Statut de formateur occasionnel

statut de formateur occasionnelLes formations professionnelles proposées par Actions-Finance sont effectuées par des professionnels des marchés financiers qui interviennent parfois sous un statut de « formateur occasionnel ».
Être formateur occasionnel :
– ne nécessite pas de diplôme de formateur,
– permet de dispenser des cours à raison de 30 jours par an et par organisme,
– permet de ne pas se charger des formalités administratives : l’organisme de formation s’occupe de toutes les charges.

Le formateur occasionnel a donc un statut très proche de celui du salarié !

Le formateur occasionnel est rémunéré de manière forfaitaire.

Pour plus d’informations sur le statut de formateur occasionnel, veuillez lire notre bulletin d’information : [lien pdf]

Ou bien vous rendre sur ces sites :

http://www.urssaf.fr/employeurs/dossiers_reglementaires/dossiers_reglementaires/les_formateurs_occasionnels_01.html
http://www.apce.com/pid602/formateur-occasionnel.html?espace=1&tp=1

Hausse des bénéfices des banques européennes

Les bénéfices des grandes banques européennes ont atteint leur plus haut niveau depuis 2011. Les 10 plus grandes banques européennes ont en effet enregistré un bénéfice net global de 11,4 milliards d’euros au 2ème trimestre 2015.

Hausse des bénéfices des banques européennesLes premiers effets du QE de la BCE ? Les bénéfices des grandes banques européennes n’ont jamais été si élevés depuis 2011 ( voir aussi Les excellents résultats de BNP Paribas). La Société Générale a même enregistré ses meilleurs résultats depuis 2007, avec un bénéfice net de 1,35 milliard d’euros ( voir Hausse des bénéfices pour Société Générale). Les 10 plus grandes banques européennes ont toutes vu leurs résultats augmenter d’au moins 10% sur 1 an.

Ces bons résultats s’expliquent par les cessions d’actifs mais également par la baisse du coût du risque dans de nombreux, une baisse liée au début de reprise économique en zone euro. Frédéric Oudéa, directeur général de la Société générale, prévoit une hausse de 1,2% du PIB en France cette année. Cette conjoncture favorable a également permis de relancer le marché des crédits, avec une hausse des crédits depuis le mois de mars, favorisée par la politique monétaire de la BCE, après de longs mois de baisses.

Hausse des crédits en France en 2015

Les encours de crédit des Banques Populaires et des Caisses d’épargne ont augmenté de 2,7% sur 1 an. Les encours de crédit du Crédit Agricole en France ont quant à eux augmenté de 2,2% sur 1 an, contre 1,3% pour les réseaux de la Société générale en France et 0,8% pour ceux de BNP Paribas.

On constate notamment une hausse du crédit à la consommation et du crédit immobilier. La faiblesse des taux a en effet entraîné de nombreuses renégociations de prêts à l’habitat. Si ces taux bas n’ont pas pesé sur leurs résultats du 2ème trimestre 2015, les banques redoutent néanmoins leurs conséquences à moyen terme. Ils pourraient en effet peser sur les bénéfices des banques dans les prochains mois. Mais la remontée des taux longs constatée depuis mai, synonyme de reprise économique, devrait permettre aux banques européennes d’augmenter leur marge d’intérêt.

La banque de financement et d’investissement (BFI) de ces établissements a également pu bénéficier de la volatilité sur les marchés avec la crise grecque. Mais pour parvenir à afficher une telle hausse de leur bénéfice net, les banques européennes ont également dû réduire leurs frais de gestion. Elles devraient continuer dans cette voie dans les années à venir, notamment pour faire face à la hausse des coûts liés aux nouvelles réglementations. Après Société Générale ( voir Plan d’ économie pour Société Générale), BNP Paribas envisage désormais un plan d’économie visant à réduire de 20% les coûts de sa banque de financement et d’investissement d’ici 2019.

Faut-il investir dans le fonds HSBC Euro Actions ?

Le fonds HSBC Euro Actions est un fonds proposé par HSBC, qui a investit dans les sociétés de la zone euro dont la capitalisation est supérieure à 1 milliards d’euros.

Faut-il investir dans le fonds HSBC Euro Actions ?Faut-il investir dans le fonds HSBC Euro Actions ? Ce placement est-il intéressant ? Quel est sont potentiel sur le long terme ?

Ce qui pourrait freiner un investissement dans le fonds HSBC Euro Actions

– Plusieurs réorganisations dans l’équipe: arrivée de 4 gérants de la banque privée en 2012.

– Résultats moyens sur longues périodes sur plusieurs de leurs fonds.

– Sur le fonds Euro Actions, la qualité de la sélection de titres n’a pas toujours été au rendez-vous. Elle a d’ailleurs contribué négativement à la performance du fonds en 2014, notamment ds les secteurs de l’énergie et des matériaux de base. On note tout de même une amélioration depuis le début de l’année.

Pourquoi miser sur le fonds HSBC Euro Actions ?

– Gérant expérimenté: le fonds géré depuis 2008 par Denis Grandjean, qui fait partie de l’équipe actions européennes d’HSBC qui compte au total 9 gérants e t 7 analyses pour les grandes capitalisations européennes. Cette équipe est dirigée par le très expérimenté Frédéric Leguay.

– Processus d’investissement stable depuis 2004: analyse du couple profitabilité et valorisation de chaque société en combinant critères quantitatifs et analyses fondamentales. Cette analyse fondamentale doit identifier les leviers de la rentabilité et son potentiel d’évolution. Cette stratégie aboutit à un portefeuille de 50 à 60 titres, avec une préférence pour les valeurs moins rentables que la moyenne ( comme Peugeot et ArcelorMittal).

En conclusion: faut-il investir dans le fonds HSBC Euro Actions ?

De 2008 à fin juillet 2015: le fonds surperforme ses concurrents au prix d’une volatilité bien supérieure à la moyenne. Sur une base ajustée du risque, les résultats sont proches de ceux de la catégorie pour cette même période. Investir dans le fonds HSBC Euro Actions n’est donc pas mauvais choix pour s’exposer aux actions de la zone euro, mais son potentiel de surperformance sur le long terme n’est cependant pas avéré.

Comment les chiffres de l’ économie mondiale sont manipulés

Selon Olivier Delamarche, les chiffres de l’économie mondiale sont manipulés et ne veulent absolument rien dire.

Comment les chiffres de l' économie mondiale sont manipulésInterrogé par BFMTV sur les chiffres de la croissance américaine ( +,6% au 1er trimestre et +2,3% au 2ème trimestre), Olivier Delamarche, associé gérant de Platinium gestion, n’y est pas allé de main morte. Selonlui, les chiffres de l’économie mondiale, et plus particulièrement les chiffres des Etats-Unis et de la Chine, sont tout simplement manipulés et truqués ( voir L’ illusion de la croissance américaine et Les faux chiffres de la croissance chinoise).

« On annonce 1300 chômeurs supplémentaires en France quand alors qu’il y en a 10 000, et on change de méthode pour les comptabiliser. On change de méthode comptable pour comptabiliser un PIB ( américain) qui, hors ce changement de méthode, aurait été soit à 0, soit négatif pour le 2ème trimestre consécutif. On a bien vu qu’il n ‘y avait pas de reprise », explique ainsi Olivier Delamarche, qui s’étonne donc des derniers chiffres de la croissance aux Etats-Unis.

Il poursuit: « Tous les commentateurs disaient que les chiffres qui tombent mois après mois ne montrent aucune reprise au 2ème trimestre alors qu’on s’y attendait. Et là, on nous sort du chapeau une croissance de plus de 2%. On est entré dans un système où les gouvernements sont en pleine fuite en avant et il faut sortir des bons chiffres. On va tous adopter la méthode chinoise et on nous sortira bientôt du 7% de croissance en Grèce. A ce niveau là, on n’a plus aucune possibilité de jouer les fondamentaux puisque les fondamentaux sont manipulés par les Etats. Lorsque le BEA l’annonce il y a plusieurs mois, tout le monde crie au scandale, et aujourd’hui plus personne ne souligne que ce +2% ne veut rien dire. On a eu des chiffres, pendant des mois et des mois, de commandes industrielles, de déficit commercial, de ventes au détail: tout ça c’était joyeusement négatif, et là, aujourd’hui, par l’opération du Saint-Esprit, on met un + devant », ironise Olivier Delamarche.

« Le fait est qu’aujourd’hui, quand on regarde les choses plus profondément, quand on voit les chiffres des sociétés américaines qui ont publié leurs résultats: oui, ils étaient mieux que prévu,
mais qu’est ce qui était prévu ? Des chiffres très inférieurs à ce qui avait été précédemment annoncé par le consensus, donc très bien pilotés encore une fois par les entreprises… Et aujourd’hui, on s’aperçoit que les chiffres d’affaire ont baissé de 3,5% en moyenne aux Etats-Unis. »

Enfin, Olivier Delamarche conclut en expliquant comment les entreprises américaines manipulent leurs résultats: « Pour manipuler les résultats, il suffit de racheter ses propres titres, ce que font les sociétés américaines depuis plusieurs mois. Et comme on baisse le nombre de titres, cela ressort en hausse en terme de bpa [bénéfice par action], mais en terme de masse, les résultats ne sont pas là ».

Un ancien trader d’ UBS et Citigroup condamné à 14 ans de prison

L’ancien trader d’ UBS et Citigroup Tom Hayes vient d’être condamné à 14 ans de prison pour avoir manipulé les taux du Libor.

Un ancien trader d' UBS et Citigroup condamné à 14 ans de prisonTom Hayes est donc le premier trader à être condamné dans le cadre du scandale du Libor ( voir Remplacement du Libor ?). L’ancien trader d’UBS et Citigroup âgé de 35 ans a été condamné à une peine de 14 ans de prison pour avoir manipulé le marché des taux d’intérêt Libor entre 2006 et 2010.

Le SFO ( Serious Fraud Office) britannique accusait Tom Hayes d’avoir été au coeur d’une conspiration avec les traders et courtiers d’une dizaines d’institutions financières, et de les avoir persuadés, parfois à l’aide de pots-de-vin, de l’aider à manipuler les taux d’intérêt pour en tirer des bénéfices. Tom Hayes aurait ainsi manipulé les taux d’intérêt Libor sur des montants estimés à 450 000 milliards de dollars tout en ignorant les signaux d’alerte alors qu’une enquête avait été lancée au niveau international dès 2008, lors de la crise des subprimes.

Les actifs des ETF dépassent ceux des hedge funds

Les actifs des ETF, à 2 971 milliards de dollars fin juin, ont dépassé les actifs des hedge funds, à 2 969 milliards de dollars fin juin.

Les actifs des ETF dépassent ceux des hedge fundsC’est une première: les encours gérés par les hedge funds dans le monde ont été dépassés par les ETF. Les ETF sont des fonds cotés ayant pour objectif de répliquer les variations d’un indice, d’une matière première, etc… ( voir Les ETF, qu’ est-ce que c’est ?). Les ETF et les hedge funds représentent deux conceptions de gestion que tout oppose.

Quelles sont les différences entre les ETF et les hedge funds ?

Les ETF sont des fonds gérés de manière passive, car ils obéissent à une stratégie fixée à l’avance, qui va faire que le fonds va suivre la performance d’un indice choisi par la société de gestion (moins les frais). Cela peut être la performance de l’indice CAC40 tout simplement ou bien celle d’un indice plus complexe basé sur plusieurs actifs (actions et obligations) par exemple.

Les gérants de hedge funds peuvent quant à eux aussi bien acheter que vendre à découvert des titres en fonction de leurs anticipations et sortir totalement des indices. Les hedge funds existent depuis bien plus longtemps que les ETF, mais ces derniers ne cessent de gagner des parts de marché depuis quelques années. Ils ont davantage profité de la remontée des Bourses. Les hedge funds conservent une place relativement importante au sein des portefeuilles des investisseurs institutionnels, car ils leur apportent la décorrélation et la diversification nécessaires.

Les ETF, qu’ est-ce que c’est ?

Les ETF, c’est quoi ? Définition. Les ETF (Exchange Traded Fund), en français « fonds indiciel coté », sont des organismes de placement en valeurs mobilières indiciels cotés.

ETF, définitionLes ETF reproduisent un indice boursier, qui est soit un indice actions, un indice obligataire ou bien un indice de matières premières. La fiscalité applicable aux ETF est la même que pour les OPCVM.

Les ETF ont plusieurs avantages :

  • des frais de gestions moins élevés que des OPCVM classiques,
  • négociables à tout moment de la séance,
  • pour la plupart d’entre eux éligibles au plan d’épargne en actions (PEA).

Les ETF fonctionnent de la même manière que des actions ordinaires, se négocient aussi facilement, et reflètent très fidèlement le cours sur lequel ils sont indéxés.

Les ETF sont très répandus dans le monde, et fonctionnent sur tous les grands secteurs économiques. Ils semblent donc être un biais d’investissement très aisé d’usage et a coût modéré.

Les tendances sur les marchés obligataires

Quelles sont les tendances sur les marchés obligataires ? Comment investir ? la remontée des taux directeurs de la Fed peuvent-ils avoir un impact sur le corporate ?

Les tendances sur les marchés obligatairesGrâce à l’action de Mario Draghi, on a retrouvé de la liquidité sur les marchés actions ( voir Les tendances des marchés financiers le 02/07) et les marchés obligataires. Une très bonne chose pour les marchés actions et obligataires pour le prochain semestre: les taux à 10 ans français sont aujourd’hui à 1% et les taux à 10 ans allemands sont à 0,7%.

Alors que le taux du livret A passe à 0,75% ( voir Le taux du livret A va-t-il baisser à 0,75% ?) et qu’il pourrait même baisser à 0,5% dans 6 mois, le marché obligataire offre des perspectives intéressantes de rendements pour les investisseurs prudents.

Les tendances sur les marchés obligataires et les bonnes idées de placements:

– Picard surgelés offre un rendement de 6% par an à échéance 2020. Une valeur sûre.
– Si vous craignez la remontée des taux, Rallye, holding de Casino dans la distribution, offre un rendement de 3% par an à échéance 2018, soit près de 10% de rendement d’ici à 2018. Pour une vision à court terme, vous pouvez également investir sur Casino mais le rendement est plus faible.
– En prenant un peu plus de risques, vous pouvez investir sur Bolloré. Le groupe vient d’émettre 3% sur 6 ans, soit un rendement de 18% d’ici à 2021.

Le marché obligataire est-il saisonnier ? S’il l’était il y a encore quelques temps, il existe aujourd’hui un marché obligataire au mois d’août, avec des émissions tous les jours et des bonnes affaires à faire.

Voir la vidéo sur les tendances sur les marchés obligataires

Combien va coûter la recapitalisation des banques grecques ?

Malgré l’accord conclut avec l’Eurogroupe permettant de débloquer un nouveau prêt de 86 milliards d’euros, la sortie de la Grèce de l’euro est plus que jamais d’actualité… Combien va coûter la recapitalisation des banques grecques ?

Combien va coûter la recapitalisation des banques grecquesD’après Jacques Sapir, la Grèce ne remboursera pas son nouvel emprunt de 86 milliards d’euros. Il estime qu’il aurait été plus logique de faire ce qu’avait réclamé l’ex-ministre des Finances Yanis Varoufakis ( voir aussi Démission de la vice-ministre des Finances grecque), à savoir réquisitionner la banque centrale de Grèce et nationaliser les banques pour traiter la question de leur recapitalisation et ainsi s’orienter vers une sortie de l’euro.

Le problème de la Grèce n’est pas réglé selon Jérôme Dedeyan, président fondateur du groupe Eres. La question de la sortie de la Grèce de l’euro est toujours à l’ordre du jour et le sera de plus en plus. Alexis Tsipras a trahi sa propre majorité et ne pourra probablement pas rester au pouvoir. On peut s’attendre à des élections anticipées en Grèce.

Combien va coûter la recapitalisation des banques grecques ?

Selon Jacques Sapir, les problèmes de prêts non performants dans les banques grecques vont obliger les pays membres de la zone euro à les recapitaliser. Si les banques grecques avaient été recapitalisées le 25 juin, cela aurait coûté entre 7 et 15 milliards d’euros. Or, si l’on recapitalise aujourd’hui, il faudra désormais sortir 30 milliards d’euros, et peut-être 35 voire 40 milliards d’euros dans une semaine.

La Grèce est dans une spirale qui l’entraine vers le fond. Les mesures imposées par l’Eurogroupe vont aggraver la situation et il faudra pourtant relancer l’économie grecque. Jacques Sapir estime qu’il faudra pas prêter 86 milliards d’euros, mais 120 à 140 milliards d’euros, ou alors il faudra laisser la Grèce sortir de l’euro. La Grèce est insolvable et n’est pas en situation de rembourser sa dette. Il faudra bien tenir compte un jour de cette insolvabilité…

Grâce au tourisme, de l’argent rentre actuellement en Grèce, le tourisme représentant une manne financière de 40 milliards d’euros ( 16 à 18% du PIB). En acceptant les réformes, la Grèce a tout simplement acheté du temps pour ne pas planter la saison touristique.

Si la Grèce revient à la drachme ( voir aussi Le retour de la Grèce à la drachme serait impossible), ce ne serait pas dévastateur selon Jacques Sapir. L’effet d’inflation induit par la dépréciation serait assez limité. Les exportations de la Grèce redeviendraient compétitives. La Grèce a un potentiel de croissance et de rebond même avec une monnaie dévaluée et pourrait donc très bien sortir de l’euro dès aujourd’hui.

Pourquoi la Grèce ne veut pas sortir de l’euro ?

– La Grèce ne veut pas revivre la guerre civile de 1944 à 1948, traumatisme majeur dans la société grecque.
-Les grecs ne veulent pas être rejetés de l’Europe.
– La Grèce est un pays post-colonial, ce qui explique l’inachèvement de l’Etat grec. Les grecs ont tendance a voir dans les institutions européennes l’instrument par lequel ils pourraient moderniser leur pays.

Voir la vidéo sur le coût de la recapitalisation des banques grecques et la sortie de la Grèce de l’euro, un sujet plus que jamais d’actualité.

Paypal réussit son entrée en Bourse

Paypal a réussi son entrée en bourse: ses actions ont augmenté de 8,5%, depuis vendredi.

Paypal réussit son entrée en BoursePaypal s’est séparé d’Ebay depuis vendredi dernier. Le site de vente en ligne avait racheté Paypal en juin 2002 pour 1,5 millions d’euros. Paypal est aujourd’hui estimé à 50 millions d’euros.

Depuis vendredi, jour de la séparation de Paypal et Ebay, les actions du site de paiement en ligne ont augmenté de 8,5%. A l’ouverture de la Bourse électronique du Nasdaq ce matin, l’action Paypal était cotée à près de 40 dollars, contre 28,45 dollars pour l’action Ebay.

Paypal a décidé de se concentrer sur ses clients utilisant l’application de paiement Venmo sur leur smartphone afin d’augmenter ses abonnés mobiles mais aussi la fréquentation d’utilisation de l’application.