Calcul du TEG ou Taux Effectif Global d’ un emprunt : législation et équation

Calcul du TEG ou Taux Effectif Global d' un empruntLa méthode de calcul du TEG ou Taux Effectif Global d’un emprunt est définie par les textes et annexes du Code de la Consommation.

Le TEG pour les crédits à la consommation

Le TEG est un taux annuel, à terme échu, calculé selon la méthode d’équivalence. On parlera aussi (mais pas obligatoirement) de TAEG ou de Taux Actuariel Effectif Global pour le TEG des prêts à la consommation.

Le TEG pour les crédits immobiliers et les crédits professionnels

Pour ces deux catégories de crédits, le TEG doit être calculé en deux étapes. La première étape consiste à calculer un taux périodique correspondant à la périodicité des remboursements (sans que cette période soit inférieure à un mois) par la méthode d’équivalence. Le TEG annuel s’obtient ensuite de manière proportionnelle en multipliant le taux périodique par le nombre de périodes dans l’année. On parlera de TEG proportionnel pour cette méthode.

La réglementation du mode de calcul du TEG

Le mode de calcul du TEG est défini par l’article de loi suivant : « Sauf pour les opérations de crédit mentionnées au 3° de l’article L. 311-3 et à l’article L. 312-2 du présent code pour lesquelles le taux effectif global est un taux annuel, proportionnel au taux de période, à terme échu et exprimé pour cent unités monétaires, le taux effectif global d’un prêt est un taux annuel, à terme échu, exprimé pour cent unités monétaires et calculé selon la méthode d’équivalence définie par la formule figurant en annexe au présent code. Le taux de période et la durée de la période doivent être expressément communiqués à l’emprunteur. Le taux de période est calculé actuariellement, à partir d’une période unitaire correspondant à la périodicité des versements effectués par l’emprunteur. Il assure, selon la méthode des intérêts composés, l’égalité entre, d’une part, les sommes prêtées et, d’autre part, tous les versements dus par l’emprunteur au titre de ce prêt, en capital, intérêts et frais divers, ces éléments étant, le cas échéant, estimés. Lorsque la périodicité des versements est irrégulière, la période unitaire est celle qui correspond au plus petit intervalle séparant deux versements. Le plus petit intervalle de calcul ne peut cependant être inférieur à un mois. Pour les opérations mentionnées au 3° de l’article L. 311-3 et à l’article L. 312-2, lorsque les versements sont effectués avec une fréquence autre que annuelle, le taux effectif global est obtenu en multipliant le taux de période par le rapport entre la durée de l’année civile et celle de la période unitaire. Le rapport est calculé, le cas échéant, avec une précision d’au moins une décimale.»

Le texte tel qu’il est rédigé est applicable depuis le 1er juillet 2002. Les parties du texte qui sont en caractère gras ont été ajoutées lors de la dernière modification, par le décret 2002-927 du 10 juin 2002 relatif au calcul du taux effectif global. Ce décret est la transposition en droit français de la directive du Parlement européen et du Conseil du 16 février 1998. Il faut comprendre le texte de la façon suivante : Les opérations mentionnées au 3° de l’article L311-3 : ce sont les opérations « destinés à financer les besoins d’une activité professionnelle, ainsi que les prêts aux personnes morales de droit public. » Les opérations mentionnées à l’article L313-2 : ce sont les opérations « consentis de manière habituelle par toute personne physique ou morale en vue de financer » l’acquisition, la souscription, les dépenses de construction, de réparation, d’amélioration, d’entretien d’« immeubles à usage d’habitation ou à usage professionnel d’habitation » ou « l’achat de terrains destinés à la construction des immeubles ». Par simplification dans cette page, on parlera pour ces deux catégories, des crédits professionnels et des crédits immobiliers. Pour les autres crédits, on parlera des crédits à la consommation.

Equation de base traduisant l’équivalence des prêts

La formule évoquée dans l’article R313-1 est présente en annexe du Code de la Consommation. Cette annexe a été introduite par le même décret 2002-927 évoqué plus haut. Le décret 2002-928 du 10 juin 2002 complète la formule en y ajoutant des exemples numériques. Cette formule est aussi désignée comme l’équation des intérêts composés ou la formule des flux actualisés (ou formule d’actualisation des flux). Elle se présente de la façon suivante :

Formule des flux actualisés

formule des intérêts composés

  • i : le taux effectif global annuel
  • k : le numéro d’ordre d’un déblocage de fond,
  • m : le numéro d’ordre du dernier déblocage,
  • Ak : le montant du déblocage numéro k,
  • tk : l’intervalle de temps entre le premier déblocage et le déblocage numéro k,
  • p : le numéro d’ordre d’une échéance de remboursement,
  • n : le numéro d’ordre de la dernière échéance,
  • Ap : le montant de l’échéance numéro p,
  • tp : l’intervalle de temps entre le premier déblocage et l’échéance numéro p.

Dans sa forme générale, les intervalles de temps doivent être exprimés en années et fractions d’années. La plupart du temps, cette équation doit être résolue par approximations successives. Le taux i, résolvant l’équation, peut être arrondi à la première décimale (ce n’est pas une obligation). Les différents montants Ak ou Ap ne sont pas nécessairement égaux entre eux.

Comprendre cette équation

Cette équation représente l’égalité entre la, ou, les mises à disposition des fonds et tous les remboursements ou dépenses, actualisés à la date du premier déblocage. Par exemple, pour une somme de 1.000 euros mise à disposition le 1er janvier et remboursée 90 euros tous frais compris le 1er de chaque mois en 12 mensualités, l’équation peut s’écrire : exemple de calcul du TEG en nombre de jours Le coefficient de temps de la première mensualité, au 1er février, sera de 31 jours divisé par 365, puis de 59/365 pour celle du 1er mars. Et ainsi de suite, jusqu’à la dernière avec 365/365. Par la résolution de l’équation, on obtient un TEG i = 15,52 %.

Les types de durées à utiliser

L’annexe au Code de la Consommation indique que les durées doivent être exprimé en années et fraction d’années, en précisant, qu’une année compte 365 jours (ou 366 pour les bissextiles) ou 12 mois normalisés. Le mois normalisé comptant 30.41666 jours (soit 365 jours / 12). La durée moyenne de l’année à 365,25 jours, bien que citée dans la directive européenne, n’est pas reprise dans le texte français. Dans les exemples du Code de la Consommation, il apparait qu’à partir du moment où les dates d’échéance sont fixées au même jour de chaque mois, on puisse utiliser la notion de mois normalisé, ou plus simplement une fraction de durée en nombre de mois divisé par 12 mois. L’équation de notre exemple s’écrirait alors : exemple de calcul du TEG en nombre de mois Le TEG obtenu par la résolution de cette équation est de 15,45 %. A noter qu’ici, il y a une différence de résultat suivant que le calcul est réalisé en nombre de jours réels ou en nombre de jours (ou mois) normalisés. Cependant, cette différence aura un impact limité sur des durées de remboursement de plusieurs dizaines d’années. Par exemple, un crédit de 100.000 € remboursé en 240 mensualités de 600 € aura un TAEG de 3,956 % calculé en nombre de mois et de 3,955 % calculé en nombre de jours réels. Cette méthode présente, en outre, l’avantage de calculer le TEG sur la même base d’une période mensuelle que sont calculées les échéances.

Le décalage de l’équation dans le temps

L’équation de base est exprimée en valorisant les flux à la date de déblocage des fonds. En multipliant ou en divisant par un même coefficient d’actualisation, les sommes peuvent être exprimées à une autre date. Pour illustrer cela, notre équation, exprimée à la date de première mensualité, deviendrait : exemple de calcul du TEG avec décalage de date Cette propriété est utilisée dans plusieurs exemples du Code de la Consommation : un déblocage des fonds le 15 septembre et 36 mensualités chaque dernier jour du mois à compter du 31 octobre. Chaque remboursement est divisé par un coefficient d’actualisation (1+i) avec un exposant variant de 1/12 à 36/12. L’ensemble de la somme des remboursements actualisés étant lui-même divisé par un coefficient d’actualisation de 15 jours (soit 15/365 ou 15.58333/365 suivant la méthode employée). TEG avec décalage de 15 jours

Exemple du TEG d’un crédit immobilier

Comme nous l’avons vu plus haut, le TEG pour un crédit immobilier passe d’abord par le calcul de son taux périodique. Dans la situation classique d’un emprunt débloqué en une seule fois, comportant des remboursements mensuels de 180 échéances. L’équation à résoudre peut être écrite de la façon suivante : TEG crédit immobilier Le déblocage d’un montant capital est effectué en une seule fois. La première mensualité de montant Remb1 est payée un mois après (coefficient 1 mois). La deuxième d’un montant Remb2 est payée le mois suivant. Jusqu’à la 180° de montant Remb180 payée 180 mois après le début. Le montant de chaque mensualité peut être différent. En compliquant un petit peu : déblocage en deux fois à 6 mois d’intervalle et prise en compte de frais de dossier, l’équation deviendra : TEG crédit immobilier avec plusieurs déblocages A noter : Capital1 a comme diviseur un coefficient d’actualisation élevé à la puissance zéro. On aurait pu écrire Capital1 simplement comme dans la formule précédente. Une fois le taux périodique i déterminé, le TEG de ce crédit sera égal à 12 × i.

Les ETF, qu’ est-ce que c’est ?

Les ETF, c’est quoi ? Définition. Les ETF (Exchange Traded Fund), en français « fonds indiciel coté », sont des organismes de placement en valeurs mobilières indiciels cotés.

ETF, définitionLes ETF reproduisent un indice boursier, qui est soit un indice actions, un indice obligataire ou bien un indice de matières premières. La fiscalité applicable aux ETF est la même que pour les OPCVM.

Les ETF ont plusieurs avantages :

  • des frais de gestions moins élevés que des OPCVM classiques,
  • négociables à tout moment de la séance,
  • pour la plupart d’entre eux éligibles au plan d’épargne en actions (PEA).

Les ETF fonctionnent de la même manière que des actions ordinaires, se négocient aussi facilement, et reflètent très fidèlement le cours sur lequel ils sont indéxés.

Les ETF sont très répandus dans le monde, et fonctionnent sur tous les grands secteurs économiques. Ils semblent donc être un biais d’investissement très aisé d’usage et a coût modéré.

Proposition de Christine Lagarde à la Commission Européenne pour la Directive MIF

mifProposition de Christine Lagarde à la Commission Européenne pour la Directive MIF : La ministre de l’économie, Christine Lagarde, a fait part de ses trois requêtes : plus de transparences, plus de régulation et plus de concurrence équitable, dans une lettre qu’elle vient d’adresser au commissaire européen au Marché intérieur, Michel Barnier. Les requêtes portent sur un sujet important : la révision de la directive communautaire sur les Marchés des instruments financiers. (MIF).

Pour rappel, la directive MIF a entraîné la fin du monopole des opérateurs nationaux et ouvert la voix à toutes une série de plates-formes alternatives du marché. « La fragmentation des marchés a considérablement dégradé leur transparence au détriment des autorités de contrôle , des entreprises émettrices de titres et des investisseurs », souligne la ministre. Continuer la lecture de Proposition de Christine Lagarde à la Commission Européenne pour la Directive MIF

Certification AMF des opérateurs de marché : Offres de préparation

Certification AMF des opérateurs de marché : Offres de lancement de préparation :

Actions-Finance propose plusieurs possibilités de préparation à la certification AMF ( certification professionnelle des  acteurs de marché mise en place par l’Autorité des marchés financiers). Vous trouverez ci-dessous les formats classiques de préparation à la certification AMF mais n’hésitez pas à nous appeler (01 47 20 37 30) pour personnaliser une des phases:

– Le pack « BASE » de certification AMF incluant 1 accès E-learning à notre base de questions pendant 30 jours, 1 simulation d’examen blanc et 1 passage de l’examen (Dossier de demande d’habilitation en cours d’examen par l’AMF) – Prix : 100€ net*

– Le pack « AVANCE » de certification AMF incluant 1 accès E-learning à notre base de questions pendant 60 jours, 2 simulations d’examen blanc, 1 manuel « Certification des opérateurs de marché : cours et explications « , 1 passage de l’examen et 1 session de rattrapage (Dossier de demande d’habilitation en cours d’examen par l’AMF) – Prix : 170€ net*

– Le pack « COMPLET » de certification AMF incluant 1 accès E-learning à notre base de questions pendant 90 jours, 3 simulations d’examen blanc, 1 manuel « Certification des opérateurs de marché : cours et explications « , 5 jours de préparation intensive en présentiel, 1 passage de l’examen et 2 sessions de rattrapage (Dossier de demande d’habilitation en cours d’examen par l’AMF) – Prix : 2 000€ net*

– Le pack « MODULE » de certification AMF incluant le pack de votre choix et l’accès aux modules en présentiel de votre choix – Prix : 300 € net / demi-journée / participant*

Modules de certification AMF Actions-Finance et durée :
1. Le cadre institutionnel et réglementaire français, européen et international 1/2 journée
2. La déontologie, la conformité et la lutte contre le blanchiment. La réglementation « abus de marché » 1/2 journée
3. Connaissance du client, la relation avec et information des clients 1 jour
4. Le fonctionnement et l’organisation des marchés / Les instruments financiers et les risques. 2 jours
5. La gestion collective / la gestion pour le compte de tiers 1/2 journée
6. Bases comptables et financières 1/2 journée

*Prix nets de certification AMF (prestations de formation continue professionnelle exonérées de TVA).

N’hésitez pas à nous contacter (par mail ou par téléphone au 01 47 20 37 30) pour des effectifs importants, nous serons heureux de vous faire découvrir notre « Pack certification AMF Grand compte » ainsi que notre « Pack certification AMF personnalisée » pour vous faire bénéficier de nos tarifs avantageux.

Dates de début des sessions : nous consulter (Questions-certificationamf@actions-finance.com ou 01 47 20 37 30 ou contact) – Offres conditionnelles à l’obtention de la certification des examens par l’AMF

Pour s’inscrire à la préparation pour la certification AMF : nous contacter par mail examen-certificationAMF@actions-finance.com ou 01 47 20 37 30 – Offres conditionnelles à l’obtention de la certification des examens par l’AMF

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Rappel : Certification AMF : Rapport AMF sur la certification des opérateurs de marché et les connaissances minimales à acquérir

L’ AMF a fait savoir le 17 juillet qu’elle avait publié le contenu des connaissances minimales à acquérir (champ des connaissances, pondération de chaque sujet en fonction de son importance, etc.) ainsi que les conditions devant être respectées par les examens présentés à la certification.

Les demandes de certification d’examens seront étudiées par le Haut Conseil certificateur de place à partir d’octobre 2009 afin d’être validées par l’ AMF. Il est rappelé que le dispositif de vérification des connaissances professionnelles par les prestataires de services d’investissement entrera en vigueur le 1er juillet 2010. En complément de ces deux documents, l’ AMF publie une série de questions-réponses sur la mise en oeuvre du dispositif de vérification du niveau de connaissance.

Voir : Certification des opérateurs de marché: nouvelles réglementation et modalités

et Certification des opérateurs de marché: évolution de la réglementation française

et Certification: Qui est concerné par cette réforme : fonctions et personnes concernées ?

et Certification : contenu du niveau de connaissances minimales

et Certification : Format de l’examen EXTERNE et conditions d’obtention

et Format de la certification interne : méthodologie et recommandations

N’hésitez pas à nous contacter si vous désirez des informations complémentaires sur la certification AMF : 01 47 20 37 30.

Les atouts d’ Actions-Finance pour la préparation à la certification AMF :

– Une couverture géographique sur l’ensemble de la France (et DOM-TOM)

– Une grande expérience des certifications dans les divers pays européens

– Une approche pragmatique de la formation

– Une grande souplesse de nos offres et une adaptabilité totale des modules de formation

– Des prix très compétitifs

– Une équipe composée d’anciens professionnels de la Finance, travaillant de concert avec 200 formateurs externes

Ci-dessous, les documents de référence concernant la certification AMF:

Voir : RÈGLEMENT GÉNÉRAL DE L’AUTORITÉ DES MARCHÉS FINANCIERS – Document de référence complet (05/01/10)

Voir aussi: Règlement général de l’ AMF : Définition des prestataires de services d’investissement (PSI), réglementation et évaluation de leur activité

Voir aussi: Questions – réponses : Certification professionnelle des acteurs de marché (17/07/09)

Voir aussi: Conditions devant être respectées par les examens présentés à la certification après avis du Haut Conseil Certificateur de place (17/07/09)

Voir aussi: Contenu des connaissances minimales devant être acquises par les personnes physiques
placées sous l’autorité ou agissant pour le compte de prestataires de services d’investissement
et qui exercent l’une des fonctions visées au II de l’article 313-7-1 du règlement général de l’AMF (17/07/09)

Voir aussi: Certification professionnelle des connaissances réglementaires des acteurs de marchés : instauration du Haut Conseil certificateur de place (17/03/09)

Voir aussi: Synthèse des réponses à la consultation publique sur le rapport de la mission d’étude confiée à M. Jean-Pierre Pinatton sur la certification professionnelle des acteurs de marché (15/12/08)

Voir aussi: Rapport complet sur la certification professionnelle des acteurs de marché par le groupe de travaille Pinatton sur le site de l’ AMF (15/07/08)

Les offres suivantes sont conditionnelles à l’obtention de la certification des examens par l’AMF – Dossier de demande en cours de traitement

Le marché des dividend swaps en plein rebond

div swapsLes dividend swaps sont des contrats à termes qui représentent les projections de la capacité des entreprises à distribuer du capital sous forme de dividendes. Les indices Barclays Capital Dividend swaps ont connu une très forte croissance dernièrement qui les a fait quasiement revenir aux niveau d’avant la faillite de Lehman. Continuer la lecture de Le marché des dividend swaps en plein rebond

La Ville de Lyon intoxiquée par ses «propres» emprunts

La SACVL (Société anonyme de construction de la Ville de Lyon) a joué avec le feu. Ou, plus précisément, avec des emprunts à risques. Bilan : une perte annoncée de 30 millions d’euros qui empêche la construction de logements sociaux.
ville-de-lyonLa SACVL est une société d’économie mixte composée d’un actionnaire majoritaire, la Ville de Lyon (75% des parts) et d’actionnaires privés, principalement des organismes bancaires et des sociétés immobilières. Sa vocation : la construction et la gestion de commerces, de bureaux et de logements à caractère social pour certains. Son patrimoine immobilier est estimé entre 1 milliard et 2 milliards d’euros. Fin 2007, ses dirigeants souscrivent à des Swap (1), appelés aussi « emprunts toxiques » en raison de leur montage financier spéculatif complexe et risqué, afin de sécuriser la dette de la société. L’information, qui fait polémique dans les coulisses de la vie lyonnaise, a été révélée par Les Potins d’Angèle. « Nous n’avons été consulté que partiellement car la souscription s’est faite de manière furtive. Ce système d’emprunt est tellement complexe que même le directeur financier de la Ville de Lyon n’a rien compris ! », s’étonne un administrateur de la SACVL. Continuer la lecture de La Ville de Lyon intoxiquée par ses «propres» emprunts

Livret A: comment est calculé le taux du livret A ?

Le Livret A est le placement épargne favori des français. C’est un produit d’épargne rémunéré, où les fonds, plafonnés à 15 300 euros, sont disponibles à tout moment. Près de 50 millions de livret A sont ouverts, plus de 120 milliards d’euros de dépôts ! De plus, ces livrets A sont toujours aussi largement utilisés, puisque près de 1 700 000 livrets A sont au plafond des versements.

Caractéristiques actuelles du livret A :

* Minimum de versement : 1,50 € (Caisse d’épargne), 15 € à la banque Postale,
* Versement mensuel : 0 €uros (versement libre),
* Plafond des dépôts : 15 300 € (hors capitalisation des intérêts),
* Taux de rémunération : 1.25 % Net d’impôt sur les revenus au 1er août 2009
* Fiscalité : Net d’impôt sur les revenus (Les intérêts générés sur le livret A ne sont pas à déclarer sur votre déclaration de revenus. Le taux du livret A sert également de référence à d’autres produits d’épargne réglementés).

Le Livret A (parfois renommé par les établissements, par exemple en « livret Bleu ») est une formule d’épargne simple, et accessible aux personnes physiques, les mineurs y compris, et à certaines personnes morales (associations, organismes à but non lucratif, etc.).
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