Formations Bâle 2 et Bâle 3

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Panorama de la gestion des risques dans une salle des marchés

Analyse du risque de crédit Bancaire

Marché du crédit : fondamentaux et pratiques

Techniques de refinancement du bilan bancaire : dette et capital

Environnement réglementaire aux Etats Unis et en Europe

Réforme de Bâle II et ses implications, vers Bale III ?

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Privatisation de Lloyds et RBS en 2014

Les banques britanniques Lloyds et RBS pourraient être privatisées en 2014.

Privatisation de Lloyds et RBS en 2014L’Etat britannique envisage en effet de revendre ses participations dans Lloyds et RBS dès 2014. L’Etat britannique détient actuellement 39 % de Lloyds Banking Group (LBG) et 82 % de Royal Bank of Scotland (RBS).

La privatisation de Lloyds et RBS entraînerait cependant une moins-value évaluée aujourd’hui à 24 milliards de livres. L’ Etat britannique avait injecté 65 milliards de livres dans Lloyds et RBS en 2008.

Désireux d’avoir un peu de marge de manœuvre budgétaire, Downing Street a déjà abaissé le prix auquel il considérait qu’il ne perdait pas d’argent en se désengageant de ces deux banques : à 61 pence pour l’action Lloyds et à 410 pence pour celle de RBS. « C’est tout simplement faux, les vrais seuils étant 73,6 pence pour Lloyds et 550,3 pence pour RBS », commente Ian Gordon, analyste du secteur chez Investec. Mais cela permet de préparer l’opinion publique. Dans la même logique, l’exécutif britannique a commencé à laisser entendre que la faute pour ces pertes latentes en revenait au précédent gouvernement qui a acheté ces actions trop cher. Londres a aussi envisagé de distribuer gratuitement des actions RBS au public pour faire passer la pilule.

Antonio Horta-Osorio, le patron de Lloyds, a annoncé que le plan de redressement de Lloyds, qui a dégagé un profit trimestriel de 1,53 milliards, contre une perte l’an dernier, serait terminé en 2014.

Philip Hampton, le président du conseil de RBS, a expliqué que RBS « pourrait rédiger un prospectus qui permettrait de commencer à vendre des actions d’ici, disons, le milieu de l’année 2014, (…) cela pourrait être plus tôt ». Malgré la déception des marchés, RBS a publié un bénéfice trimestriel avant impôt, de 826 millions contre un déficit de 1,5 milliard à la même époque l’an passé.

La privatisation de Lloyds et RBS en 2014 arrivera ainsi juste avant les élections de 2015.

source: les Echos

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Registre national des crédits aux particuliers

Le gouvernement veut créer un registre national des crédits aux particuliers en France mais se heurte aux réticences de la Cnil et du Conseil d’ Etat.

Registre national des crédits aux particuliersCe projet de registre national des crédits aux particuliers en France voulu par le gouvernement a pour vocation de lutter contre le surendettement. Mais le Conseil d’ Etat ainsi que la Cnil ont émis certaines réserves à ce sujet. Ce registre national des crédits aux particuliers en France contiendrait en effet les noms de 25 millions de Français, alors que le surendettement n’en touche que 800 000. C’est ce problème que pointent du doigt la Cnil et le Conseil d’ Etat.

$Malgré les avis peu favorables du Conseil d’ Etat et de la Cnil, le gouvernement compte bien imposer son registre national des crédits aux particuliers en France : « Il est vrai que le Conseil d’Etat a émis des réserves. Mais le fichier se fera (…), nous tenons compte des remarques juridiques, nous cherchons de voies plus sures« , a expliqué Pierre Moscovici, ministre de l’ Economie.

Avec la création d’un registre national des crédits aux particuliers en France, le gouvernement veut obliger les établissements de crédit à consulter ce registre qui recenserait l’ensemble des crédits dont dispose un ménage avant d’en octroyer un nouveau, afin de « responsabiliser les prêteurs ».

Benoît Hamon estime quant à lui qu’il serait possible de ne recenser que les personnes qui ont contracté un crédit à la consommation, en excluant les ménages qui n’ont qu’un crédit immobilier, et ce afin de contourner les problèmes soulevés par le Conseil d’ Etat et la Cnil.

La création d’un registre national des crédits aux particuliers en France était un engagement de François Hollande. Il n’existe aujourd’hui qu’un registre des incidents de paiement, géré par la Banque de France. 31,4% des ménages français détenaient un crédit à l’habitat en 2012 et 27,6% un crédit à la consommation.

source: Reuters

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