DDA, mais comment n’y a-t-on pas pensé plus tôt ?

DDA, mais comment n’y a-t-on pas pensé plus tôt ?

Comment une Directive de Distribution des Assurances ne s’est-elle pas imposée, dès 2007 dans le sillage de la Directive MIF pour la distribution des produits bancaires ?

Pourquoi un conseiller en assurances pouvait jusqu’à présent conseiller des produits sans avoir en tête d’abord l’intérêt du client ?

Questions auxquelles il serait sans doute difficile de répondre sans froisser personne, mais enfin, la lumière fut…enfin presque : la date d’entrée en application de cette Directive, prévue en février 2018, n’interviendra finalement qu’en octobre.

Il faut dire que le monde des assurances, jusqu’alors auguste et tranquille, se trouve sérieusement secoué depuis quelques années par la législation européenne :

  • d’abord la Directive Solvency II (Solvabilité II), entrée en application en janvier 2016, qui définit, sur le modèle des ratios Bâle, les obligations de solvabilité applicables aux entreprises d’assurances dans l’Union européenne
  • et maintenant DDA !

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