Le comparateur des tarifs bancaires est en ligne

Bercy vient de lancer officiellement son comparateur en ligne et gratuit des tarifs bancaires en France.

comparateur public des tarifs bancairesMichel Sapin a présenté hier le comparateur en ligne de tarifs bancaires du ministère des Finances ( voir Un comparateur public et en ligne des tarifs bancaires ). Sur le site www.tarifs-bancaires.gouv.fr, il est donc désormais possible de comparer gratuitement les principaux tarifs et frais bancaires de près de 150 banques. Ce site répertorie en toute transparence les tarifs de 98% marché bancaire français est sera actualisé toutes les semaines.

Contrairement aux comparateurs en lignes de frais bancaires déjà existants, qui sont privés, celui-ci est « anonyme, déconnecté de toute mise en valeur ou de sollicitation commerciale », explique le ministre des Finances Michel Sapin. Avec le lancement de son comparateur en ligne, Bercy souhaite mettre en concurrence les banques afin de faciliter la mobilité bancaire. La loi permettra en effet de changer de banque sans aucune autre démarche administrative qu’un mandat de changement de domiciliation à partir de février 2017.

Le comparateur public tarifs-bancaires.gouv.fr recense notamment les frais pour tenue de compte, qui seront généralisés cette année sur les grands réseaux bancaires ( BNP Paribas, Société Générale, BNP Paribas, LCL, etc..) alors qu’ils étaient encore gratuits jusqu’ici. Avec le contexte des taux bas et leurs besoins en investissements dans le numérique ( voir L’ évolution des banques vers le digital), les banques cherchent de nouvelles sources de revenus et vont donc désormais imposer à leurs clients des frais pour tenue de compte. Une « nécessité » confirmée et appuyée par le ministre des Finances, qui indique toutefois qu’il faudra bien « vérifier que le service de tenue de compte est bien rendu » . Le Comité consultatif du secteur financier (CCSF) a d’ailleurs pour rôle de vérifier ce que signifie la « tenue de compte », afin d’éviter les abus et que les consommateurs se retrouvent à payer deux fois pour une même prestation.

Mais à peine en ligne, le comparateur public des tarifs bancaires est déjà la cible des critiques. Le Monde relève en effet l’impossibilité d’estimer le total des frais payés par un client dans sa banque. Il n’est donc tout simplement pas possible de comparer la totalité des frais bancaires entre une banque et une autre. De plus, il n’est possible de comparer que 6 tarifs en même temps sur la quinzaine proposée. Selon Mathieu Escot, responsable des études à l’UFC-Que Choisir, « Tout ce qui contribue à améliorer l’information du consommateur est évidemment une bonne chose, mais cet outil est nettement insuffisant face aux 250 lignes de frais des plaquettes tarifaires des banques. Ce site ne prend pas non plus en compte les packages – ces formules tout compris souscrites par 60 % des Français […] Finalement ce n’est pas un comparateur […] Ce n’est pas ce site qui va améliorer la mobilité bancaire », conclut-il.

Présence de BNP Paribas sur le marché des green bonds

D’après Bloomberg et Climate Bonds Initiative, BNP Paribas était dans le top 4 des bookrunners sur les émissions de green bonds en euros et en dollars au 1er septembre 2015.

Présence de BNP Paribas sur le marché des green bonds

Encore 6ème à ce classement sur les émissions d’obligations vertes en euros, BNP Paribas a innové en proposant le premier green growth bond, dont la Banque mondiale était émetteur. Ce fut le premier green bond indexé sur un indice actions, construit en partenariat avec Vigeo pour l’intégration des critères ESG dans la sélection des titres. L’émission a été placée en Europe, aux États-Unis et en Asie.

Le marché des green bonds prend de plus en plus d’ampleur, avec toujours plus d’émissions de la part d’industriels, à côté des banques multilatérales de développement. BNP Paribas accompagne des entreprises industrielles sur l’émission d’obligations vertes. Le groupe a fait une première émission de 2,5 milliards de dollars avec Engie en 2014. Cette année, BNP Paribas a été bookrunner du premier green bond émis par Paprec, une entreprise de recyclage, de traitement et de valorisation des déchets.

source; revue-banque

BNP Paribas s’ éloigne du charbon

Même si BNP Paribas continue a financer le secteur du charbon, elle s’en éloigne de plus en plus.

BNP Paribas s' éloigne du charbon

Crédit Agricole avait annoncé en mai dernier l’arrêt de quasiment tous ses financements de projets dans le charbon. En octobre, c’était au tour de Natixis ( groupe BPCE) d’annoncer qu’elle abandonnait les financements de projets liés au secteur du charbon. Malgré cette tendance très verte, BNP Paribas continue quant à elle à financer ce secteur. Pour combien de temps ?

BNP Paribas explique en effet qu’elle évalue l’impact de chaque projet sur le mix énergétique du pays dans lequel il est implanté et qu’elle vérifie qu’il n’y a pas d’alternative possible pour permettre l’accès à l’énergie dans ce pays. Le groupe BNP Paribas précise que sa politique sectorielle sur le charbon vise aussi à s’assurer que les meilleures technologies disponibles sont déployées afin d’assurer une efficacité énergétique minimum des centrales à charbon.

Sur les bases de cette politique, BNP Paribas a refusé plus de 65% des centrales à charbon qui lui ont été proposées depuis 20111, notamment sur le critère de l’efficacité énergétique. BNP Paribas précise que le mix électrique financé par le groupe contient 22% de charbon, contre 41% dans le mix mondial d’après l’AIE ( Agence internationale de l’énergie).

source: revue-banque

 

Comment BNP Paribas finance la transition énergétique

Le marché des énergies renouvelables est en forte progression chez BNP Paribas, tout comme sa part de financement de la transition énergétique.

Comment BNP Paribas finance la transition énergétique

Le groupe BNP Paribas a en effet conseillé le financement de plus de 135 projets d’énergies renouvelables dans le monde à fin septembre 2015, dont 96 projets dans l’éolien. Au total, cela représente 22 000 mégawatts de capacités installées et des millions de personnes alimentées en électricité. BNP Paribas a participé au plus important projet de ferme éolienne en mer du Nord, à 85 km des côtes des Pays-Bas, avec un financement de 2,1 milliards d’euros. Cette ferme va procurer de l’électricité à 785 000 foyers et permettre d’économiser 1,25 million de tonnes de CO2 chaque année. BNP Paribas finance également des projets d’efficacité énergétique, comme un projet de voitures hybrides au Japon financé cette année par le biais d’une titrisation, via un ABS.

Au niveau mondial, les énergies fossiles, charbon en tête, représentent 68 % des sources de production d’électricité, et les énergies renouvelables 21 %, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE). Chez BNP Paribas, à fin 2014, le montant financé pour l’énergie fossile représente 59,5 % du financement de la production d’électricité, et les renouvelables, 23 %. BNP Paribas se situe donc en avance sur le mix mondial, notamment grâce à ses politiques RSE concernant le charbon ( voir aussi BNP Paribas s’ éloigne du charbon), ainsi que par son positionnement sur le financement des énergies renouvelables via le financement de projets.

source; revue-banque

Conséquences de la dématérialisation des bureaux de banque

La dématérialisation des bureaux de banque s’accélère encore un peu plus avec l’annonce de la suppression de 400 agences de la Société Générale d’ici à 2020. Une phénomène qui va continuer à s’amplifier dans les années à venir. Mais quelles seront les conséquences de la dématérialisation des bureaux de banque et quelles sont les raisons de ce phénomène ?

Conséquences de la dématérialisation des bureaux de banqueSelon l’Agefi, le banquier de demain ne travaillera plus en agence mais depuis chez lui, en autonomie totale. Il gérera ses rendez-vous clients en visioconférence et communiquera avec ses collègues sur le réseau social de sa banque. Une vision validée par l’annonce de la fermeture de 400 agences Société Générale d’ici à 2020, soit 20% de son réseau. Crédit agricole et BNP Paribas prévoient également de réduire le nombre de leurs agences.

Les banques justifient ces fermetures d’agences par la forte baisse de leur fréquentation. D’après la Fédération bancaire française (FBF), seulement 21 % des usagers déclarent se rendre à leur banque plusieurs fois par mois cette année, alors qu’il étaient plus de 60% en 2007. Les clients préfèrent désormais régler leurs opérations courantes ( consultation de comptes, commandes de chéquier, virements) en ligne ou par téléphone.

Les «fintechs» et les banques 100 % en ligne ont déjà intégré depuis longtemps ces changements. Ces nouveaux acteurs, qui misent sur des tarifs très attractifs et un service client minimal, menacent jusqu’à 60 % des revenus de la banque de détail. Et c’est désormais aux opérateurs télécom de se lancer sur ce créneau, comme récemment Orange avec Orange Money ( voir Lancement d’ Orange Cash avant la banque en ligne). Mais pour le moment, les grands groupes bancaires gardent la main sur la banque en ligne, les principaux acteurs de la banque en ligne leur appertenant ( Boursorama filiale de Société Générale, Hello Bank ! filiale de BNP Paribas, Monabanq financé par le Crédit Mutuel, etc…).

Les banques en ligne se démarquent des banques traditionnelles par leur modèle ultra-minimaliste, à des années-lumière du modèle traditionnel qui impose au banquier de vendre des services à son client ( assurance-vie, location de voiture longue durée, crédit-bail, etc…). Les banques ont bien intégré cette évolution et ne misent désormais plus sur la multiplication des services pour attirer de nouveaux clients, mais sur le suivi personnalisé. Le banquier devient un conseiller en qui le client peut avoir confiance.

La baisse de la fréquentation des bureaux de banques s’explique également par la défiance envers l’établissement bancaire, notamment chez les petites entreprises ou auprès des populations modestes, qui ont le plus subi l’augmentation des frais bancaires et la logique plus globale de donner la priorité aux marchés financiers et au trading, plutôt qu’au financement de l’économie. La banque de détail a peu à peu perdu la confiance des consommateurs.

Les engagements des assurances et des banques vers une finance durable

Lors du Climate Finance Day, la conférence internationale organisée à Paris en mai dernier, de nouveaux engagements en matière de transition énergétique ont été pris par les banques et par les assurances.

Les engagements des assurances et des banques après le Climate Finance DayLe Climate Finance Day a permis à de nombreux acteurs des secteurs de la banque et de l’assurance de s’engager de manière significative sur le dossier de la transition énergétique et de la finance durable.

Les grands fonds de pension ainsi que les gérants d’actifs investissent de plus en plus dans des secteurs ayant pris en compte la réduction de leur empreinte carbone. C’est notamment le cas du fonds de pension norvégien, qui a annoncé cet été qu’il se retirait des secteurs industriels, comme les compagnies minières ou les entreprises d’énergie qui tirent plus de 30% de leur CA du charbon.

Chez Axa, on envisage désormais pour tous les fonds une nouvelle stratégie visant au retrait des entreprises les plus exposées aux activités liées au charbon. Axa envisage également pour tous ses portefeuilles « fonds généraux » l’introduction de critères ESG ( environnement, social et gouvernance). La compagnie d’assurance prévoit également plus de 3 milliards d’euros d’investissement verts d’ici à 2020. Les assureurs sont aujourd’hui engagés dans l’analyse des risques pour les entreprises exposées à des empreintes carbones élevées.

Les grandes banques françaises ont également profité du Climate Finance Day pour orienter leurs investissements en fonction de critères ESG. C’est notamment le cas de Crédit Agricole et Natexis, qui se sont engagés à mettre fin au financement des mines de charbon. Société Générale et BNP Paribas analysent quant à eux les impacts de leurs portefeuilles d’engagements sur l’environnement.

Un premier pas des assurances et des banques vers des investissements verts et une finance durable, en attendant les prochaines annonces qui seront faites lors de la COP 21 à Paris.

Les banques se mettent au Bitcoin

Les banques commencent à s’intéresser de près au Bitcoin. Barclays va en effet accepter les échanges en bitcoin à partir de cette année.

Les banques se mettent au Bitcoin

C’est une petite révolution qui se prépare. La banque britannique Barclays a annoncé qu’elle allait autoriser dès cette année les échanges en bitcoin, devenant ainsi la première banque à accepter la monnaie virtuelle. Si dans un premier temps, seuls les dons aux organismes de charité pourront être effectués en bitcoin, l’utilisation de cette monnaie virtuelle pourrait être généralisée dans les mois à venir. Actuellement, une unité de bitcoin s’échange pour 204,86 euros. Mais c’est surtout la technologie utilisée pour le bitcoin qui intéresse les banques, qui voient là un outil à fort potentiel pour le Forex ( marché des changes).

Pour se mettre au bitcoin, Barclays a mobilisé 75 personnes dans 2 laboratoires de recherche et a également investi dans des startups du secteur des Fintechs, notamment dans la plateforme suédoise d’échange Safello, qui pourrait gérer les flux de bitcoin entre les comptes Barclays et les donateurs. Le bitcoin pourrait être utilisé par plus de 5 millions de personnes à l’horizon 2019.

Si l’utilisation du bitcoin est désormais considéré légale dans la plupart des pays d’Europe occidentale et du Nord, le CESE voudrait tout de même mettre en place « un cadre légal international de régulation ».

Le bitcoin va-t-il révolutionner le système bancaire et le Forex ?

Les banques sont surtout intéressées par le logiciel Blockchain, qui génère les échanges de bitcoin grâce à des algorithmes. Cette technologie pourrait bien révolutionner le Forex et le marché des changes grâce à ses vitesses de transferts quasi instantanés et son coût peu élevé comparé aux méthodes actuelles.

Après Barclays, UBS ainsi que BNP Paribas envisageraient également d’utiliser le bitcoin et travaillent actuellement à son développement.

Les banques leaders du marché des clients professionnels

Le marché des clients professionnels représente un potentiel de 7 milliards d’euros de revenus pour les banques. Quelles sont les banques leaders de ce marché ?

Les banques leaders du marché des clients professionnelsAvec le ralentissement du marché des particuliers, de nombreuses font du marché des professionnels une priorité commerciale. En 2014, BNP Paribas projetait notamment d’allouer 10 milliards d’euros de prêts aux PME et TPE, soit près de 40 % de plus qu’en 2013. La Banque Postale, qui forme aujourd’hui ses conseillers pour générer 400 millions d’euros de revenus grâce à ces clients en 2020, cherche également à conquérir ce marché au fort potentiel de croissance.

D’après une étude d’Exton Consulting, le marché des professionnels représente un PNB potentiel d’environ 7 milliards d’euros pour les réseaux et les taux d’équipement laissent des marges de progression. Seuls 40 % des clients TPE détiennent des produits d’assurance de leur banque principale et 62 % y ont souscrit un crédit, principalement à cause de leur propension à s’autofinancer. En captant les avoirs particuliers et professionnels de leurs clients, les banquiers parviennent à générer en moyenne 5 fois plus de revenus par client sur ce marché qu’avec les clients parti­culiers.

Mais ces clients sont très fidèles et rarement multibanca­risés, faute de temps pour devoir gérer plusieurs interlocuteurs. En 2014, le taux d’attrition plafonnait à 2 %.

Hausse des bénéfices des banques européennes

Les bénéfices des grandes banques européennes ont atteint leur plus haut niveau depuis 2011. Les 10 plus grandes banques européennes ont en effet enregistré un bénéfice net global de 11,4 milliards d’euros au 2ème trimestre 2015.

Hausse des bénéfices des banques européennesLes premiers effets du QE de la BCE ? Les bénéfices des grandes banques européennes n’ont jamais été si élevés depuis 2011 ( voir aussi Les excellents résultats de BNP Paribas). La Société Générale a même enregistré ses meilleurs résultats depuis 2007, avec un bénéfice net de 1,35 milliard d’euros ( voir Hausse des bénéfices pour Société Générale). Les 10 plus grandes banques européennes ont toutes vu leurs résultats augmenter d’au moins 10% sur 1 an.

Ces bons résultats s’expliquent par les cessions d’actifs mais également par la baisse du coût du risque dans de nombreux, une baisse liée au début de reprise économique en zone euro. Frédéric Oudéa, directeur général de la Société générale, prévoit une hausse de 1,2% du PIB en France cette année. Cette conjoncture favorable a également permis de relancer le marché des crédits, avec une hausse des crédits depuis le mois de mars, favorisée par la politique monétaire de la BCE, après de longs mois de baisses.

Hausse des crédits en France en 2015

Les encours de crédit des Banques Populaires et des Caisses d’épargne ont augmenté de 2,7% sur 1 an. Les encours de crédit du Crédit Agricole en France ont quant à eux augmenté de 2,2% sur 1 an, contre 1,3% pour les réseaux de la Société générale en France et 0,8% pour ceux de BNP Paribas.

On constate notamment une hausse du crédit à la consommation et du crédit immobilier. La faiblesse des taux a en effet entraîné de nombreuses renégociations de prêts à l’habitat. Si ces taux bas n’ont pas pesé sur leurs résultats du 2ème trimestre 2015, les banques redoutent néanmoins leurs conséquences à moyen terme. Ils pourraient en effet peser sur les bénéfices des banques dans les prochains mois. Mais la remontée des taux longs constatée depuis mai, synonyme de reprise économique, devrait permettre aux banques européennes d’augmenter leur marge d’intérêt.

La banque de financement et d’investissement (BFI) de ces établissements a également pu bénéficier de la volatilité sur les marchés avec la crise grecque. Mais pour parvenir à afficher une telle hausse de leur bénéfice net, les banques européennes ont également dû réduire leurs frais de gestion. Elles devraient continuer dans cette voie dans les années à venir, notamment pour faire face à la hausse des coûts liés aux nouvelles réglementations. Après Société Générale ( voir Plan d’ économie pour Société Générale), BNP Paribas envisage désormais un plan d’économie visant à réduire de 20% les coûts de sa banque de financement et d’investissement d’ici 2019.

Les excellents résultats de BNP Paribas

Seulement 1 an après avoir été condamné a payer une amende record aux autorités américaines, BNP Paribas a enregistré 2,3 milliards d’euros de bénéfice net au 2ème trimestre 2015.

Les excellents résultats de BNP ParibasEntre avril à juin, BNP Paribas a enregistré un résultat net de 2,6 milliards d’euros. Son bénéfice net a augmenté de 13,7% au 2ème trimestre pour atteindre 2,3 milliards d’euros. Un résultat largement au-dessus des attentes, les analystes tablant en effet sur un bénéfice net de 1,9 milliards d’euros.

BNP Paribas a notamment bénéficié d’une plus-value de cession de 364 millions d’euros tirée de la vente de 7% du capital du groupe immobilier Klépierre. Cette hausse des bénéfices a permis à BNP Paribas de renforcer sa solidité financière, portant ainsi son ratio de fonds propres durs à 10,6% fin juin ( hausse de 0,30 point de pourcentage par rapport à la fin mars).

Au 2ème trimestre 2014, BNP Paribas avait enregistré une perte nette de 4,2 milliards d’euros à cause de l’amende record de 6,6 milliards d’euros infligée par les autorités américaines pour non respect d’embargos économiques.