Le FMI et la Commission européenne vont surveiller les engagements de l’ Italie en matière de réduction des déficits publics.
Le FMI et la Commission européenne vont désormais contrôler les engagements budgétaires et les nouvelles mesures anti-crise de l’ Italie, en plein crise.
Le FMI aurait même proposé une aide financière à l’ Italie, mais Silvio Berlusconi aurait refusé.
Les taux d’emprunt de l’ Italie se sont envolés à un niveau record, signe que les investisseurs doutent de la capacité de l’ Italie à faire face à la crise. Selon certains dirigeants européens et internationaux, les attaques des marchés contre Rome ne sont pas liées aux performances économiques de l’ Italie mais à la crédibilité du gouvernement Berlusconi.
Les craintes des dirigeants de la zone euro ne portent pas sur les mesures anti-crise de l’ Italie, mais sur la capacité du gouvernement Berlusconi à les appliquer. L’ Italie devra donc désormais rendre des comptes sur sa politique économique au FMI et à la Commission européenne.
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source: la Tribune