Quelles tendances sur les marchés actions en juin ?

Quelles sont les tendances sur les marchés financiers et notamment sur le marché actions en juin 2015 ? Quels secteurs faut-il privilégier pour investir ?

tendances sur les marchés actions en juinLe PIB des Etats-Unis au 1er trimestre a été évalué en 2ème estimation à -0,7%, après une première estimation à +0,2%. La consommation des ménages aux Etats-Unis a quant à elle augmenté de 1,8% au 1er trimestre. Les exportations américaines ont baissé de 7,6% au 1er trimestre, alors que l’estimation initiale était de -7,2%. Les importations américaines ont enregistré une hausse de 5,6%. Le stock des entreprises américaines a finalement été estimé à 95 milliards de dollars au 1er trimestre, après une première estimation qui atteignait 110,3 milliards. Mais le ralentissement de l’économie américaine était attendu ( voir Le ralentissement de l’ économie américaine va-t-il durer ?) et n’a finalement eu que peu d’influence sur les marchés financiers. Malgré tout, certains économistes attendent toujours un rebond de la croissance américaine à 2 voire 3% dans les trimestres à venir.

Concernant les marchés européens, le mois de mai a été en dents de scie, avec un point bas touché le 7 mai puis une remontée jusqu’à cette semaine. On a constaté des prises de bénéfices importantes sur les marchés européens, et notamment sur le marché français. Le mois de mai a également été marqué par la hausse des taux, par de la volatilité qui revient sur les marchés financiers, ainsi que par l’enlisement du dossier grec.

Pourquoi les banques centrales et les dirigeants européens n’arrivent-ils pas à prendre de décisions dans ce dossier ? Les banques ont-elles émis trop de CDS, qu’elles ne seraient pas capables d’assumer en cas de défaut de paiement de la Grèce ? La directrice du FMI Christine Lagarde a évoqué une possible sortie de la Grèce de la zone euro: « le résultat final, c’est que la sortie de la Grèce n’aura pas lieu. Cela n’exclut pas que puissent se produire plusieurs évènements qui ne seraient pas agréables ». Athènes doit rembourser en juin un total de 1,6 milliards d’euros au FMI, avec un versement le 5 juin ( voir Vers un défaut de paiement de la Grèce). Yanis Varoufakis, ministre grec des Finances, a déclaré jeudi 29 mai:  » Aux termes de l’accord du 20 février entre Athènes et ses créanciers, le plan d’aide au pays s’est prolongé jusqu’au 30 juin, donc c’est d’ici cette date qu’il faut arriver à un accord ». Pourtant, les espoirs d’un accord entre la Grèce et ses créanciers ont été modérés par plusieurs responsables européens…

Malgré ce contexte tendu, l’environnement sur les marchés financiers européens reste très favorable, avec les taux qui restent bas malgré leur légère remontée ( voir La hausse des taux et l’ avenir de la dette grecque) et avec la banque centrale qui reste très accommodante en zone euro.

Comment positionner les portefeuilles ? Comment investir sur le marché actions ? Quelles sont les tendances sur les marchés actions européens ?

D’après Aymeric Diday, directeur de la gestion sous mandat chez SPGP, il faut profiter des périodes un peu volatiles, avant l’été, pour continuer à investir et augmenter ses parts d’actions dans les portefeuilles, notamment en actions européennes. La BCE est à la manoeuvre et est là pour assurer plus que nécessaire de liquidités sur les marchés financiers européens. Il faut également diminuer sa part d ‘obligataire pour investir sur les actions européennes.

Quels secteurs privilégier sur les marchés actions européens ?

Selon Aymeric Diday, il faut avant tout investir dans les secteurs porteurs sur 3 à 6 mois, voire dans les secteurs porteurs dans les années à venir et encore sous-valorisés, comme le secteur bancaire par exemple. Il faut également privilégier dans son portefeuille d’actions les secteurs liés a la croissance, comme l’automobile. L’action Renault a enregistré une hausse de 37,99% sur 1 an, pour atteindre 95,74 euros au 29 mai, alors que l’action Peugeot a enregistré une hausse de 86,41% sur 1 an, à 19,21 euros le 29 mai. L’action Valeo a quant à elle augmenté de 51,62% sur 1 an, à 148,10 euros au 29 mai. Dans tous les cas, laissez tomber le marché obligataire et privilégiez les marchés actions européens.

Vers un défaut de paiement de la Grèce

Alors qu’aucun accord n’a toujours été trouvé entre Athènes et ses créanciers, on se rapproche encore un peu plus d’un défaut de paiement de la Grèce.

défaut de paiement de la GrèceLes Grecs ont en effet annoncé qu’ils avaient enfin commencé à rédiger un projet d’accord. Quel est le bilan des négociations entre la Grèce et ses créanciers depuis 5 mois ? Toujours rien de concret à l’heure actuelle et les discussions se poursuivent avec Athènes, qui doit rembourser 300 millions d’euros au FMI le 5 juin, après n’avoir remboursé que 11 millions d’euros au FMI le 11 mai dernier. Comment la Grèce va-t-elle pouvoir rembourser le FMI ? La Grèce est-elle déjà en défaut de paiement ?

Dans le secteur bancaire, la BCE a annoncé qu’elle laissait inchangé le plafond de l’aide d’urgence ( ELA) aux banques grecques, à 80,2 milliards d’euros, car Athènes ne l’a tout simplement pas demandé. Si les banques grecques conservent un coussin de sécurité de 3 milliards d’euros stables sur une semaine, les banquiers grecs ont quant à eux fait état d’une forte hausse des retraits aux guichets: de 100 millions d’euros de retraites en moyenne par jour, on est passé à 200  voire 300 millions d’euros de retraits par. Simple ruse des banquiers grecs pour apityoyer les bailleurs de fond ?

Le scenario probable concernant la dette grecque, qui également le consensus du marché, est que l’on se dirige vers un défaut de paiement de la Grèce, qui ne pourra de toutes façons jamais rembourser sa dette ( voir La Grèce ne remboursera pas sa dette – vidéo).

 

Mais même en cas de défaut de paiement de la Grèce vis a vis du FMI, la BCE a annoncé qu’elle continuera quand même à ouvrir son robinet de liquidités vers Athènes. Les contribuables européens vont donc continuer à payer pour la Grèce alors qu’elle ne pourra pas rembourser sa dette.

Andreas Höfert, chef économiste Europe d’UBS, a analysé le probable défaut de paiement de la Grèce vers lequel on se dirige.

Quelle tendance sur les marchés obligataires ?

Le marché obligataire a-t-il connu son point d’inflexion avec la fin de la baisse des taux ? Quelle évolution pour les marchés obligataires dans les mois à venir ?

tendances sur les marchés obligatairesOn assiste depuis mi-avril à une remontée des taux sur les marchés obligataires après 30 ans de baisse. Cette tendance va-t-elle durer ?

Les taux longs actuels sont beaucoup trop bas car ils reflètent les chiffres en matière de croissance et d’inflation au cours des prochaines années: croissance attendue en zone euro comprise ente 1,5 et 2 en 2016, inflation autour de 1,5 en 2016, ce qui devrait se traduire par une croissance nominale du PIB entre 3 et 3,5. En conséquence, les taux longs devraient largement dépasser les 0,5 pour s’établir autour de 2 au cours des prochains trimestres.

Si la BCE va agir sur les taux courts, il serait logique qu’elle continue a laisser glisser les taux longs, les taux allemands très bas n’étant pas un problème pour le financement de l’économie. La tendance sur le marché obligataire et sur les taux longs est à la hausse, mais le rythme dépendra des chiffres macro économiques de croissance, de l’inflation, avec néanmoins des risques de chiffres plus importants que l’inflation. La tendance d’inflation pourrait remonter à un niveau de 1,5 voire 2 en 2016.

Quels sont les scénarios les plus probables sur les marchés obligataires dans les mois à venir ? Philippe Chaumel, associé-gérant de Rotschild & Cie Gestion, a livré son analyse de la tendance des marchés obligataires.

Comment investir sur le marché chinois ?

Le marché actions chinois est désormais ouvert aux particuliers après la fusion HK – Shangai connect. Est-il intéressant d’investir sur le marché chinois ? Quels secteurs faut-il privilégier ?

Comment investir sur le marché chinois ?Même si l’économie chinoise ralentit, le marché chinois offre de belles possibilités d’investissements et de placements. Pourquoi le marché actions chinois peut-il poursuivre sa marche en avant alors que l’économie s’essouffle ? Le ralentissement du taux de croissance en chine ne représente il pas un risque pour les placements sur le marché chinois ?

La réforme des marchés financiers en Chine est un indicateur de confiance pour les investisseurs:

– Ouverture du marché actions aux particuliers.

– Réforme des grandes entreprises publiques.

– Alignement des intérêts de la gestion avec celui des actionnaires: le principal objectif des grandes entreprises est aujourd’hui de viser l’intérêt des actionnaires et pas seulement de suivre les objectifs de l’Etat

– Cadre plus sécuritaire.

Comment investir sur le marché chinois ?

Faut-il acheter des ETF, des fonds ou des titres ? Il faut avant tout se tenir à l’ecart des ETF, et ce pour des raisons techniques. Mieux vaut choisir valeur par valeur plutôt que par classes d’actifs.

Marché actions chinois: les secteurs à éviter

– Les banques ( trop opaques).

– L’immobilier ( surcapacité).

Marché actions chinois: les secteurs à privilégier

– La haute technologie ( secteur porté par l’innovation).

– Les jeux en ligne.

– La consommation.

Wolfgang Fickus, membre du comité d’investissement de Comgest, a expliqué sur BFMTV ses conseils placements sur le marché chinois. Voir la vidéo Comment investir sur le marché chinois ?

Le comparateur public des tarifs bancaires sera lancé fin 2015

Le gouvernement lancera fin 2015 un comparateur public des tarifs bancaires. Ce comparateur en ligne de tarifs bancaires sera gratuit, comme l’a annoncé aujourd’hui Michel Sapin.

Le comparateur public des tarifs bancaires sera lancé fin 2015Le ministre des Finances Michel Sapin vient en effet d’annoncer la mise en ligne fin 2015 d’un comparateur des tarifs bancaires, un nouveau service public gratuit qui permettra, comme son nom l’indique, de comparer en ligne les tarifs des banques.

En déplacement dans une agence de la Banque postale à Ivry-sur-Seine, Sapin a ainsi justifié le lancement de ce comparateur des tarifs des banques: « Il s’agit de mettre en place une calculette, un système de comparaison gratuit des services et des tarifs » proposés par les banques.

Ce nouveau service public en ligne ne proposera toutefois qu’un comparatif des tarifs bancaires de base, « comme le coût d’un chéquier ou du règlement d’un incident de paiement », avec une « garantie de neutralité » selon Michel Sapin, qui promet donc un comparateur fiable, encadré et transparent. Le but de ce comparatif en ligne de tarifs bancaires est, d’après le ministre des Finances, de favoriser la baisse des tarifs des banques ainsi que l’augmentation de la concurrence dans le secteur bancaire.

« Je souhaite une simplification et une gratuité absolues pour le client » dans les modalités du changement de banque, a également déclaré Michel Sapin. « Aujourd’hui, on peut changer de banque plus facilement qu’avant mais il y a encore des obstacles. L’objectif est désormais de le faire de façon industrielle et automatisée ». Un amendement de la loi Macron prévoit notamment le transfert automatisé des domiciliations bancaires.

Enfin, le ministre des Finances souhaite « rendre plus facile le paiement par carte bancaire, y compris pour des petits montants », et « faire disparaître le petit panneau ‘pas en dessous de 15 euros' ». « Il est légitime que les banques demandent une rémunération pour service rendu mais il y a des conditions de tarification qui peuvent être un obstacle », a ainsi conclut Michel Sapin.

Le lancement du comparateur public de tarifs bancaires est prévu pour la fin de l’année 2015.

Le ralentissement de l’ économie américaine va-t-il durer ?

Alors que Janet Yellen doit s’exprimer vendredi sur les perspectives économiques des Etats-Unis, le ralentissement de l’économie américaine soulève certaines questions.

Le ralentissement de l' économie américaine va-t-il durer ?Le ralentissement de l’économie américaine est-il provisoire ? Pas de redémarrage de l’emploi, pas de hausse des salaires, baisse de la confiance des consommateurs en mai, stagnation des ventes au détail en avril… La révision du PIB américain prévue pour la fin de semaine prochaine devrait vraisemblablement être négative.

D’où viendra la reprise, alors que tous les moteurs économique historiques ( Etats-Unis, Chine, Japon) sont à l’arrêt ? D’après Marc Riez, l’économie américaine souffre principalement de la hausse du dollar. Interrogé sur BFMTV, Riez estime également que la hausse des taux qui a fait baisser les marchés actions est un processus saint qui traduit que les craintes de déflation en zone euro sont loin derrière nous.

Un avis que ne partage pas Olivier Delamarche. Selon lui, la faible croissance en zone euro et les nombreux problèmes rencontrés, notamment le cas de la Grèce, ne traduisent pas de logique d’inflation mais de déflation. D’après Olivier Delamarche, les QE nont jamais créé d’inflation sauf sur les actifs boursiers et il faut donc pas se faire d’illusion sur le QE de la BCE. D’où viendra la croissance si les chiffres de l’Allemagne, locomotive de l’Europe, continuent à être décevants ? La consommation représentant 70% du PIB ds tous les pays occidentaux, il faut donc relancer la consommation pour relancer la croissance selon Delamarche, or le chômage de masse en zone euro et aux Etats-Unis empêche donc toute reprise sérieuse et durable de l’économie.

Voir la vidéo sur le ralentissement de l’économie américaine

 

L’ illusion de la croissance américaine

Selon Olivier Delamarche, la croissance américaine n’est qu’une illusion qui a été maquillée par l’augmentation de la dette.

L' illusion de la croissance américaineLa croissance américaine a été maquillée: elle n’est due qu’à une augmentation de la dette et à une non réduction des déficits budgétaires ( voir Les Etats-Unis en récession ?). Les Etats-Unis se sont en effet endettés de 800 milliards en 2014, soit 4% du PIB, pour récupérer seulement 1,80% de croissance.

Il n’a pas eu de vraie reprise économique aux Etats-Unis: pas de véritable reprise de l’emploi et pas de hausse des salaires. La reprise américaine n’a pas été auto-entretenue, et les centaines de milliards déversés n’ont pas pu engendrer une croissance forte comment on aurait pu l’attendre. D’après Olivier Delamarche, « la seule chose qu’ont réussi à faire les banques centrales, c’est flinguer la classe moyenne« .

Voir la vidéo sur l’illusion de la croissance américaine

La hausse des taux et l’ avenir de la dette grecque

Sur BFMTV, Olivier Delamarche et Pierre Sabatier ont analysé l’actuelle hausse des taux obligataires ainsi que les négociations concernant le remboursement de la dette grecque.

La hausse des taux et l' avenir de la dette grecqueOlivier Delamarche, associé et gérant de Platinium Gestion, et Pierre Sabatier, président de PrimeView, ont analysé l’actuelle hausse des taux obligataires. Ils sont également revenus sur l’avenir de la dette grecque. La président de l’Eurogroupe a récemment déclaré que « la seule deadline, c’est celle de fin juin, quand le 2ème plan d’aide se terminera. Mais il pourrait y avoir aussi une date butoir si le problèmes de liquidités devenait trop important à Athènes ». Or, d’après Pierre Sabatier, la Grèce aurait pu, et aurait du faire défaut sur sa dette si le pays avait réussi à contrôler la fuite de ses capitaux au début de l’année.

Voir la vidéo sur la hausse des taux et sur l’avenir de la dette grecque

Pourquoi les taux remontent-ils ?

Comment expliquer la forte hausse des taux constatée depuis 1 mois ?

Comment expliquer la forte hausse des taux ?Alors qu’en France, le taux d’intérêt à 10 ans atteint aujourd’hui 0,89%, soit une hausse de 134,21% sur 1 mois, le taux d’intérêt allemand à 10 ans atteint quant à lui 0,67%, soit une hausse de 332,26% sur 1 mois. Comment expliquer que le taux à 10 ans allemand ne soit finalement pas passé dans le négatif comme on pouvait pourtant l’envisager il y a seulement 1 mois, et ce alors même que la BCE n’en est qu’au début de son programme d’achat ?

D’après Christophe Donay, responsable de la stratégie d’allocation d’actifs chez Pictet & Cie, le facteur qui dirige les taux d’intérêts long terme depuis plusieurs années, c’est beaucoup plus l’inflation et la croissance réelle que la politique monétaire. Le cas américain est exemplaire: à chaque fois que la réserve fédérale américaine a mis en place un assouplissement quantitatif, et que simultanément on a eu une amélioration des signaux économique, les taux longs ont monté. La force de l’inflation et de la croissance économique réelle est donc supérieure à la force de la banque centrale, qui exerce des pressions baissières sur les taux d’intérêts long terme.

Voir la vidéo sur la remontée des taux et l’analyse de Christophe Donay

Réduire l’ impôt sur les plus-values boursières

Les plus-values boursières ne sont pas toujours simples à déclarer. Comment faire pour éviter de mal déclarer ses plus-values boursières et de voir une partie de sa performance partir dans les poches du fisc ?

Réduire l' impôt sur les plus-values boursièresPour les revenus non imposables, les plus-values boursières ne sont pas soumises à l’impôt, seulement aux prélèvements sociaux de 15,5%. Si vous êtes taxé à 45%, vos plus-values boursières seront alors taxées jusqu’à 55% avec les prélèvements sociaux.

Pour réduire la facture fiscale des plus-values boursières, si vos revenus d’activité fluctuent beaucoup d’une année sur l’autre, alors mieux vaut vendre les titres une année où les revenus professionnels sont moins importants: réalisez vos ventes l’année où votre taux marginal d’imposition est le plus faible. Pensez également à déduire les frais de courtage de vos gains déclarés, c’est autorisé.

Abattement pour durée de détention

Vous avez droit à un abattement sur les plus-values boursières. Cet abattement est de 50% pour le calcul de l’impôt après 2 ans de détention et de 65% après 8 ans. Attention, l’abattement pour durée de détention s’applique seulement sur les actions françaises et étrangères, et sur les sicav investies à 75% en actions.

Les abattements pour durée de détention s’appliquent-ils sur les moins-values boursières ?

Les abattements ne s’appliquent pas aux sicav obligataires, dont le cours  s’est envolé depuis quelques années, ni aux sicav monétaires. L’abattement pour durée de détention ne s’applique pas pour les calcul des prélèvements sociaux.

Avant de céder un titre, vérifiez la date d’acquisition et n’hésitez pas à retarder les ordres de ventes. Si vous avez des moins-values potentielles, vendez vos titres avant les 2 ans de détention. Pour les plus values-boursières, ne pas négliger le PEA.

Avantages du PEA pour les plus-values boursières

– Déposer jusqu’à 225 000 euros sur le compte titres.
– Cumuler le PEA avec le PEA PME-ETI.
– Gérer le portefeuille actions françaises / européennes en franchise d’impôt.
– Possibilité de sortir en rente défiscalisée.