 108,5 milliards d’euros, en baisse de 35,6 milliards par rapport à la même date en 2008, note le ministère. Les recettes nettes de l’impôt sur les sociétés (IS) sont les plus touchées et affichent une baisse de 80,5% par rapport à un an auparavant.
A fin mai 2009, le déficit du budget de l’Etat était de 88,7 milliards d’euros.

L’instauration des IFRS n’a pas amélioré la qualité de l’information financière des entreprises

En 2005, toutes les sociétés cotées en Europe ont adopté pour leurs comptes consolidés un système de normes comptables unique : les IFRS. Les IFRS ont permis l’harmonisation de la présentation des états financiers d’entreprise.

Mais l’amélioration de la qualité de l’information financière promise par les IFRS est loin d’être évidente. Le passage aux IFRS a considérablement facilité la lecture des bilans comptables partout dans le monde, mais les fonctions attribuées à la comptabilité d’un pays à l’autre sont toujours différentes. Au Royaume-Uni, la comptabilité est destinée aux marchés financiers et sert essentiellement à informer les investisseurs. En Allemagne, la comptabilité permet de rassurer les banquiers sur la solvabilité des entreprises. Les divergences en matière de comptabilité ne permettent donc pas encore aux IFRS d’être pleinement utiles.

A quand le Big Bang IFRS ?

Standardisation des CDS pour fin juillet ?

Les institutions financières européennes se sont engagées devant la Commission Européenne au Marché Intérieur à passer par des chambres de compensation européennes pour des transactions CDS. Ce dispositif devrait être mis en place avant fin juillet 2009.

Le passage vers les chambres de compensation dans le monde des CDS peut se résumer par le schéma suivant :

chambre_compensation_cds1 Continuer la lecture de Standardisation des CDS pour fin juillet ?

Les principes comptables applicables aux IFRS

plan-comptable-general-ifrs2Les principes comptables applicables aux IFRS sont formulés par le cadre conceptuel de l’IASB appelé « cadre pour la préparation et la présentation des états financiers ». Ce cadre est lancé en introduction à l’ensemble des normes IFRS et en est la « philosophie ». Il a été complété par certaines dispositions d’IAS 1 et IAS 32 et 39.

Hypothèses de base

  • Comptabilité d’engagement : base selon laquelle, les effets des transactions et autres évènements sont comptabilisés quand ces transactions ou évènements se produisent (et non pas lorsque intervient le versement ou la réception de trésorerie ou d’équivalents de trésorerie).
  • Continuité d’exploitation : hypothèse selon laquelle l’entité poursuivra ses activités dans un avenir prévisible.

Principe caractéristique des IFRS : prééminence de la substance sur la forme (substance over form)

Comptabilisation et présentation des transactions et autres événements conformément à leur substance et leur réalité économique et pas seulement selon leur forme juridique. Continuer la lecture de Les principes comptables applicables aux IFRS

Convergence du Plan Comptable Général vers l’IFRS

plan-comptable-general-ifrs1Textes applicables aux comptes individuels et consolidés (en France)

de-pcg-vers-ifrs

Depuis la réécriture du Plan Comptable Général en 1999 (règlement 99-03 du Comité de Règlementation Comptable), de nombreux règlements du Comité de Règlementation Comptable ont fait converger, dans le respect des textes de niveau supérieur (art. L. 123-12 à L. 23-28 et R. 123-172 à R. 123-198 C. com.), les règles comptables françaises vers les normes IFRS.

Règlement 99-08 : traitement comptable des contrats à long terme

  • Dispositions conformes aux IFRS : comptabilisation selon méthode à l’avancement.
  • Dispositions non conformes aux IFRS : la comptabilisation selon la méthode à l’avancement n’est pas obligatoire (il est possible d’utiliser la méthode à l’achèvement), elle est simplement optionnelle (cette option est préférentielle). Continuer la lecture de Convergence du Plan Comptable Général vers l’IFRS

Obligations convertibles : nouvelle formation

Les Obligations Convertibles sont nées en Asie dans les années 1990 dans la lignée des warrants japonais qui donnaient à son porteur une exposition à un sous-jacent à partir d’une prime réduite. Le profil convexe de ce produit hybride situé entre les actions et les obligations doit lui permettre de répliquer en partie la hausse du sous-jacent tout en offrant une protection à la baisse.
L’engouement pour les obligations convertibles au début des années 2000 a vu une explosion du gisement autant en Europe, qu’en Asie ou qu’aux Etats-Unis, avec plus de 150 Milliards d’euros d’émission par an pendant 3 ans et un attrait de la part de tous les investisseurs: actions, obligataires, hedge funds… en raison de la diversification que les obligations convertibles offrent ou des arbitrages possibles.

Après une année 2008 catastrophique, en raison de nombreux facteurs exposés dans cette formation, les obligations convertibles reviennent au 1er plan en 2009 avec de nombreuses émissions qui ont entraîné le renouvellement du gisement, et des performances à nouveau très bonnes (meilleure performance en 2009 parmi toutes les stratégies financières disponibles).

La formation « Les obligations convertibles en actions » a pour but de :

  • montrer comment le marché des obligations convertibles est né, comment il s’est développé,
  • au travers de la structure de ce produit comprendre son fonctionnement afin d’expliquer les performances passées et l’intérêt qu’il représente encore aujourd’hui pour la majorité des investisseurs,
  • pourquoi il est toujours considéré comme la meilleure classe d’actifs dans le cadre de la gestion du couple rendement/risque.