VaR: définition de la Value at Risk

Définition de la VaR ( Value at Risk).

VaR: définition de la Value at RiskLa VaR est la perte potentielle maximale, à l ’intérieur d ’un intervalle de confiance donné, sur un portefeuille, sur un horizon déterminé. La VaR, c’est la perte que risque de subir une position à un horizon donné et à un certain niveau de probabilité.

La Value at Risk représente généralement un niveau de perte à court terme qu’on atteint assez rarement. L’horizon associé à la VaR est de quelques jours : 1 jour pour RiskMetrics, le comité de Bâle recommande 10 jours ouvrés. Le niveau de probabilité est typiquement de 95% ou 99%.

Au sein des institutions financières, la VaR est aussi bien utilisée par les opérationnels que par la direction générale.

La Value at Risk répond également à une exigence réglementaire sur le niveau de fonds propres des établissements bancaires.

Les directives du comité de Bâle (en 1995 puis en 2004) préconisent le recours de plus en plus systématique à des modèles internes fondés sur la VaR pour le calcul des risques d’une banque.

Pour plus d’informations sur la VaR, voir aussi notre formation Notion de VaR : fondamentaux de la Value at Risk

Frais sur les OPCVM obligataires

Quels sont les montants des frais sur les OPCVM obligataires ?

Frais sur les OPCVM obligatairesToute opération d’investissement en OPCVM ( voir Risques d’ un investissement en OPCVM obligataire) engendre :

– des frais lors de la passation d’un ordre (achat ou rachat). Ils varient selon les OPCVM et le type d’ordre. Lors de l’achat (souscription), on parle de droits d’entrée/commission de souscription. Lors du rachat (vente), on parle de droits de sortie/commission de rachat.

Ces frais sont communiqués dans le prospectus de l’OPCVM. Les opérations de rachat ne donnent, bien souvent, pas lieu à des droits de sortie.

Toute détention d’ OCPVM engendre :

– des frais de gestion mentionnés dans le prospectus et qui sont directement intégrés dans la valorisation de l’OPCVM,

– des droits de garde variables selon l’établissement financier.

source: entreprises.bnpparibas.fr

Pour plus d’informations sur les OPCVM, voir notre formation Fondamentaux sur les OPCVM

OPCVM obligataires définition

Qu’est ce qu’un OPCVM obligataire ? Les OPCVM obligataires sont principalement investis en obligations. Leur portefeuille est composé essentiellement de dettes émises par l’Etat ou par des sociétés.

OPCVM obligataires définitionOn distingue principalement 3 types d’OPCVM obligataires :

– les OPCVM investis en obligations d’Etat : ils n’intègrent dans leur portefeuille que des
titres représentatifs de la dette publique d’Etat, français ou étrangers,

– les OPCVM investis en obligations d’entreprises privées : leur portefeuille ne comprend
que des titres représentatifs de la dette de différentes entreprises exerçant dans plusieurs secteurs d’activité,

– les OPCVM investis en obligations convertibles : ils permettent de bénéficier de la
sécurité du placement obligataire, tout en offrant la possibilité d’accéder au marché actions ( voir aussi Risques d’ un investissement en OPCVM obligataire). En effet, une obligation convertible peut être convertie en action selon les conditions définies au moment de son émission.

source: entreprises.bnpparibas.fr

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Risques d’ un investissement en OPCVM obligataire

L’objectif d’un OPCVM obligataire est d’assurer une croissance de capital plus importante que celle proposée par les OPCVM monétaires, grâce à leur durée de placement plus longue avec la possibilité de procurer des revenus.

Risques d' un investissement en OPCVM obligataireToutefois, il n’y a pas de garantie en capital. Le niveau de risque des OPCVM obligataires reste faible avec, en parallèle, un potentiel de gain supérieur à celui des OPCVM monétaires. Ils sont, en effet, investis sur des dettes dont la durée dépasse souvent une année, ce qui augmente légèrement le risque de non solvabilité de l’émetteur de l’emprunt.

Le degré de risque des OPCVM obligataires varie selon la qualité de l’émetteur du prêt :

– sécurité maximale pour les OPCVM investis en obligations d’Etats européens,

– risques plus élevés pour les OPCVM spécialisés sur les obligations de pays émergents et sur les obligations d’entreprises privées.

Le degré de risque varie également selon la sensibilité (risque de taux). Les risques varient aussi selon les choix d’orientation opérés par le gérant.

Avant d’investir en OPCVM obligataire

Lire attentivement le prospectus simplifié visé par l’AMF qui doit être remis préalablement à toute souscription et qui délivrera une information homogène et exhaustive sur le fonds.

Il est important d’étudier la sensibilité de l’OPCVM. Cet indicateur de risque mesure la
répercussion que peut avoir une variation de 1 % (en plus ou en moins) des taux d’intérêt sur la valeur liquidative du fonds ou de la SICAV. Plus la sensibilité est forte, plus la variation des taux d’intérêt aura un impact important sur l’OPCVM.

Des notations attribuées par différents organismes permettent d’apprécier la qualité de l’OPCVM obligataire, même si les performances passées ne permettent pas d’anticiper les résultats futurs.

source: entreprises.bnpparibas.fr

Pour plus d’informations sur les OPCVM, voir notre formation Fondamentaux sur les OPCVM

Nouvelles classifications réglementaires des OPCVM monétaires

Depuis le 1er juillet 2011, les OPCVM monétaires doivent se conformer aux nouvelles classifications issues de la transposition des recommandations du CESR ( Comité européen des régulateurs des marchés de valeurs mobilières, devenu Autorité européenne des marchés financiers) sur une « définition commune européenne des OPCVM monétaires ».

Nouvelles classifications réglementaires des OPCVM monétairesL’objectif de ces nouvelles définitions européennes, harmonisées et généralement plus contraignantes que les définitions nationales pré-existantes, est de garantir une plus grande homogénéité du secteur des OPCVM monétaires et de limiter le risque des investisseurs.

Pour pouvoir être qualifiés de « monétaires », les OPCVM doivent désormais respecter différentes limites quant à la durée des titres détenus, la sensibilité du portefeuille aux risques de taux, de liquidité, de crédit ou encore la notation des titres détenus.

source: banque-france.fr

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OPCVM définition et caractéristiques

Le sigle OPCVM désigne les Organismes de Placements Collectifs en Valeurs Mobilières. Ces organismes permettent de détenir une partie d’un portefeuille de valeurs mobilières, commun à plusieurs investisseurs et dont la gestion est confiée à un professionnel, appelé gérant.

OPCVM définition et caractéristiquesIls doivent être agrées (OPCVM de droit français) ou autorisés à la commercialisation en France (OPCVM de droit étranger) par l’Autorité des Marchés Financiers. Les entités qui les gèrent (sociétés de gestion de portefeuille) sont elles aussi soumises à l’agrément de l’AMF.

Acheter un OPCVM permet de détenir une fraction d’un portefeuille de valeurs mobilières, sous forme de parts ou d’actions.

Il existe 2 catégories d’OPCVM qui ont un mode de fonctionnement identique, mais se distinguent par leur nature juridique :

– la SICAV : Société d’Investissement à Capital Variable, la SICAV est une société anonyme qui émet des actions au fur et à mesure des demandes de souscription des investisseurs. Lorsque vous achetez des actions d’une SICAV, vous devenez actionnaire et disposez ainsi des droits attribués à chaque actionnaire (par exemple, le droit de vote aux assemblées générales),

– le FCP : Fonds Commun de Placement, le FCP est une copropriété de valeurs mobilières qui émet des parts. Lorsque vous achetez des parts de FCP, vous devenez membre de la copropriété mais ne disposez d’aucun des droits conférés à un actionnaire.

Avantages des OPCVM

Les OPCVM permettent de répartir les risques. Le détenteur d’un OPCVM bénéficie d’un portefeuille diversifié et est moins exposé à la baisse d’une seule valeur. Gérés par des spécialistes, ils offrent la possibilité d’investir sans être un expert des marchés financiers en se basant sur l’expertise de professionnels censés mettre tout en œuvre pour respecter l’objectif de gestion fixé dans le document d’information.

Les OPCVM sont classés principalement en fonction des marchés qu’ils représentent et des risques qu’ils comportent.

L’AMF a déterminé six familles d’OPCVM: actions, obligataires et autres titres de créances, monétaires, diversifiés, de fonds alternatifs et à formule. Chacune de ces familles d’ OPCVM comporte un indicateur sur le risque encouru par l’OPCVM.

source: entreprises.bnpparibas.fr

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Organisation d’ un Hedge Fund

La façon dont sont structurés les hedge funds illustre bien les innovations qu’apportent ces fonds d’investissement au secteur de la finance.

Organisation d’ un Hedge FundDans la gestion traditionnelle ( voir Hedge Funds et gestion traditionnelle), à l’exception de l’audit externe et du dépositaire des actifs, toutes les compétences nécessaires à la gestion d’un fonds d’investissement sont intégrées au sein d’une même structure. Les gérants, les analystes, les juristes, les fiscalistes et les commerciaux sont tous des employés du même fonds de placement, qui compte parfois plusieurs centaines d’employés.

Les hedge funds délèguent au contraire une large partie de leurs activités de back-office à des partenaires extérieurs qui sont choisis pour leur expertise. Les administrateurs, les courtiers principaux ( prime brokers), les dépositaires, les juristes, etc., qui fournissent leurs services aux hedge funds, permettent ainsi à leurs gérants de se concentrer sur leur avantage comparatif : la gestion alternative.

Le promoteur du hedge fund est la personne physique ou morale qui est à l’origine de sa création et qui en contrôle les destinées, soit comme partenaire général, soit comme actionnaire majoritaire (SARL). Les autres investisseurs sont soit des partenaires limités, soit des actionnaires détenant des actions sans droit de vote. C’est bien entendu le promoteur qui reçoit la rémunération fondée sur la performance (en règle générale, la commission est de 20 % de l’appréciation annuelle du fonds). Les honoraires liés à la performance peuvent toutefois inciter un gérant à prendre des risques excessifs. C’est pourquoi la plupart des hedge funds demandent à leurs gérants d’investir une fraction significative de leur fortune dans le fonds, et ils incluent une clause spéciale définissant un niveau minimal de rendement pour que les honoraires liés à la performance soient versés. Cette clause exige de plus la compensation des pertes antérieures par rapport à ce minimum. Pour permettre aux gérants de se concentrer sur les investissements et la performance plutôt que d’être obligés de gérer des flux de capitaux entrants (souscriptions) et sortants (remboursements) comme dans les fonds traditionnels, le hedge fund peut imposer des durées minimales d’investissement, variant en général de un à trois ans, et des périodes de préavis en cas de sortie, de un à trois mois. Ces restrictions à la liquidité permettent aux gérants de disposer de la flexibilité nécessaire pour investir à long terme dans des actifs qui sont relativement peu liquides.

Comme il est relativement peu réglementé ( voir Caractéristiques des Hedge Funds), le hedge fund n’est pas obligé de fournir des informations sur ses positions et sur la taille des actifs sous gestion. Cette caractéristique a largement contribué au mystère entourant les hedge funds et à l’attrait qu’ils exercent sur les investisseurs individuels. L’intérêt que portent les investisseurs institutionnels aux hedge funds depuis la fin des années 1990 se traduit progressivement par une plus grande transparence des hedge funds, non pas tant sur le détail de leurs portefeuilles que sur les risques réellement encourus.

Le gérant est la société qui appartient au promoteur et qui est chargée de l’ensemble des décisions opérationnelles liées à l’activité du fonds. Cette société emploie le personnel nécessaire à la gestion et elle reçoit une commission de gestion sous forme d’un pourcentage fixe – autour de 2 % – des actifs sous gestion.

Les conseillers en investissement peuvent apporter une expertise externe au gérant du fonds dans le cas d’investissements très spécialisés, mais ils sont souvent utilisés pour contourner la réglementation que certains pays imposent à la domiciliation du gérant du fonds. Le gérant est alors domicilié là où la loi l’exige (en Allemagne ou en Suisse, par exemple), mais les conseillers sont domiciliés à Londres et le gérant exécute, dans ce cas, leurs recommandations.

L’administrateur du hedge fund est chargé de calculer la valeur du portefeuille du fonds pour la communiquer aux investisseurs à des dates précises prévues à l’avance. Cette tâche est beaucoup plus complexe dans un hedge fund que dans un OPCVM traditionnel.

Dans le fonds d’investissement Mainstream, tous les titres sont cotés et liquides et il suffit donc de prendre les cours de clôture à une date donnée pour avoir une photographie exacte (valeur nette d’inventaire) du portefeuille. Dans le cas d’un hedge fund, les titres détenus sont peu liquides ou même non cotés, les transactions avec les courtiers sont multiples et complexes, et la valorisation des actifs est donc beaucoup plus ardue.

Le dépositaire du hedge fund a un rôle essentiel qui est de connaître en permanence le nombre de titres en circulation et comment ces titres sont répartis entre les divers intermédiaires financiers. Tous les achats-ventes de titres se dénouent donc (réglement-livraison) chez un dépositaire central. Le dépositaire réalise pour ses clients tout ce qui ne fait pas directement référence à la décision d’investissement : la conservation des actifs du fonds, le contrôle de la régularité des décisions du fonds par rapport aux règles d’investissement qu’il a définies, le contrôle de l’application des règles de valorisation des actifs, etc.

Pour passer leurs ordres, les hedge funds, comme tout investisseur, passent par un courtier, mais les courtiers principaux (prime brokers) auxquels ils s’adressent ont un rôle qui est beaucoup plus large que la simple exécution des ordres. Les prime brokers fournissent toute une série de services financiers aux hedge funds :

– ils assurent la compensation et la conservation des titres, jouant ainsi le rôle de dépositaire;

– ils permettent aux fonds d’accéder à l’effet de levier, par des lignes de crédits, des achats sur marge et des mises en pension ;

– ils permettent aux hedge funds de pratiquer des ventes à découvert en leur prêtant les titres, ou en servant d’intermédiaires auprès de prêteurs potentiels (investisseurs institutionnels par exemple).

Le travail de courtier principal est exercé par les grandes banques internationales, et surtout par les banques américaines comme Morgan Stanley, Goldman Sachs, Merrill Lynch et Bear Stearns.

Les hedge funds sont des investisseurs « frénétiques » qui passent des multitudes d’ordres, et les commissions qu’ils engendrent sont significatives, supérieures en général à 3 % des actifs qu’ils gèrent. Les hedge funds sont donc de très bons clients des banques.

Selon une étude du Crédit Suisse, les fonds d’arbitrage ont représenté en 2006 plus de 12,5 % des revenus des banques d’investissement dans le monde. Grâce aux prime brokers, il semble donc relativement facile de créer un hedge fund à New York ou à Londres, car, en plus des services financiers, les courtiers principaux s’occupent du marketing des hedge funds.

En raison de leur statut ( voir Statuts juridiques des Hedge Funds), les hedge funds ne peuvent pas directement faire appel à l’épargne du public. Jusqu’aux années 1990, cette interdiction de faire de la publicité freinait sérieusement la capacité d’un hedge fund à trouver des capitaux. Les prime brokers permettent de résoudre ce problème en présentant les hedge funds à ceux de leurs clients qui sont des investisseurs potentiels. Ce service, appelé « capital introduction », permet aux nouveaux gérants de rencontrer des investisseurs institutionnels et des individus fortunés lors d’introduction parties somptueuses. On comprend aisément que de telles pratiques peuvent entrer en conflit avec les intérêts de clients potentiels.

source: editions-eyrolles.com

Pour plus d’informations sur les Hedge Funds, voir notre formation: Gestion alternatives et Hedge Funds

Hedge Funds et gestion traditionnelle

fonction économique des hedge funds est exactement la même que celle des fonds communs de placement ( OPCVM) : dans les 2 cas, les investisseurs confient leur argent aux gérants des fonds en espérant que, le jour où ils le retireront, ils retrouveront leur investissement initial, plus un généreux rendement.

Hedge Funds et gestion traditionnellePuisque les hedge funds et les fonds communs de placement remplissent la même fonction économique, on peut se demander pourquoi ces deux types de « véhicules d’investissement » coexistent. La réponse est simple : les hedge funds existent parce que les fonds communs de placement ne se livrent pas à des stratégies d’investissement complexes. Cette différence est d’abord due à la réglementation qui pèse sur les fonds communs de placement ouverts à tous les investisseurs, une réglementation qui, pour l’instant, s’applique beaucoup moins aux hedge funds réservés à des « investisseurs avertis ». En proposant des stratégies qui sont simples à comprendre, les fonds communs de placement peuvent également collecter une épargne populaire beaucoup plus importante, mais là aussi les choses évoluent.

Il y a donc une convergence accrue entre les hedge funds et la gestion traditionnelle, et il faut de plus en plus recourir à des méthodes indirectes pour les distinguer : si un fonds d’investissement pratique une stratégie d’investissement active, flexible et décorrélée, comme pourrait le faire un hedge fund, s’il rémunère ses gérants à la performance, comme pourrait le faire un hedge fund, s’il compte parmi ses clients des « investisseurs avertis », comme pourrait le faire un hedge fund, et s’il présente une transparence limitée, comme pourrait le faire un hedge fund, c’est qu’il s’agit d’un hedge fund.

Pour plus d’informations sur les Hedge Funds, voir notre formation: Gestion alternatives et Hedge Funds

source: editions-eyrolles.com

Statuts juridiques des Hedge Funds

Pour des raisons fiscales, depuis les années 1980, un nombre croissant de Hedge Funds américains sont organisés sous forme de sociétés à responsabilité limitée ( limited liability corporation/LLC).

Statuts juridiques des Hedge FundsLa plupart des Hedge Funds créés en dehors des États-Unis adoptent également la forme de la société à responsabilité limitée lorsque la réglementation locale le permet ( voir Caractéristiques des Hedge Funds).

Le leader mondial en matière de comptes gérés est Lyxor Asset Management ( voir Classement des Hedge Funds), qui a été créé en 1999 par la Société Générale, et qui dispose de 70 milliards d’euros d’actifs sous gestion, répartis en 1 545 fonds.

Pour plus d’informations sur les Hedge Funds, voir notre formation: Gestion alternatives et Hedge Funds

source: editions-eyrolles.com

Classement des Hedge Funds

Hedge fund est le terme général, non légal, qui a été utilisé dès les années 1960 pour décrire un type de fonds d’investissement privé et non enregistré qui employait des techniques sophistiquées de couverture et d’arbitrage pour ses opérations sur les marchés des actions ( voir Hedge Funds définition et Caractéristiques des Hedge Funds).

Voici le Classement des hedge funds américains en fonction du montant des actifs sous gestion (en milliards de dollars)

Classement des Hedge FundsVoici le classement des Hedge Funds en fonction des bénéfices 2010 ( en dollars)

Classement des Hedge FundsVoici le palmarès des Hedge Funds en fonction de la rentabilité pour l’investisseur

Palmarès des Hedge FundsPour plus d’informations sur les Hedge Funds, voir notre formation: Gestion alternatives et Hedge Funds